234 migrants dont 44 mineurs secourus et accueillis
S’il faut se féliciter pour cette œuvre humanitaire, il faut tout de même reconnaître que la migration clandestine commence par mettre en difficulté plusieurs nations. Heureusement que cette dernière fois se termine sans mort de personnes. Lorsqu’ils arrivent ce vendredi, plusieurs assistantes sociales de même que des psychologues prennent soins d’eux en attendant les entretiens prévus pour le Lundi 14 novembre 202.
Le groupe de 234 personnes a été divisé en deux. D’une part les mineurs non accompagnés dont l’âge est compris entre 12 et 16 ans et d’autre part les adultes et mineurs avec leurs familles. Le premier groupe a trouvé refuge à l’hôtel sur place dans la commune varoise tandis que le deuxième groupe va dans la presqu'île de Giens précisément dans un centre d’hébergement. Ce dernier site d’accueil est en principe une résidence de vacances des salariés d’EDF. La résidence a changé pour le moment de statut pour devenir en attendant une solution définitive une "Zone d’attente internationale".
Le groupe de 234 personnes a été divisé en deux. D’une part les mineurs non accompagnés dont l’âge est compris entre 12 et 16 ans et d’autre part les adultes et mineurs avec leurs familles. Le premier groupe a trouvé refuge à l’hôtel sur place dans la commune varoise tandis que le deuxième groupe va dans la presqu'île de Giens précisément dans un centre d’hébergement. Ce dernier site d’accueil est en principe une résidence de vacances des salariés d’EDF. La résidence a changé pour le moment de statut pour devenir en attendant une solution définitive une "Zone d’attente internationale".
Quel est le sort réservé aux 234 migrants ?
Il convient de faire quelques clarifications pour mieux comprendre leur statut actuel et probablement celui prochain. Il faut considérer dans un premier temps qu’ils ne sont pas considérés comme étant sur le territoire Français mais dans une zone d'attente internationale. Cette réalité prend juridiquement le sens d’interdiction pour ces derniers de quitter le périmètre de la zone déterminée. Pas question d’aller donc en France même si on pense y être déjà.
L’accueil ne souffre en tout cas de rien à l’intérieur du site, ils bénéficient pour le moment des soins appropriés. La croix rouge et la Protection civile sont à leur chevet pour cette assistance humanitaire et sanitaire nécessaire pour leur bien-être.
Dans un premier temps, ils pourront joindre leurs proches par téléphone en guise de signe de vie après un trajet assez périlleux. L’office français de protection des réfugiés et apatrides recevra à partir de ce samedi d’éventuelles demandes d’asile qu’il étudiera en "procédure accélérée". Certainement que certains des migrants voudront rester en France même s’ils ont peu de chance d’y rester. Faudrait-il s’attendre à ce que certains soient retournés dans leurs pays d’origine ? les jours suivants nous en diront plus.
L’accueil ne souffre en tout cas de rien à l’intérieur du site, ils bénéficient pour le moment des soins appropriés. La croix rouge et la Protection civile sont à leur chevet pour cette assistance humanitaire et sanitaire nécessaire pour leur bien-être.
Dans un premier temps, ils pourront joindre leurs proches par téléphone en guise de signe de vie après un trajet assez périlleux. L’office français de protection des réfugiés et apatrides recevra à partir de ce samedi d’éventuelles demandes d’asile qu’il étudiera en "procédure accélérée". Certainement que certains des migrants voudront rester en France même s’ils ont peu de chance d’y rester. Faudrait-il s’attendre à ce que certains soient retournés dans leurs pays d’origine ? les jours suivants nous en diront plus.
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