Une Texane qui avait contracté le virus est morte cette semaine, ont annoncé les autorités sanitaires de l'Etat, rapportant ainsi le second décès sur le sol américain.
La mort de cette femme âgée d'une trentaine d'années et qui souffrait de problèmes de santé est la deuxième enregistrée au Texas après celle d'un nourrisson mexicain qui se trouvait aux Etats-Unis.
Les autorités américaines avaient prévenu que l'épidémie risquait de s'étendre et de faire de nouvelles victimes, comme peuvent en faire les grippes saisonnières.
Au Mexique, trois nouveaux décès ont été signalés par les autorités sanitaires, portant à 29 le nombre de morts attribuées à cette grippe.
Cette annonce intervient alors que le pays, le plus affecté par la grippe A (H1N1), semble considérer que le pic de l'épidémie est derrière lui et reprend peu à peu le cours normal de ses activités.
L'Organisation mondiale de la santé (OMS) faisait état mardi soir de 1.490 cas de contamination confirmés dans 21 pays, dont 403 aux Etats-Unis.
Contrairement au Mexique, où les restrictions prises pour éviter une propagation du virus sont progressivement levées, les Etats-Unis redoutent toujours l'apparition de nombreux cas. Quelque sept cents cas "probables" étaient signalés mardi.
"Nous anticipons une augmentation de ces chiffres et malheureusement, il est probable qu'il y ait davantage d'hospitalisations et de décès", a déclaré Kathleen Sebelius, secrétaire des services publics de santé.
La prudence est également de mise à l'OMS qui maintient son alerte pandémique au niveau 5, soit un état de pandémie "imminente".
"Si (le virus) se propage dans le monde entier, il y aura des centaines de millions de personnes contaminées", a déclaré le docteur Keiji Fukuda lors d'un point presse de l'OMS.
Malgré le discours rassurant tenu par le gouvernement du Mexique, épicentre de l'épidémie et pays le plus durement affecté jusqu'à lors, l'OMS n'exclut pas de relever son alerte au niveau 6, le plus élevé de son échelle.
"Ce n'est pas tant une question de nombre de pays mais plutôt de savoir si le virus s'installe comme ici et commence à se transmettre de personne à personne dans un de ces pays", a expliqué le docteur Richard Besser, directeur du Centre américain de contrôle des maladies.
"Compte tenu du nombre de pays qui ont confirmés des cas, on peut penser que ce critère finira par être rempli", a-t-il souligné.
Besser et Fukuda ont en outre insisté sur la nécessité de surveiller de près l'hémisphère sud, où l'hiver et la saison de grippe débutent.
L'OMS cherche par ailleurs à comprendre pourquoi le Mexique a enregistré davantage de cas mortels que les autres pays, alors que partout dans le monde, y compris au Mexique, la plupart des malades se sont rétablis avec peu ou pas de traitement antigrippal.
Source: Yahoo News
La mort de cette femme âgée d'une trentaine d'années et qui souffrait de problèmes de santé est la deuxième enregistrée au Texas après celle d'un nourrisson mexicain qui se trouvait aux Etats-Unis.
Les autorités américaines avaient prévenu que l'épidémie risquait de s'étendre et de faire de nouvelles victimes, comme peuvent en faire les grippes saisonnières.
Au Mexique, trois nouveaux décès ont été signalés par les autorités sanitaires, portant à 29 le nombre de morts attribuées à cette grippe.
Cette annonce intervient alors que le pays, le plus affecté par la grippe A (H1N1), semble considérer que le pic de l'épidémie est derrière lui et reprend peu à peu le cours normal de ses activités.
L'Organisation mondiale de la santé (OMS) faisait état mardi soir de 1.490 cas de contamination confirmés dans 21 pays, dont 403 aux Etats-Unis.
Contrairement au Mexique, où les restrictions prises pour éviter une propagation du virus sont progressivement levées, les Etats-Unis redoutent toujours l'apparition de nombreux cas. Quelque sept cents cas "probables" étaient signalés mardi.
"Nous anticipons une augmentation de ces chiffres et malheureusement, il est probable qu'il y ait davantage d'hospitalisations et de décès", a déclaré Kathleen Sebelius, secrétaire des services publics de santé.
La prudence est également de mise à l'OMS qui maintient son alerte pandémique au niveau 5, soit un état de pandémie "imminente".
"Si (le virus) se propage dans le monde entier, il y aura des centaines de millions de personnes contaminées", a déclaré le docteur Keiji Fukuda lors d'un point presse de l'OMS.
Malgré le discours rassurant tenu par le gouvernement du Mexique, épicentre de l'épidémie et pays le plus durement affecté jusqu'à lors, l'OMS n'exclut pas de relever son alerte au niveau 6, le plus élevé de son échelle.
"Ce n'est pas tant une question de nombre de pays mais plutôt de savoir si le virus s'installe comme ici et commence à se transmettre de personne à personne dans un de ces pays", a expliqué le docteur Richard Besser, directeur du Centre américain de contrôle des maladies.
"Compte tenu du nombre de pays qui ont confirmés des cas, on peut penser que ce critère finira par être rempli", a-t-il souligné.
Besser et Fukuda ont en outre insisté sur la nécessité de surveiller de près l'hémisphère sud, où l'hiver et la saison de grippe débutent.
L'OMS cherche par ailleurs à comprendre pourquoi le Mexique a enregistré davantage de cas mortels que les autres pays, alors que partout dans le monde, y compris au Mexique, la plupart des malades se sont rétablis avec peu ou pas de traitement antigrippal.
Source: Yahoo News
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