D'après Ifop-Fiducial, l'UMP alliée aux centristes de l'UDI et du MoDem recueille 29,7% des voix, devant le FN (26,4%) et le PS (20,9%). Les divers droite obtiendraient 7,8%, le Front de gauche 5,9%, les divers gauche 6,5%.
Europe Ecologie-Les Verts (EELV), qui ne s'était allié au PS que dans 20% des cantons et s'était rapproché de l'extrême gauche, s'effondre : il obtient 1,4%.
Selon une estimation CSA, l'UMP-UDI remporte 31% des suffrages, le FN 24%, le PS et ses alliés 19,70%, le Front de gauche 9,70%, les divers gauche 7,70%, les divers droite 6,60%.
Dans cette configuration, le bloc de droite est crédité de 38%, devant la gauche (37%) et le FN.
"Même si le Front national gagne plus de dix points par rapport aux cantonales de 2011, sa progression marque le pas, on semble avoir atteint un plafond", a relevé le PDG de CSA, Bernard Sananès, sur BFM TV.
Au vu des estimations, ce scrutin intermédiaire, qui augure traditionnellement du rapport de forces pour la présidentielle, marque pour l''UMP un succès notable. Si Alain Juppé demeure ferme dans son refus d'une alliance avec le FN, il n'en va pas de même de Nicolas Sarkozy qui reste dans la posture contestée du "ni ni" (ni FN ni Front républicain) tout en s'adressant aux électeurs du FN, dont il assure "entendre l'exaspération". Il semble ne pas tenir compte du revers que lui avait fait essuyé sa campagne droitière en 2012.
Manuel Valls, qui avait dramatisé la campagne en l'axant contre le "danger" du FN, a estimé que les formations républicaines avaient "tenu leur place" et s'est réjoui que l'extrême droite ne soit pas "la première formation de France". Il a invité "tous les républicains à faire barrage à l'extrême droite".
Bien que le FN ne soit plus "le premier parti de France", Marine Le Pen a fait contre bonne fortune bon cœur, se plaignant d'une "campagne ordurière et violente" de Manuel Valls. Elle a réclamé le départ du Premier ministre.
A l'occasion de ce scrutin inédit, les Français doivent élire un couple de conseillers dans 2.054 cantons, à l'exception de Paris, Lyon, Guyane et Martinique. Le rapport de forces gauche-droite est actuellement de 61-41 sur les 102 départements que compte la France. Si elles veulent conserver la majorité présidentielle, les forces de gauche tireront probablement la leçon de leur désunion.
Europe Ecologie-Les Verts (EELV), qui ne s'était allié au PS que dans 20% des cantons et s'était rapproché de l'extrême gauche, s'effondre : il obtient 1,4%.
Selon une estimation CSA, l'UMP-UDI remporte 31% des suffrages, le FN 24%, le PS et ses alliés 19,70%, le Front de gauche 9,70%, les divers gauche 7,70%, les divers droite 6,60%.
Dans cette configuration, le bloc de droite est crédité de 38%, devant la gauche (37%) et le FN.
"Même si le Front national gagne plus de dix points par rapport aux cantonales de 2011, sa progression marque le pas, on semble avoir atteint un plafond", a relevé le PDG de CSA, Bernard Sananès, sur BFM TV.
Au vu des estimations, ce scrutin intermédiaire, qui augure traditionnellement du rapport de forces pour la présidentielle, marque pour l''UMP un succès notable. Si Alain Juppé demeure ferme dans son refus d'une alliance avec le FN, il n'en va pas de même de Nicolas Sarkozy qui reste dans la posture contestée du "ni ni" (ni FN ni Front républicain) tout en s'adressant aux électeurs du FN, dont il assure "entendre l'exaspération". Il semble ne pas tenir compte du revers que lui avait fait essuyé sa campagne droitière en 2012.
Manuel Valls, qui avait dramatisé la campagne en l'axant contre le "danger" du FN, a estimé que les formations républicaines avaient "tenu leur place" et s'est réjoui que l'extrême droite ne soit pas "la première formation de France". Il a invité "tous les républicains à faire barrage à l'extrême droite".
Bien que le FN ne soit plus "le premier parti de France", Marine Le Pen a fait contre bonne fortune bon cœur, se plaignant d'une "campagne ordurière et violente" de Manuel Valls. Elle a réclamé le départ du Premier ministre.
A l'occasion de ce scrutin inédit, les Français doivent élire un couple de conseillers dans 2.054 cantons, à l'exception de Paris, Lyon, Guyane et Martinique. Le rapport de forces gauche-droite est actuellement de 61-41 sur les 102 départements que compte la France. Si elles veulent conserver la majorité présidentielle, les forces de gauche tireront probablement la leçon de leur désunion.
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