« Nous avons déjà fait des progrès significatifs avec le processus de réforme administrative et la création du Conseil des droits de l'homme et de la Commission de consolidation de la paix. Mais la tâche restera incomplète sans une réforme du Conseil de sécurité, l'organe qui est en charge des questions de paix », a déclaré le président brésilien, à l'ouverture du débat général.
« Avec les autres pays du G-4 Japon, Inde, Allemagne, le Brésil estime que le Conseil de sécurité doit envisager l'entrée des pays en développement en tant que membres permanents. Ce qui rendra l'organe plus démocratique, légitime et représentatif », a ajouté le président Lula.
Convaincu également de la nécessité de réformer le Conseil, le président du Mexique a estimé en revanche que le Conseil ne devait pas passer par une augmentation du nombre de ses membres permanents.
Selon Vincente Fox, la réforme doit permettre in fine à tous les États membres de participer plus fréquemment aux travaux de cet organe. C'est pourquoi le Mexique est partisan d'un élargissement du nombre des membres non permanents du Conseil de sécurité.
Le président Musharraf a également souligné l'importance d'une réforme du Conseil de sécurité afin de « rendre le fonctionnement de cet organe plus démocratique, transparent et inclusif ».
La réforme du Conseil, étant d'un intérêt vital pour chaque État membre, doit pouvoir s'appuyer sur le consensus le plus large possible, a affirmé le président pakistanais.
Le président du Congo, Sassou Nguesso, dont le pays préside l'Union africaine, a souhaité voir améliorer la représentativité du Conseil de sécurité, conformément à la proposition africaine d'un élargissement équitable, et dynamiser l'Assemblée générale.
« Il est indéniable que le Conseil de sécurité a besoin de légitimité et d'efficacité. Il faut savoir que tant que le Conseil sera incapable d'agir au nom de la communauté internationale dans son ensemble, de manière transparente, juste et démocratique, il ne sera ni légitime, ni efficace », a déclaré pour sa part le président de l'Iran.
« Par ailleurs, la relation directe entre l'abus du veto et l'érosion de sa légitimité et de l'efficacité du Conseil a été clairement établie », a-t-il ajouté.
« Avec les autres pays du G-4 Japon, Inde, Allemagne, le Brésil estime que le Conseil de sécurité doit envisager l'entrée des pays en développement en tant que membres permanents. Ce qui rendra l'organe plus démocratique, légitime et représentatif », a ajouté le président Lula.
Convaincu également de la nécessité de réformer le Conseil, le président du Mexique a estimé en revanche que le Conseil ne devait pas passer par une augmentation du nombre de ses membres permanents.
Selon Vincente Fox, la réforme doit permettre in fine à tous les États membres de participer plus fréquemment aux travaux de cet organe. C'est pourquoi le Mexique est partisan d'un élargissement du nombre des membres non permanents du Conseil de sécurité.
Le président Musharraf a également souligné l'importance d'une réforme du Conseil de sécurité afin de « rendre le fonctionnement de cet organe plus démocratique, transparent et inclusif ».
La réforme du Conseil, étant d'un intérêt vital pour chaque État membre, doit pouvoir s'appuyer sur le consensus le plus large possible, a affirmé le président pakistanais.
Le président du Congo, Sassou Nguesso, dont le pays préside l'Union africaine, a souhaité voir améliorer la représentativité du Conseil de sécurité, conformément à la proposition africaine d'un élargissement équitable, et dynamiser l'Assemblée générale.
« Il est indéniable que le Conseil de sécurité a besoin de légitimité et d'efficacité. Il faut savoir que tant que le Conseil sera incapable d'agir au nom de la communauté internationale dans son ensemble, de manière transparente, juste et démocratique, il ne sera ni légitime, ni efficace », a déclaré pour sa part le président de l'Iran.
« Par ailleurs, la relation directe entre l'abus du veto et l'érosion de sa légitimité et de l'efficacité du Conseil a été clairement établie », a-t-il ajouté.
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