Le Figaro
Les Français veulent plus de discipline à l’école
Selon un sondage TNS Sofres pour RTL, France 2 et « Le Figaro » , les trois quarts des parents considèrent que l’insuffisance d’autorité est l’un des problèmes majeurs de l’enseignement.
Pour davantage de respect. 70% DES Français estiment qu’il faut obliger les élèves à se lever quand un professeur entre en classe. Ils sont 78% à souhaiter l’interdiction des portables dans les établissements. Dans un lycée pilote de Saint-Quentin RESPECT des horaires, tenue correcte, vouvoiement et remise des prix : le respect de l’autorité dicte la vie du lycée Henri-Martin de Saint-Quentin (Aisne)
Selon un sondage TNS Sofres pour RTL, France 2 et « Le Figaro » , les trois quarts des parents considèrent que l’insuffisance d’autorité est l’un des problèmes majeurs de l’enseignement.
Pour davantage de respect. 70% DES Français estiment qu’il faut obliger les élèves à se lever quand un professeur entre en classe. Ils sont 78% à souhaiter l’interdiction des portables dans les établissements. Dans un lycée pilote de Saint-Quentin RESPECT des horaires, tenue correcte, vouvoiement et remise des prix : le respect de l’autorité dicte la vie du lycée Henri-Martin de Saint-Quentin (Aisne)
Libération
Ces conseillers de l’Elysée qui dictent leur loi
Autour du Président, une poignée d’hommes décident, arbitrent et exercent un pouvoir sans précédent sur le gouvernement. Des hommes de l’ombre comme la Ve République en a tant caché sous les ors de l’Elysée? Du tout! L’époque des conseillers occultes du président de la République n’est - officiellement - plus dans l’air du temps. Les Attali ou Juillet-Garraud, qui bâtissaient ou anéantissaient d’un trait de plume les carrières administratives ou politiques auraient vécu. De même, les personnages de grand réseau, tel le gaulliste Jacques Foccart ayant la haute main durant plusieurs décennies sur l’Afrique, ont disparu.
Autour du Président, une poignée d’hommes décident, arbitrent et exercent un pouvoir sans précédent sur le gouvernement. Des hommes de l’ombre comme la Ve République en a tant caché sous les ors de l’Elysée? Du tout! L’époque des conseillers occultes du président de la République n’est - officiellement - plus dans l’air du temps. Les Attali ou Juillet-Garraud, qui bâtissaient ou anéantissaient d’un trait de plume les carrières administratives ou politiques auraient vécu. De même, les personnages de grand réseau, tel le gaulliste Jacques Foccart ayant la haute main durant plusieurs décennies sur l’Afrique, ont disparu.
Le Monde
EADS : l'Etat "n'avait pas à donner" d'autorisation à la Caisse des dépôts
Les responsables de la Caisse des dépôts et consignations s'expliquent, mardi 8 octobre, depuis 11 h 30, devant la commission des finances de l'Assemblée nationale sur le rôle de l'institution dans l'affaire EADS. Le président Sarkozy a promis, lundi, qu'il irait "jusqu'au bout de l'enquête" pour connaître les responsabilités de l'Etat.
L'Etat "n'a à ma connaissance jamais donné" et "n'avait pas à donner" d'autorisation à la Caisse des dépôts (CDC) pour le rachat par cette dernière de 2,25 % du capital d'EADS au groupe Lagardère, a estimé Philippe Auberger, ancien président de la commission de surveillance de la CDC.
Les responsables de la Caisse des dépôts et consignations s'expliquent, mardi 8 octobre, depuis 11 h 30, devant la commission des finances de l'Assemblée nationale sur le rôle de l'institution dans l'affaire EADS. Le président Sarkozy a promis, lundi, qu'il irait "jusqu'au bout de l'enquête" pour connaître les responsabilités de l'Etat.
L'Etat "n'a à ma connaissance jamais donné" et "n'avait pas à donner" d'autorisation à la Caisse des dépôts (CDC) pour le rachat par cette dernière de 2,25 % du capital d'EADS au groupe Lagardère, a estimé Philippe Auberger, ancien président de la commission de surveillance de la CDC.
L'Humanité
Ces tribunaux rayés de la carte
Justice, l’alarme
Des centaines de juridictions sont menacées par les projets de Rachida Dati. Juristes, élus, syndicalistes dénoncent les conséquences pour les citoyens et les salariés.
Electronique
540 salariés jetés à la rue à Bordeaux.
Logement social
La porte d’accès se rétrécit.
Birmanie
Silence, on réprime.
Coupe du monde de rugby
Ashton, le sorcier anglais.
Exposition
L’art de l’islam au Louvre.
« Le plus fort n’est jamais assez fort pour être toujours le maître, s’il ne transforme sa force en droit, et l’obéissance en devoir. De là le droit du plus fort. » Jean-Jacques Rousseau
Justice, l’alarme
Des centaines de juridictions sont menacées par les projets de Rachida Dati. Juristes, élus, syndicalistes dénoncent les conséquences pour les citoyens et les salariés.
Electronique
540 salariés jetés à la rue à Bordeaux.
Logement social
La porte d’accès se rétrécit.
Birmanie
Silence, on réprime.
Coupe du monde de rugby
Ashton, le sorcier anglais.
Exposition
L’art de l’islam au Louvre.
« Le plus fort n’est jamais assez fort pour être toujours le maître, s’il ne transforme sa force en droit, et l’obéissance en devoir. De là le droit du plus fort. » Jean-Jacques Rousseau
La Croix
Le financement des syndicats en question
La brigade financière de Paris mène une enquête sur les retraits d'argent liquide de la part des dirigeants de la fédération patronale de la métallurgie. Ce dossier fait resurgir indirectement le problème des ressources des syndicats.
Quelle est l’origine de l’affaire ?
C’est Le Figaro qui a révélé l’affaire, dans son édition du 26 septembre, affirmant que Tracfin, la cellule de lutte contre le blanchiment du ministère de l’économie et des finances, enquêtait depuis plusieurs années sur des retraits d’argent liquide effectués par Denis Gautier-Sauvagnac, président de l’Union des industries et métiers de la métallurgie (UIMM), un des hommes forts du Medef (lire ci-dessous), ou de proches collaborateurs, dans une agence parisienne de BNP Paribas. Au total, entre 2000 et le printemps 2007, 5,64 millions d’euros auraient été retirés du compte de l’organisation. Pour qui ? Mystère.
La brigade financière de Paris mène une enquête sur les retraits d'argent liquide de la part des dirigeants de la fédération patronale de la métallurgie. Ce dossier fait resurgir indirectement le problème des ressources des syndicats.
Quelle est l’origine de l’affaire ?
C’est Le Figaro qui a révélé l’affaire, dans son édition du 26 septembre, affirmant que Tracfin, la cellule de lutte contre le blanchiment du ministère de l’économie et des finances, enquêtait depuis plusieurs années sur des retraits d’argent liquide effectués par Denis Gautier-Sauvagnac, président de l’Union des industries et métiers de la métallurgie (UIMM), un des hommes forts du Medef (lire ci-dessous), ou de proches collaborateurs, dans une agence parisienne de BNP Paribas. Au total, entre 2000 et le printemps 2007, 5,64 millions d’euros auraient été retirés du compte de l’organisation. Pour qui ? Mystère.
Le Parisien/Aujourd'hui en France
EADS : Nicolas Sarkozy exige toute la vérité
Le président de la République a affirmé, hier, vouloir faire toute la lumière sur les responsabilités dans le dossier EADS. Une volonté de clarification qui vise les services de l'Etat mais aussi le groupe Lagardère, dont le PDG est un ami de vingt ans.
Pour la première fois depuis le début de l'affaire EADS, le président de la République s'est exprimé sur ce dossier empoisonné. Alors que la polémique enfle sur le rôle de l'Etat, il a profité d'un déplacement dans une usine à Mâcon pour affirmer haut et fort que l'enquête sur le groupe aéronautique et de défense devait « aller jusqu'au bout pour savoir quelles ont été les responsabilités de l'Etat ». Et, faisant référence aux lourds soupçons de délit d'initiés qui pèsent sur les actionnaires privés et les dirigeants d'EADS, le chef de l'Etat a martelé « que ceux qui se sont comportés de façon malhonnête soient punis ».
Le président de la République a affirmé, hier, vouloir faire toute la lumière sur les responsabilités dans le dossier EADS. Une volonté de clarification qui vise les services de l'Etat mais aussi le groupe Lagardère, dont le PDG est un ami de vingt ans.
Pour la première fois depuis le début de l'affaire EADS, le président de la République s'est exprimé sur ce dossier empoisonné. Alors que la polémique enfle sur le rôle de l'Etat, il a profité d'un déplacement dans une usine à Mâcon pour affirmer haut et fort que l'enquête sur le groupe aéronautique et de défense devait « aller jusqu'au bout pour savoir quelles ont été les responsabilités de l'Etat ». Et, faisant référence aux lourds soupçons de délit d'initiés qui pèsent sur les actionnaires privés et les dirigeants d'EADS, le chef de l'Etat a martelé « que ceux qui se sont comportés de façon malhonnête soient punis ».
La Tribune
Émissions de CO2 : le plan français remis en cause
Le rapport sur l'énergie à l'horizon 2050, que remet cette semaine Jean Syrota au Conseil d'analyse stratégique, revoit en forte baisse les objectifs de réduction des émissions de gaz à effet de serre. Au lieu du " Facteur 4 " évoqué jusqu'ici, la division serait de seulement 2,1 à 2,4.
SAP met la main sur Business Objects
L'opération se monte à 4,8 milliards d'euros. Elle permet à SAP de conforter sa place de leader des applications d'entreprise face à son rival américain Oracle.
Wall Street s'attend à de piètres profits
Les consensus des analystes établis par Thomson et Reuters tablent sur une croissance des profits de 1,4 % à 3,2 % au troisième trimestre. Le secteur financier rassure.
EADS : débat sur la gouvernance de la CDC
L'affaire EADS apporte de l'eau au moulin des partisans d'une réforme de la gouvernance de la Caisse des dépôts (CDC). Nicolas Sarkozy a affirmé hier que l'enquête devait " aller jusqu'au bout pour savoir quelles ont été les responsabilités de l'État ".
Le rapport sur l'énergie à l'horizon 2050, que remet cette semaine Jean Syrota au Conseil d'analyse stratégique, revoit en forte baisse les objectifs de réduction des émissions de gaz à effet de serre. Au lieu du " Facteur 4 " évoqué jusqu'ici, la division serait de seulement 2,1 à 2,4.
SAP met la main sur Business Objects
L'opération se monte à 4,8 milliards d'euros. Elle permet à SAP de conforter sa place de leader des applications d'entreprise face à son rival américain Oracle.
Wall Street s'attend à de piètres profits
Les consensus des analystes établis par Thomson et Reuters tablent sur une croissance des profits de 1,4 % à 3,2 % au troisième trimestre. Le secteur financier rassure.
EADS : débat sur la gouvernance de la CDC
L'affaire EADS apporte de l'eau au moulin des partisans d'une réforme de la gouvernance de la Caisse des dépôts (CDC). Nicolas Sarkozy a affirmé hier que l'enquête devait " aller jusqu'au bout pour savoir quelles ont été les responsabilités de l'État ".
Les Echos
Télévision : le gouvernement veut changer la donne en 2008
La ministre de la Culture et de la Communication, Christine Albanel, a annoncé hier, lors du Salon Mipcom de Cannes, qu'une loi sur l'audiovisuel sera présentée « dans les prochains mois ». Elle transposera la nouvelle directive européenne Télévision sans frontières, qui permettra d'augmenter le volume de la publicité à la télévision. Mais le gouvernement en profitera aussi pour assouplir la réglementation actuelle qui pèse sur les chaînes de télévision, notamment privées. Les obligations d'investissement dans la production, notamment indépendante, devraient être allégées. Les règles anticoncentration, qui plafonnent à 49 % la part détenue par un actionnaire dans une chaîne hertzienne analogique, pourraient être revues afin de favoriser l'émergence de groupes français plus puissants.
La ministre de la Culture et de la Communication, Christine Albanel, a annoncé hier, lors du Salon Mipcom de Cannes, qu'une loi sur l'audiovisuel sera présentée « dans les prochains mois ». Elle transposera la nouvelle directive européenne Télévision sans frontières, qui permettra d'augmenter le volume de la publicité à la télévision. Mais le gouvernement en profitera aussi pour assouplir la réglementation actuelle qui pèse sur les chaînes de télévision, notamment privées. Les obligations d'investissement dans la production, notamment indépendante, devraient être allégées. Les règles anticoncentration, qui plafonnent à 49 % la part détenue par un actionnaire dans une chaîne hertzienne analogique, pourraient être revues afin de favoriser l'émergence de groupes français plus puissants.
L'Equipe
Wayne Barnes soutenu par l'IRB
Insulté et menacé de mort par des supporters néo-zélandais à l'issue de la défaite des All Blacks face à la France (18-20), Wayne Barnes (photo l'Equipe), l'arbitre anglais de la rencontre, a reçu mardi le soutien de la Fédération internationale (IRB). «Je crois que c'est une honte et que les gens doivent grandir», a notamment déclaré Paddy O'Brien, le président de la commission des arbitres, à la radio BBC Radio 5live.
Insulté et menacé de mort par des supporters néo-zélandais à l'issue de la défaite des All Blacks face à la France (18-20), Wayne Barnes (photo l'Equipe), l'arbitre anglais de la rencontre, a reçu mardi le soutien de la Fédération internationale (IRB). «Je crois que c'est une honte et que les gens doivent grandir», a notamment déclaré Paddy O'Brien, le président de la commission des arbitres, à la radio BBC Radio 5live.
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