CONSEILS DE PROS
Ellis Faas
Belle plante hollandaise, Ellis Faas adore créer la surprise. Une matière, un mélange de couleurs fortes, une trace de rouge, pas pour métamorphoser mais pour faciliter la vie des filles.
16 ans, Ellis attaque une carrière de photographe. Elle est son modèle préféré et photographie son propre visage, qu'elle transforme en le maquillant. Du coup, elle se découvre une nouvelle vocation et part à Paris, puis à Londres, suivre des cours où elle s'initie à tous les genres de grimage. L'un de ses premiers jobs, c'est avec Mario Testino pour Vogue Uomo. L'autre, un défilé pour Fendi, avec seize filles à maquiller en un temps record. Ellis ne stresse jamais. Si on l'a choisie, c'est qu'elle est forcément à la hauteur. Pour Fendi, elle fait venir en urgence à Milan ses trois meilleures amies de l'école.
En 2002, la marque Biotherm lui confie la création de toute une ligne de maquillage. Ses premiers produits : un rouge à lèvres couleur sang qui fait la bouche comme un fruit et un 'Forget It' anticernes qui masque tout sans qu'on voit rien du tout. C'est grâce à ses recherches de nouvelles matières sous les spots des studios ou des podiums que nos maquillages deviennent de plus en plus performants et faciles à utiliser.
100% fraîcheur.
Si Ellis peut réaliser les effets spéciaux les plus spectaculaires, ce qui lui importe le plus c’est la fraîcheur de la peau. Elle la masse, elle la tapote pour l’hydrater et la rosir. «Je corrige tous les petits défauts avec mon anticerne. En fait, c’est vraiment mon produit à tout faire, et j’en applique aussi sur certains points stratégiques, les ailes du nez, le menton. Et souvent, je ne mets rien d’autre sur le teint. Sur cette peau pulpeuse, transparente, légèrement brillante, le maquillage et les couleurs ressortent beaucoup mieux.» L’autre secret de fraîcheur d’Ellis Faas, c’est de travailler et d’appliquer les fards au doigt en les tapotant pour mieux les fondre dans la peau. Par exemple, le fond de teint, le blush crème sur la pommette et aussi le rouge à lèvres (pour ne laisser que la couleur sans l’épaisseur avec l’effet satiné d’un fruit).
Fétiches.
Dans sa mallette de maquillage, Ellis a toujours le baume By Terry et une crème hydratante, «le gel Aquasource de Biotherm, parce qu’il est très léger, très efficace pour les peaux même très desséchées, quand les filles arrivent tout juste de l’autre bout de la planète. Et aussi des pigments M.A.C aux couleurs ultra-fortes, que je mixe à d’autres poudres ou crèmes pour mettre au point mes petites inventions ou pour obtenir certains effets sous certaines lumières. Ainsi que des petits tubes de crème nacrée de Biotherm, que je mets aussi bien sur la pommette que sur la bouche».
Pour avoir les conseils de Terry de Gunzburg, de lyne Desnoyer ou de Gucci Westman allez sur Vogue.
Ellis Faas
Belle plante hollandaise, Ellis Faas adore créer la surprise. Une matière, un mélange de couleurs fortes, une trace de rouge, pas pour métamorphoser mais pour faciliter la vie des filles.
16 ans, Ellis attaque une carrière de photographe. Elle est son modèle préféré et photographie son propre visage, qu'elle transforme en le maquillant. Du coup, elle se découvre une nouvelle vocation et part à Paris, puis à Londres, suivre des cours où elle s'initie à tous les genres de grimage. L'un de ses premiers jobs, c'est avec Mario Testino pour Vogue Uomo. L'autre, un défilé pour Fendi, avec seize filles à maquiller en un temps record. Ellis ne stresse jamais. Si on l'a choisie, c'est qu'elle est forcément à la hauteur. Pour Fendi, elle fait venir en urgence à Milan ses trois meilleures amies de l'école.
En 2002, la marque Biotherm lui confie la création de toute une ligne de maquillage. Ses premiers produits : un rouge à lèvres couleur sang qui fait la bouche comme un fruit et un 'Forget It' anticernes qui masque tout sans qu'on voit rien du tout. C'est grâce à ses recherches de nouvelles matières sous les spots des studios ou des podiums que nos maquillages deviennent de plus en plus performants et faciles à utiliser.
100% fraîcheur.
Si Ellis peut réaliser les effets spéciaux les plus spectaculaires, ce qui lui importe le plus c’est la fraîcheur de la peau. Elle la masse, elle la tapote pour l’hydrater et la rosir. «Je corrige tous les petits défauts avec mon anticerne. En fait, c’est vraiment mon produit à tout faire, et j’en applique aussi sur certains points stratégiques, les ailes du nez, le menton. Et souvent, je ne mets rien d’autre sur le teint. Sur cette peau pulpeuse, transparente, légèrement brillante, le maquillage et les couleurs ressortent beaucoup mieux.» L’autre secret de fraîcheur d’Ellis Faas, c’est de travailler et d’appliquer les fards au doigt en les tapotant pour mieux les fondre dans la peau. Par exemple, le fond de teint, le blush crème sur la pommette et aussi le rouge à lèvres (pour ne laisser que la couleur sans l’épaisseur avec l’effet satiné d’un fruit).
Fétiches.
Dans sa mallette de maquillage, Ellis a toujours le baume By Terry et une crème hydratante, «le gel Aquasource de Biotherm, parce qu’il est très léger, très efficace pour les peaux même très desséchées, quand les filles arrivent tout juste de l’autre bout de la planète. Et aussi des pigments M.A.C aux couleurs ultra-fortes, que je mixe à d’autres poudres ou crèmes pour mettre au point mes petites inventions ou pour obtenir certains effets sous certaines lumières. Ainsi que des petits tubes de crème nacrée de Biotherm, que je mets aussi bien sur la pommette que sur la bouche».
Pour avoir les conseils de Terry de Gunzburg, de lyne Desnoyer ou de Gucci Westman allez sur Vogue.