Des sources dignes de foi ont à cet effet appris au Phare que le dossier Udps a occupé l'essentiel de la réunion de l'espace présidentiel qui s'est tenue mardi. Selon les mêmes sources, c'est ce qu'on craignait même à ce niveau qui s'est malheureusement produit: les clivages traditionnels se sont reproduits entre d'un côté le Camp dit de la patrie et de l'autre l'Alliance pour la Sauvegarde du Dialogue Intercongolais. Pour le premier, il n'est pas du tout question de rouvrir les bureaux d'enrôlement, tandis que pour le deuxième, le statut d'homme d'Etat exige de dépasser ses propres sentiments pour privilégier uniquement l'intérêt de la nation.
Garder le cap
Ces informations couplées aux dernières déclarations aussi bien du Président de la CEI que de l'ambassadeur américain confirment ainsi deux thèses. La première: l'existence d'un complot international auquel ont adhéré certains Congolais pour étouffer les forces nationalistes et favoriser le règne de l'impunité. La deuxième: Tshisekedi et l'Udps font peur. Peur de l'inconnu pour certains, mais aussi peur, pour d'autres, de perdre de véritables situations de rente dans un pays redevenu comptoir colonial et ouvert, comme jadis le bassin du Congo après la Conférence Internationale de Berlin, à tous les réseaux maffieux.
Bref, alors que pour nombre de ténors de l'espace présidentiel, le leader de l'Udps ne représente plus rien, les mêmes rejettent paradoxalement toute idée d'en apporter la preuve par la réouverture des bureaux d'enrôlement, d'autant que ce ne sont pas les Congolais qui financent une opération dont on sait qu'elle devrait être limitée aussi bien dans le temps que dans l'espace.
Garder le cap
Ces informations couplées aux dernières déclarations aussi bien du Président de la CEI que de l'ambassadeur américain confirment ainsi deux thèses. La première: l'existence d'un complot international auquel ont adhéré certains Congolais pour étouffer les forces nationalistes et favoriser le règne de l'impunité. La deuxième: Tshisekedi et l'Udps font peur. Peur de l'inconnu pour certains, mais aussi peur, pour d'autres, de perdre de véritables situations de rente dans un pays redevenu comptoir colonial et ouvert, comme jadis le bassin du Congo après la Conférence Internationale de Berlin, à tous les réseaux maffieux.
Bref, alors que pour nombre de ténors de l'espace présidentiel, le leader de l'Udps ne représente plus rien, les mêmes rejettent paradoxalement toute idée d'en apporter la preuve par la réouverture des bureaux d'enrôlement, d'autant que ce ne sont pas les Congolais qui financent une opération dont on sait qu'elle devrait être limitée aussi bien dans le temps que dans l'espace.
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