Poursuite des négociations de paix
Les Palestiniens ne se prononceront pas officiellement sur la poursuite des négociations de paix avec Israël avant le 4 octobre, a déclaré, lundi à Paris, Mahmoud Abbas, président de l'Autorité palestinienne. Le président palestinien s'exprimait au cours d'une conférence de presse conjointe avec Nicolas Sarkozy, alors qu'un gel partiel de dix mois des constructions dans les colonies juives en Cisjordanie a pris fin lundi, menaçant les négociations de paix israélo-palestiniennes."Il n'y aura pas de réponse officielle avant le 4 octobre", avait annoncé dans la matinée Nabil Abou Roudeina, le porte-parole de Mahmoud Abbas. "Ce jour-là, le président Abbas consultera les pays arabes et reviendra devant la direction palestinienne pour prendre la bonne décision, pour rendre la bonne réponse", avait-il ajouté. "Nous sommes en contact permanent avec l'administration américaine, les efforts américains se poursuivent, mais nous attendons la position finale israélienne et nous pourrons alors formuler une réponse claire", avait déclaré le porte-parole. "Concernant ce qui a été dit hier en Israël, notre position est claire et évidente. Nous sommes prêts à des négociations sérieuses, mais les activités de colonisation doivent cesser immédiatement. C'est la seule manière de poursuivre des discussions fructueuses", avait souligné Nabil Abou Roudeina.Les constructions ont repris à une échelle limitée.Le Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahou, a appelé Mahmoud Abbas à poursuivre les négociations de paix, dans un communiqué publié peu après le terme du moratoire sur la colonisation, dimanche à minuit. "Je lance un appel au président Abbas pour qu'il continue à mener les pourparlers bons et honnêtes que nous venons de lancer pour tenter de parvenir à un accord de paix historique entre nos deux peuples", a déclaré le dirigeant israélien.(Le Point)
Un émissaire malien affirme avoir vu les otages enlevés au Niger
C'est la nouvelle que les familles et les autorités attendaient. Une source malienne, généralement impliquée dans les négociations en vue de la libération des otages a affirmé, dimanche à l'AFP à Bamako, avoir vu les Français enlevés au Niger par Al-Qaida au Maghreb islamique et qu'ils étaient tous en vie. Aucun détail n'a été donné sur cette rencontre avec les otages et leurs ravisseurs. 'Il faut un maximum de discrétion. C'est pour rassurer les familles que nous donnons l'information, mais ne nous demandez pas plus', a ajouté la même source. La France attend toujours les exigences d'AQMI, a déclaré lundi, sur Canal +, Hervé Morin. 'Nous attendons les revendications d'Al-Qaida pour discuter', a dit le ministre de la défense. 'J'ai bien entendu espoir, mais c'est forcément quelque chose de complexe, difficile, incertain avec en face un groupe de quatre cent cinquante à cinq cents hommes puisque c'est à peu près cela le nombre de combattants d'Al-Qaida sur ces zones immenses , un groupe qui fait la guerre à la totalité de l'Occident', a-t-il ajouté.'NOUS SOMMES PRÊTS À DISCUTER'.Dimanche, la présidence française a fait savoir qu'elle avait 'toutes les raisons de penser que les otages [étaient] en vie. Les pourparlers ne sont pas engagés, mais nous sommes ouverts à toute conversation. Nous sommes prêts à discuter avec les ravisseurs', a-t-on ajouté de même source.Dans la nuit du 15 au 16 septembre, cinq Français, un Togolais et un Malgache, pour la plupart collaborateurs des sociétés françaises Areva et Satom (groupe Vinci), avaient été enlevés à leur domicile à Arlit, dans le nord du Niger. La France pense que les victimes sont retenues prisonnières dans le désert aux confins de l'Algérie et du Mali, dans une zone appelée le Timétrine.(Le Monde)
Sources : Yahoo Actualités
Les Palestiniens ne se prononceront pas officiellement sur la poursuite des négociations de paix avec Israël avant le 4 octobre, a déclaré, lundi à Paris, Mahmoud Abbas, président de l'Autorité palestinienne. Le président palestinien s'exprimait au cours d'une conférence de presse conjointe avec Nicolas Sarkozy, alors qu'un gel partiel de dix mois des constructions dans les colonies juives en Cisjordanie a pris fin lundi, menaçant les négociations de paix israélo-palestiniennes."Il n'y aura pas de réponse officielle avant le 4 octobre", avait annoncé dans la matinée Nabil Abou Roudeina, le porte-parole de Mahmoud Abbas. "Ce jour-là, le président Abbas consultera les pays arabes et reviendra devant la direction palestinienne pour prendre la bonne décision, pour rendre la bonne réponse", avait-il ajouté. "Nous sommes en contact permanent avec l'administration américaine, les efforts américains se poursuivent, mais nous attendons la position finale israélienne et nous pourrons alors formuler une réponse claire", avait déclaré le porte-parole. "Concernant ce qui a été dit hier en Israël, notre position est claire et évidente. Nous sommes prêts à des négociations sérieuses, mais les activités de colonisation doivent cesser immédiatement. C'est la seule manière de poursuivre des discussions fructueuses", avait souligné Nabil Abou Roudeina.Les constructions ont repris à une échelle limitée.Le Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahou, a appelé Mahmoud Abbas à poursuivre les négociations de paix, dans un communiqué publié peu après le terme du moratoire sur la colonisation, dimanche à minuit. "Je lance un appel au président Abbas pour qu'il continue à mener les pourparlers bons et honnêtes que nous venons de lancer pour tenter de parvenir à un accord de paix historique entre nos deux peuples", a déclaré le dirigeant israélien.(Le Point)
Un émissaire malien affirme avoir vu les otages enlevés au Niger
C'est la nouvelle que les familles et les autorités attendaient. Une source malienne, généralement impliquée dans les négociations en vue de la libération des otages a affirmé, dimanche à l'AFP à Bamako, avoir vu les Français enlevés au Niger par Al-Qaida au Maghreb islamique et qu'ils étaient tous en vie. Aucun détail n'a été donné sur cette rencontre avec les otages et leurs ravisseurs. 'Il faut un maximum de discrétion. C'est pour rassurer les familles que nous donnons l'information, mais ne nous demandez pas plus', a ajouté la même source. La France attend toujours les exigences d'AQMI, a déclaré lundi, sur Canal +, Hervé Morin. 'Nous attendons les revendications d'Al-Qaida pour discuter', a dit le ministre de la défense. 'J'ai bien entendu espoir, mais c'est forcément quelque chose de complexe, difficile, incertain avec en face un groupe de quatre cent cinquante à cinq cents hommes puisque c'est à peu près cela le nombre de combattants d'Al-Qaida sur ces zones immenses , un groupe qui fait la guerre à la totalité de l'Occident', a-t-il ajouté.'NOUS SOMMES PRÊTS À DISCUTER'.Dimanche, la présidence française a fait savoir qu'elle avait 'toutes les raisons de penser que les otages [étaient] en vie. Les pourparlers ne sont pas engagés, mais nous sommes ouverts à toute conversation. Nous sommes prêts à discuter avec les ravisseurs', a-t-on ajouté de même source.Dans la nuit du 15 au 16 septembre, cinq Français, un Togolais et un Malgache, pour la plupart collaborateurs des sociétés françaises Areva et Satom (groupe Vinci), avaient été enlevés à leur domicile à Arlit, dans le nord du Niger. La France pense que les victimes sont retenues prisonnières dans le désert aux confins de l'Algérie et du Mali, dans une zone appelée le Timétrine.(Le Monde)
Sources : Yahoo Actualités
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