L'ONU craint un massacre à Kobani: Au moins 500 civils sont toujours coincés dans la ville syrienne de Kobani, le long de la frontière avec la Turquie, et risquent d'être massacrés si elle tombe entre les mains des djihadistes du groupe armé État islamique, a prévenu vendredi le nouvel émissaire des Nations unies en Syrie. Staffan de Mistura a présenté aux journalistes réunis à Genève une carte de la ville. Il a expliqué qu'une analyse de la situation réalisée par l'ONU démontre que seul un étroit corridor permet encore aux gens d'entrer ou de sortir de Kobani. Il a lancé cet avertissement au moment où les djihadistes s'enfonçaient dans Kobani depuis le sud et l'est, s'emparant presque complètement d'un quartier où on retrouve des édifices de sécurité des miliciens kurdes, un commissariat de police et plusieurs immeubles gouvernementaux. L'attaque de l'organisation État islamique contre Kobani a débuté à la mi-septembre et quelque 200 000 personnes ont maintenant trouvé refuge en Turquie. Les combats auraient déjà fait plus de 500 morts. (La Presse Canadienne)
Le PKK menace de reprendre les armes contre la Turquie: Le Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK) reprendra les armes si la Turquie ne fait rien pour Kobani, ville du nord de la Syrie assiégée par les djihadistes de l'Etat islamique, a averti l'un des dirigeants du mouvement séparatiste. Ankara refuse d'ouvrir sa frontière pour permettre à des volontaires d'aller prêter main forte aux Unités de protection du peuple kurde (YPG), proches du PKK, qui défendent Kobani. "Nous avons averti la Turquie. Si elle continue dans cette voie, nous reprendrons notre guérilla pour défendre notre peuple", affirme Cemil Bayik, membre fondateur du PKK qui en est aussi le plus haut dirigeant en liberté, dans un entretien réalisé par la chaîne de télévision allemande ARD à Erbil, capitale du Kurdistan irakien autonome. (Reuters)
Ankara juge "irréaliste" un corridor pour ravitailler Kobani: Etablir un corridor pour envoyer des armes et des renforts à partir de Turquie aux défenseurs kurdes de la ville syrienne de Kobani est "irréaliste", a estimé dimanche le ministre turc des Affaires étrangères, Mevlut Cavusoglu. Interrogé sur la chaîne de télévision France 24, il a souligné qu'il fallait adopter une approche plus globale pour vaincre les djihadistes de l'Etat islamique (EI) qui contrôlent aujourd'hui de vastes territoires en Syrie et en Irak. Vendredi, Staffan de Mistura, émissaire de l'Onu en Syrie, a demandé à la Turquie de laisser des "volontaires" se rendre à Kobani pour prêter main forte aux combattants kurdes. "La Turquie ne peut vraiment pas donner des armes à des civils pour qu'ils aillent combattre les groupes terroristes", a déclaré Mevlut Cavusoglu. (Reuters)
Le PKK menace de reprendre les armes contre la Turquie: Le Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK) reprendra les armes si la Turquie ne fait rien pour Kobani, ville du nord de la Syrie assiégée par les djihadistes de l'Etat islamique, a averti l'un des dirigeants du mouvement séparatiste. Ankara refuse d'ouvrir sa frontière pour permettre à des volontaires d'aller prêter main forte aux Unités de protection du peuple kurde (YPG), proches du PKK, qui défendent Kobani. "Nous avons averti la Turquie. Si elle continue dans cette voie, nous reprendrons notre guérilla pour défendre notre peuple", affirme Cemil Bayik, membre fondateur du PKK qui en est aussi le plus haut dirigeant en liberté, dans un entretien réalisé par la chaîne de télévision allemande ARD à Erbil, capitale du Kurdistan irakien autonome. (Reuters)
Ankara juge "irréaliste" un corridor pour ravitailler Kobani: Etablir un corridor pour envoyer des armes et des renforts à partir de Turquie aux défenseurs kurdes de la ville syrienne de Kobani est "irréaliste", a estimé dimanche le ministre turc des Affaires étrangères, Mevlut Cavusoglu. Interrogé sur la chaîne de télévision France 24, il a souligné qu'il fallait adopter une approche plus globale pour vaincre les djihadistes de l'Etat islamique (EI) qui contrôlent aujourd'hui de vastes territoires en Syrie et en Irak. Vendredi, Staffan de Mistura, émissaire de l'Onu en Syrie, a demandé à la Turquie de laisser des "volontaires" se rendre à Kobani pour prêter main forte aux combattants kurdes. "La Turquie ne peut vraiment pas donner des armes à des civils pour qu'ils aillent combattre les groupes terroristes", a déclaré Mevlut Cavusoglu. (Reuters)
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