D'après ce texte, la société propose de débourser 275 millions d'euros pour acquérir une participation de 50,1% dans la filiale allemande de General Motors, le constructeur américain conservant les 39,9% restants.
RHJ est en concurrence avec l'équipementier canadien Magna et le chinois Beijing Automative (BAIC) pour la reprise du constructeur automobile allemand.
La chancelière allemande Angela Merkel a dit jeudi qu'elle soutenait le projet du canadien Magna mais Berlin a affirmé que la compétition était encore ouverte.
Un porte-parole du gouvernement allemand a rappelé vendredi que l'Allemagne conservait une préférence pour l'offre de Magna. "Ainsi que vous vous en souvenez, nous avons déjà bien précisé, lors de la réunion à la chancellerie... que nous avions une préférence pour le projet de Magna", a dit le porte-parole Ulrich Wilhelm. "Rien n'a changé à ce sujet mais le fait demeure que le processus reste ouvert".
Il a ajouté que les discussions avec Magna et RHJ étaient plus avancées que celles avec BAIC.
D'après l'offre de reprise de RHJ, le groupe d'investissement prévoit de fermer l'usine d'Anvers, en Belgique, en mars 2010, et de mettre l'usine d'Eisenach au chômage technique jusqu'en 2012.
Il compte par ailleurs réduire la production des sites de Bochum et Rüsselsheim en Allemagne, de Saragosse en Espagne et éventuellement Luton, en Grande-Bretagne, si Renault y retire sa production.
Des réductions de salaires de l'ordre de 250 à 300 millions d'euros par an seraient également demandées aux salariés en contrepartie de l'octroi d'une participation de 10%. Le projet de RHJ prévoit un retour à un bénéfice d'exploitation d'ici 2011.
Le directeur général du groupe Leonhard Fischer a assuré au quotidien allemand Bild qu'il considérait le projet de rachat d'Opel comme un investissement à long terme.
"En tant que holding industrielle cotée, nous pensons à long terme. Cela s'applique aussi à Opel", a dit le responsable au Bild, démentant les spéculations sur une possible revente d'Opel par RHJ après une courte période, éventuellement à GM.
Leonhard Fischer a par ailleurs précisé que RHJ comptait préserver les quatre sites d'Opel en Allemagne, tout en supprimant 10.000 emplois en Europe. Il n'a pas indiqué combien de postes seraient supprimés en Allemagne.
L'agence Bloomberg rapporte par ailleurs vendredi que General Motors devrait probablement faire connaître son choix pour la reprise d'Opel en début de semaine prochaine.
Magna et RHJ sont "probablement les favoris", ajoute l'agence de presse, en citant les propos tenus par Nick Reilly, directeur de GM pour la région Asie-Pacifique, dans le cadre d'une interview.
General Motors n'a pas pu être joint dans l'immédiat pour commenter cette information.
Source: Reuters via Yahoo news
RHJ est en concurrence avec l'équipementier canadien Magna et le chinois Beijing Automative (BAIC) pour la reprise du constructeur automobile allemand.
La chancelière allemande Angela Merkel a dit jeudi qu'elle soutenait le projet du canadien Magna mais Berlin a affirmé que la compétition était encore ouverte.
Un porte-parole du gouvernement allemand a rappelé vendredi que l'Allemagne conservait une préférence pour l'offre de Magna. "Ainsi que vous vous en souvenez, nous avons déjà bien précisé, lors de la réunion à la chancellerie... que nous avions une préférence pour le projet de Magna", a dit le porte-parole Ulrich Wilhelm. "Rien n'a changé à ce sujet mais le fait demeure que le processus reste ouvert".
Il a ajouté que les discussions avec Magna et RHJ étaient plus avancées que celles avec BAIC.
D'après l'offre de reprise de RHJ, le groupe d'investissement prévoit de fermer l'usine d'Anvers, en Belgique, en mars 2010, et de mettre l'usine d'Eisenach au chômage technique jusqu'en 2012.
Il compte par ailleurs réduire la production des sites de Bochum et Rüsselsheim en Allemagne, de Saragosse en Espagne et éventuellement Luton, en Grande-Bretagne, si Renault y retire sa production.
Des réductions de salaires de l'ordre de 250 à 300 millions d'euros par an seraient également demandées aux salariés en contrepartie de l'octroi d'une participation de 10%. Le projet de RHJ prévoit un retour à un bénéfice d'exploitation d'ici 2011.
Le directeur général du groupe Leonhard Fischer a assuré au quotidien allemand Bild qu'il considérait le projet de rachat d'Opel comme un investissement à long terme.
"En tant que holding industrielle cotée, nous pensons à long terme. Cela s'applique aussi à Opel", a dit le responsable au Bild, démentant les spéculations sur une possible revente d'Opel par RHJ après une courte période, éventuellement à GM.
Leonhard Fischer a par ailleurs précisé que RHJ comptait préserver les quatre sites d'Opel en Allemagne, tout en supprimant 10.000 emplois en Europe. Il n'a pas indiqué combien de postes seraient supprimés en Allemagne.
L'agence Bloomberg rapporte par ailleurs vendredi que General Motors devrait probablement faire connaître son choix pour la reprise d'Opel en début de semaine prochaine.
Magna et RHJ sont "probablement les favoris", ajoute l'agence de presse, en citant les propos tenus par Nick Reilly, directeur de GM pour la région Asie-Pacifique, dans le cadre d'une interview.
General Motors n'a pas pu être joint dans l'immédiat pour commenter cette information.
Source: Reuters via Yahoo news
A lire également:
-
Les Français en temps de crise
-
Londres: opération antiterroriste au Royaume-Uni et news Europe
-
Irlande: le budget d'austérité le plus sévère de l'histoire du pays et news Monde
-
GENEVE: Un cyclone fait 45 morts, des milliers de sans-abri et news Asie
-
Palestine: Fayyad annule une visite à Jérusalem-Est et infos Moyen Orient