Soumis à une forte pression des Etats-Unis, le Premier ministre israélien a invité dimanche les Palestiniens à reprendre des pourparlers de paix, évoquant pour la première fois l'idée d'un Etat palestinien, mais à des conditions strictes. "En cas d'accord de paix, le territoire sous contrôle palestinien doit être désarmé, et Israël avoir de solides garanties de sécurité", a-t-il notamment déclaré.
Barack Obama a salué son discours à l'issue d'un entretien dans le bureau Ovale avec le président du Conseil italien Silvio Berlusconi. "D'abord, je pense que c'est important de ne pas immédiatement évaluer la situation sur la base des commentaires au lendemain du discours" a proposé Barack Obama, se souvenant de l'accueil enthousiaste, sur le moment, de son discours du Caire adressé aux musulmans.
"Je pense que chaque fois qu'un premier ministre israélien fait une déclaration, la réaction immédiate a tendance à être négative d'un côté, a noté Barack Obama. "Et si la parti adverse fait une déclaration, souvent la réaction sera négative en Israël" a poursuivi le président.
Barack Obama a retenu les aspects positifs du discours de Nétanyaou, la mention de deux Etats, mais n'a pas relevé les restrictions qu'il apporte, démilitarisation de l'Etat palestinien, refus de l'arrêt de la colonisation israélienne en Cisjordanie, interdiction du retour des réfugiés palestiniens en Israël, maintien de Jérusalem comme capitale de l'Etat juif prôné par le Premier ministre.
Source: Associated Presse via Yahoo News
Barack Obama a salué son discours à l'issue d'un entretien dans le bureau Ovale avec le président du Conseil italien Silvio Berlusconi. "D'abord, je pense que c'est important de ne pas immédiatement évaluer la situation sur la base des commentaires au lendemain du discours" a proposé Barack Obama, se souvenant de l'accueil enthousiaste, sur le moment, de son discours du Caire adressé aux musulmans.
"Je pense que chaque fois qu'un premier ministre israélien fait une déclaration, la réaction immédiate a tendance à être négative d'un côté, a noté Barack Obama. "Et si la parti adverse fait une déclaration, souvent la réaction sera négative en Israël" a poursuivi le président.
Barack Obama a retenu les aspects positifs du discours de Nétanyaou, la mention de deux Etats, mais n'a pas relevé les restrictions qu'il apporte, démilitarisation de l'Etat palestinien, refus de l'arrêt de la colonisation israélienne en Cisjordanie, interdiction du retour des réfugiés palestiniens en Israël, maintien de Jérusalem comme capitale de l'Etat juif prôné par le Premier ministre.
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