Le Figaro
Les Bourses perdent confiance
La crise de l’immobilier aux États-Unis se propage aux marchés. En une semaine, Paris a baissé de 6%.
APRÈS plusieurs années de vaches - très - grasses, les professionnels de la finance s'inquiètent chaque jour un peu plus de ce que leur réservent les semaines et mois à venir. Preuve de cette nervosité croissante : les grands indices boursiers reculent sévèrement depuis le début de la semaine. À Paris, le CAC a ainsi fondu de 5,5 % en trois jours.
Clearstream : Villepin mis en examen
L’ancien premier ministre a nié avoir "participé à une quelconque manoeuvre politique" à sa sortie du pôle financier, vendredi.
Un dossier de 26 tomes pour l’été. Mis en examen vendredi matin, Dominique de Villepin aura désormais accès au dossier de l’affaire Clearstream. Un changement de taille pour l’ancien premier ministre qui, jusqu’à présent, n’avait pu le consulter avec son simple statut de témoin.
La crise de l’immobilier aux États-Unis se propage aux marchés. En une semaine, Paris a baissé de 6%.
APRÈS plusieurs années de vaches - très - grasses, les professionnels de la finance s'inquiètent chaque jour un peu plus de ce que leur réservent les semaines et mois à venir. Preuve de cette nervosité croissante : les grands indices boursiers reculent sévèrement depuis le début de la semaine. À Paris, le CAC a ainsi fondu de 5,5 % en trois jours.
Clearstream : Villepin mis en examen
L’ancien premier ministre a nié avoir "participé à une quelconque manoeuvre politique" à sa sortie du pôle financier, vendredi.
Un dossier de 26 tomes pour l’été. Mis en examen vendredi matin, Dominique de Villepin aura désormais accès au dossier de l’affaire Clearstream. Un changement de taille pour l’ancien premier ministre qui, jusqu’à présent, n’avait pu le consulter avec son simple statut de témoin.
Liberation
Comment le corbeau a lâché Villepin
Confronté aux accusations de l’ex-dirigeant d’EADS, l’ancien Premier ministre devrait être mis en examen aujourd’hui pour complicité de dénonciation calomnieuse.
«Le pire de tous est sans doute ce Gergorin», avait écrit méchamment Nicolas Sarkozy, au sujet de l’affaire des faux listings de Clearstream. C’est ce que risque de penser très fort à son tour Dominique de Villepin dans le bureau des juges de l’affaire Clearstream aujourd’hui.
«Ma vision de l’identité nationale»
Brice Hortefeux contribue au débat organisé par «Libération» toute la semaine dernière.
L ibération a consacré son premier dossier d’été à la question «Comment peut-on être français ?» J’ai lu avec intérêt les articles, tribunes et interviews parus la semaine dernière à ce sujet dans vos colonnes. Certains m’ont convaincu, d’autres moins. Permettez-moi d’exposer à mon tour ma vision de l’identité nationale.
Confronté aux accusations de l’ex-dirigeant d’EADS, l’ancien Premier ministre devrait être mis en examen aujourd’hui pour complicité de dénonciation calomnieuse.
«Le pire de tous est sans doute ce Gergorin», avait écrit méchamment Nicolas Sarkozy, au sujet de l’affaire des faux listings de Clearstream. C’est ce que risque de penser très fort à son tour Dominique de Villepin dans le bureau des juges de l’affaire Clearstream aujourd’hui.
«Ma vision de l’identité nationale»
Brice Hortefeux contribue au débat organisé par «Libération» toute la semaine dernière.
L ibération a consacré son premier dossier d’été à la question «Comment peut-on être français ?» J’ai lu avec intérêt les articles, tribunes et interviews parus la semaine dernière à ce sujet dans vos colonnes. Certains m’ont convaincu, d’autres moins. Permettez-moi d’exposer à mon tour ma vision de l’identité nationale.
Le Monde
Clearstream : Dominique de Villepin mis en examen
"Complicité de dénonciation calomnieuse", "complicité d'usage de faux", "recel d'abus de confiance" et "recel de vol" : ces quatre chefs de mise en examen dans le dossier Clearstream ont été signifiés, vendredi 27 juillet, à l'ancien premier ministre, Dominique de Villepin, qui a été convoqué à 10 heures par les juges Jean-Marie d'Huy et Henri Pons. Comme c'est le cas pour tous les autres prévenus de cette affaire, les juges pourraient assortir cette mise en examen d'un strict contrôle judiciaire et interdire à M. de Villepin de rencontrer un certain nombre de personnalités.
La mosquée Rouge d'Islamabad reprise par des militants islamistes
Deux semaines après avoir été le théâtre d'affrontements entre étudiants radicaux et forces armées pakistanaise ayant fait plus d'une centaine de morts, la mosquée Rouge d'Islamabad n'est toujours pas apaisée. Après que le nouvel imam nommé par le gouvernement, Mohammed Ashfaq, a été chassé, lors de réouverture, par plusieurs centaines de fidèles réclamant le retour d'Abdul Aziz, l'ancien imam actuellement emprisonné, la foule a pris le contrôle du bâtiment, hissant sur le toit un drapeau noir barré par deux sabres croisés, symbole du "djihad".
"Complicité de dénonciation calomnieuse", "complicité d'usage de faux", "recel d'abus de confiance" et "recel de vol" : ces quatre chefs de mise en examen dans le dossier Clearstream ont été signifiés, vendredi 27 juillet, à l'ancien premier ministre, Dominique de Villepin, qui a été convoqué à 10 heures par les juges Jean-Marie d'Huy et Henri Pons. Comme c'est le cas pour tous les autres prévenus de cette affaire, les juges pourraient assortir cette mise en examen d'un strict contrôle judiciaire et interdire à M. de Villepin de rencontrer un certain nombre de personnalités.
La mosquée Rouge d'Islamabad reprise par des militants islamistes
Deux semaines après avoir été le théâtre d'affrontements entre étudiants radicaux et forces armées pakistanaise ayant fait plus d'une centaine de morts, la mosquée Rouge d'Islamabad n'est toujours pas apaisée. Après que le nouvel imam nommé par le gouvernement, Mohammed Ashfaq, a été chassé, lors de réouverture, par plusieurs centaines de fidèles réclamant le retour d'Abdul Aziz, l'ancien imam actuellement emprisonné, la foule a pris le contrôle du bâtiment, hissant sur le toit un drapeau noir barré par deux sabres croisés, symbole du "djihad".
L'Humanité
La lessive doit aller jusqu’au bout. Dopage : on n’en a pas fait le tour…
Il faut alléger la pression de l’argent et développer la prévention. Le peloton pressé d’en finir à Paris.
Social : l’inspection du travail kidnappée. Le gouvernement Sarkozy veut que les salariés poursuivent les sans-papiers plutôt que les patrons.
Politique: Des retrouvailles pour la gauche italienne ?
Clearstream : Villepin résistera-t-il à l’examen ?
Grande-Bretagne : où est passé l’anticyclone des Açores ?
Fête de l’Humanité : Renaud : « toujours révolté contre l’économie néolibérale. »
Il faut alléger la pression de l’argent et développer la prévention. Le peloton pressé d’en finir à Paris.
Social : l’inspection du travail kidnappée. Le gouvernement Sarkozy veut que les salariés poursuivent les sans-papiers plutôt que les patrons.
Politique: Des retrouvailles pour la gauche italienne ?
Clearstream : Villepin résistera-t-il à l’examen ?
Grande-Bretagne : où est passé l’anticyclone des Açores ?
Fête de l’Humanité : Renaud : « toujours révolté contre l’économie néolibérale. »
La Croix
Le Tour de France se cherche un avenir honorable
Les exclusions de Vinokourov, de Moreni et de Rasmussen ont aussi valeur d'exemple pour les autres sports
Soulagés. Jeudi 26 juillet, à Castelsarrasin (Tarn-et-Garonne), Michael Rasmussen n’était pas à l’arrivée de l’étape. Il n’est pas monté sur le podium pour recevoir un nouveau maillot jaune. Il n’a pas levé les bras dans un geste de victoire.
Dominique de Villepin mis en examen dans l'affaire Clearstream
L'ancien premier ministre, en cause dans l'affaire Clearstream, a été mis en examen vendredi 27 juillet, notamment pour "complicité de dénonciation calomnieuse". Retour sur ce dossier qui empoisonne depuis trois ans les relations au plus haut sommet de l'Etat.
L'ancien premier ministre Dominique de Villepin est resté moins d'une heure au pôle financier vendredi 27 juillet, refusant de répondre aux questions des magistrats dans l'attente de "prendre connaissance du dossier". Ceux-ci l'ont mis en examen pour "complicité de dénonciation calomnieuse, recel de vol, recel d'abus de confiance et complicité d'usage de faux".
Les exclusions de Vinokourov, de Moreni et de Rasmussen ont aussi valeur d'exemple pour les autres sports
Soulagés. Jeudi 26 juillet, à Castelsarrasin (Tarn-et-Garonne), Michael Rasmussen n’était pas à l’arrivée de l’étape. Il n’est pas monté sur le podium pour recevoir un nouveau maillot jaune. Il n’a pas levé les bras dans un geste de victoire.
Dominique de Villepin mis en examen dans l'affaire Clearstream
L'ancien premier ministre, en cause dans l'affaire Clearstream, a été mis en examen vendredi 27 juillet, notamment pour "complicité de dénonciation calomnieuse". Retour sur ce dossier qui empoisonne depuis trois ans les relations au plus haut sommet de l'Etat.
L'ancien premier ministre Dominique de Villepin est resté moins d'une heure au pôle financier vendredi 27 juillet, refusant de répondre aux questions des magistrats dans l'attente de "prendre connaissance du dossier". Ceux-ci l'ont mis en examen pour "complicité de dénonciation calomnieuse, recel de vol, recel d'abus de confiance et complicité d'usage de faux".
Le Parisien/Aujourd'Hui en France
Dominique de Villepin mis en examen
L'ancien Premier ministre a été mis en examen dans l'affaire Clearstream, notamment pour «complicité de dénonciation calomnieuse».
Dominique de Villepin aura donc passé un peu plus d'une heure au pôle financier du tribunal de Paris ce matin. Le temps pour les juges Jean-Marie d'Huy et Henri Pons, qui instruisent le dossier Clearstream depuis près de trois ans, de mettre en examen l'ancien Premier Ministre. Dominique de Villepin est aujourd'hui poursuivi pour «complicité de dénonciation calomnieuse, recel de vol et d'abus de confiance, complicité d'usage de faux».
Deux parieurs belges veulent poursuivre Astana, Vinokourov et ASO
Ils se sentent floués et entendent demander réparation. Après le retrait de l'équipe Astana du Tour de France, leur pari ne vaut plus rien : deux parieurs belges s'apprêtent à poursuivre Astana et Amaury sport organisation (ASO), mais aussi Vinokourov.
Deux parieurs belges ayant misé sur une victoire d'un coureur de l'équipe Astana, retirée mardi du Tour de France, vont assigner cette équipe en justice en France ainsi que la société organisatrice de l'épreuve, ASO, et, si son dopage est confirmé, le coureur Vinokourov, a indiqué aujourd'hui à l'AFP leur avocat.
L'ancien Premier ministre a été mis en examen dans l'affaire Clearstream, notamment pour «complicité de dénonciation calomnieuse».
Dominique de Villepin aura donc passé un peu plus d'une heure au pôle financier du tribunal de Paris ce matin. Le temps pour les juges Jean-Marie d'Huy et Henri Pons, qui instruisent le dossier Clearstream depuis près de trois ans, de mettre en examen l'ancien Premier Ministre. Dominique de Villepin est aujourd'hui poursuivi pour «complicité de dénonciation calomnieuse, recel de vol et d'abus de confiance, complicité d'usage de faux».
Deux parieurs belges veulent poursuivre Astana, Vinokourov et ASO
Ils se sentent floués et entendent demander réparation. Après le retrait de l'équipe Astana du Tour de France, leur pari ne vaut plus rien : deux parieurs belges s'apprêtent à poursuivre Astana et Amaury sport organisation (ASO), mais aussi Vinokourov.
Deux parieurs belges ayant misé sur une victoire d'un coureur de l'équipe Astana, retirée mardi du Tour de France, vont assigner cette équipe en justice en France ainsi que la société organisatrice de l'épreuve, ASO, et, si son dopage est confirmé, le coureur Vinokourov, a indiqué aujourd'hui à l'AFP leur avocat.
La Tribune
La multiplication des risques déroute les marchés
À la Bourse de Paris, le CAC 40 a dévissé de 2,78 %. À Wall Street, le Dow Jones comme le S&P 500 et le Nasdaq s'enfoncent aussi lourdement dans la baisse.
La crise des prêts immobiliers à risque aux États-Unis s'est transformée en une crise du crédit qui finit par déstabiliser les grandes places financières. L'aversion au risque fait son grand retour chez les investisseurs. Moyennant quoi ,depuis la mi-juillet, la correction sur les actions françaises dépasse les 7 %.
Les grands programmes plombent EADS
Le groupe européen a dévoilé de nouvelles difficultés sur deux de ses grands programmes de défense : l'A400M, avion de transport et le NH90, hélicoptère de transport.
À la Bourse de Paris, le CAC 40 a dévissé de 2,78 %. À Wall Street, le Dow Jones comme le S&P 500 et le Nasdaq s'enfoncent aussi lourdement dans la baisse.
La crise des prêts immobiliers à risque aux États-Unis s'est transformée en une crise du crédit qui finit par déstabiliser les grandes places financières. L'aversion au risque fait son grand retour chez les investisseurs. Moyennant quoi ,depuis la mi-juillet, la correction sur les actions françaises dépasse les 7 %.
Les grands programmes plombent EADS
Le groupe européen a dévoilé de nouvelles difficultés sur deux de ses grands programmes de défense : l'A400M, avion de transport et le NH90, hélicoptère de transport.
Les Echos
Coup de froid spectaculaire sur les marchés mondiaux
Plombées par ces inquiétudes, les principales places boursières mondiales, et nombre de marchés émergents, se sont enfoncées hier plus profondément dans le rouge. La Bourse de New York a accusé le coup, l'indice Dow Jones cédant 2,26 %, à 13.473,57 points en clôture. Les places européennes ont affiché de lourdes pertes, l'indice CAC 40 perdant 2,78 %, à 5.675,05 points, sur la journée.
Bruxelles lance un nouvel assaut contre EDF
La Commission européenne poursuit sa croisade pour ouvrir les marchés de l'énergie à la concurrence. La commissaire à la Concurrence, Neelie Kroes, a annoncé hier l'ouverture de deux procédures à l'encontre d'EDF et d'Electrabel, la filiale belge de Suez. Elle les soupçonne d'avoir verrouillé leurs marchés respectifs. Au coeur du dossier, les contrats passés pour plusieurs années entre EDF en France ou Electrabel en Belgique et les très gros consommateurs de courant, comme les papetiers, les producteurs d'aluminium, etc.
En échange d'un engagement sur le long terme, ces industriels obtiennent un meilleur prix. Depuis des années, les accords de ce type ont constitué un élément clef de la compétitivité de l'industrie française. Mais, aux yeux de Bruxelles, des contrats aussi atypiques posent problème et bloquent l'arrivée de concurrents sur un marché désormais totalement libéralisé. La procédure fait aussi peser une menace sur l'accord passé en avril entre EDF et les grands acheteurs réunis dans le consortium Exeltium.
Plombées par ces inquiétudes, les principales places boursières mondiales, et nombre de marchés émergents, se sont enfoncées hier plus profondément dans le rouge. La Bourse de New York a accusé le coup, l'indice Dow Jones cédant 2,26 %, à 13.473,57 points en clôture. Les places européennes ont affiché de lourdes pertes, l'indice CAC 40 perdant 2,78 %, à 5.675,05 points, sur la journée.
Bruxelles lance un nouvel assaut contre EDF
La Commission européenne poursuit sa croisade pour ouvrir les marchés de l'énergie à la concurrence. La commissaire à la Concurrence, Neelie Kroes, a annoncé hier l'ouverture de deux procédures à l'encontre d'EDF et d'Electrabel, la filiale belge de Suez. Elle les soupçonne d'avoir verrouillé leurs marchés respectifs. Au coeur du dossier, les contrats passés pour plusieurs années entre EDF en France ou Electrabel en Belgique et les très gros consommateurs de courant, comme les papetiers, les producteurs d'aluminium, etc.
En échange d'un engagement sur le long terme, ces industriels obtiennent un meilleur prix. Depuis des années, les accords de ce type ont constitué un élément clef de la compétitivité de l'industrie française. Mais, aux yeux de Bruxelles, des contrats aussi atypiques posent problème et bloquent l'arrivée de concurrents sur un marché désormais totalement libéralisé. La procédure fait aussi peser une menace sur l'accord passé en avril entre EDF et les grands acheteurs réunis dans le consortium Exeltium.
L'Equipe
Cyclisme - TDF - Rasmussen ne décolère pas
Prié de quitter le Tour de France alors qu'il occupait la tête du classement général et se dirigeait vers sa première victoire dans l'épreuve, Michael Rasmussen n'accepte toujours pas la décision de son équipe de l'avoir exclu de la Grande Boucle. Dans un entretien accordé ce vendredi à un quotidien danois, le coureur accuse même Theo De Rooy, son ancien manager chez Rabobank, de lui avoir «volé» la victoire finale.
Cyclisme-TDF - Vinokourov:contre-expertise débutée
Information L'Equipe : La contre-expertise d'Alexandre Vinokourov, contrôlé positif à deux reprises aux transfusions homologues lors du Tour de France (le 21 juillet à Albi suite à sa victoire dans le contre-la-montre et le 23 juillet dans la soirée) a débuté ce matin (vendredi) au laboratoire national de dépistage du dopage de Châtenay-Malabry. Le coureur kazakh n'était pas présent comme il l'avait un moment annoncé. La contre-expertise devrait se terminer demain (samedi).
Prié de quitter le Tour de France alors qu'il occupait la tête du classement général et se dirigeait vers sa première victoire dans l'épreuve, Michael Rasmussen n'accepte toujours pas la décision de son équipe de l'avoir exclu de la Grande Boucle. Dans un entretien accordé ce vendredi à un quotidien danois, le coureur accuse même Theo De Rooy, son ancien manager chez Rabobank, de lui avoir «volé» la victoire finale.
Cyclisme-TDF - Vinokourov:contre-expertise débutée
Information L'Equipe : La contre-expertise d'Alexandre Vinokourov, contrôlé positif à deux reprises aux transfusions homologues lors du Tour de France (le 21 juillet à Albi suite à sa victoire dans le contre-la-montre et le 23 juillet dans la soirée) a débuté ce matin (vendredi) au laboratoire national de dépistage du dopage de Châtenay-Malabry. Le coureur kazakh n'était pas présent comme il l'avait un moment annoncé. La contre-expertise devrait se terminer demain (samedi).
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