Raffarin avait cru régler le problème en faisant appel à un expert de la société civile, Luc Ferry. Sarkozy pourrait faire de même en nommant Richard Descoings, le directeur de Sciences-po.Car dans la majorité, les candidats à l'éventuelle succession de Xavier Darcos ne se bousculent pas.
L'école et son million de fonctionnaires attirent nettement moins que l'agriculture ou la justice. Pour remplacer Michel Barnier et Rachida Dati, futurs députés européens, Sarkozy a l'embarras du choix. Sauvadet, Mercier, Chatel; Boutin sont sur les rangs, ... tout comme Xavier Darcos qui a même commencé à consulter quelques hauts magistrats familiers de la place Vendôme.
L'Education nationale, c'est une autre histoire. A notre connaissance, aucun ministre en place na fait savoir quil pourrait être intéressé. Et en dehors du trop jeune Benoit Apparu, l'UMP compte peu de parlementaires qui s'investissent dans la politique éducative. Face à ce casse tête, on comprend que Nicolas Sarkozy soit tenté sen sortir par l'ouverture, sa botte secrète. Le patron de Sciences-Po aurait le profit idéal: plutôt de gauche, il connaît parfaitement la machine de la rue de Grenelle. Sauf que si l'on en croit les propos qu'il a tenu dans un entretien au Bondy Blog, il n'est pas question pour lui d'entrer au gouvernement : ce combat-là n'est pas le mien. (...)
Savez-vous ce qu'est un ministre ? Un ministre, c'est une femme ou un homme qui participe à la conquête du pouvoir, puis à son exercice, et qui ensuite a l'espoir de se maintenir à son poste. Cette conquête du pouvoir politique, dans l'idée que je m'en fais, passe par des élections Si Descoings ne change pas davis, Nicolas Sarkozy peut toujours confier le ministère de l'Education nationale a un poids lourd. L'intéressé pourra difficilement refuser. C'est ... lire la suite de l'article sur Libération.fr
Source: Libération via Yahoo News
L'école et son million de fonctionnaires attirent nettement moins que l'agriculture ou la justice. Pour remplacer Michel Barnier et Rachida Dati, futurs députés européens, Sarkozy a l'embarras du choix. Sauvadet, Mercier, Chatel; Boutin sont sur les rangs, ... tout comme Xavier Darcos qui a même commencé à consulter quelques hauts magistrats familiers de la place Vendôme.
L'Education nationale, c'est une autre histoire. A notre connaissance, aucun ministre en place na fait savoir quil pourrait être intéressé. Et en dehors du trop jeune Benoit Apparu, l'UMP compte peu de parlementaires qui s'investissent dans la politique éducative. Face à ce casse tête, on comprend que Nicolas Sarkozy soit tenté sen sortir par l'ouverture, sa botte secrète. Le patron de Sciences-Po aurait le profit idéal: plutôt de gauche, il connaît parfaitement la machine de la rue de Grenelle. Sauf que si l'on en croit les propos qu'il a tenu dans un entretien au Bondy Blog, il n'est pas question pour lui d'entrer au gouvernement : ce combat-là n'est pas le mien. (...)
Savez-vous ce qu'est un ministre ? Un ministre, c'est une femme ou un homme qui participe à la conquête du pouvoir, puis à son exercice, et qui ensuite a l'espoir de se maintenir à son poste. Cette conquête du pouvoir politique, dans l'idée que je m'en fais, passe par des élections Si Descoings ne change pas davis, Nicolas Sarkozy peut toujours confier le ministère de l'Education nationale a un poids lourd. L'intéressé pourra difficilement refuser. C'est ... lire la suite de l'article sur Libération.fr
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