Le refus par Téhéran de cesser ses activités d'enrichissement d'uranium malgré les demandes du Conseil de sécurité de l'ONU "rend nécessaire l'adoption de nouvelles sanctions pour que les autorités iraniennes comprennent que leur position ne peut que les mener vers un isolement croissant", a déclaré Alain Bugat, le chef du Commissariat à l'énergie atomique (CEA) lors d'une réunion à Vienne de l'assemblée générale de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA).
Ces déclarations interviennent après que le ministre français des Affaires étrangères Bernard Kouchner eut déclenché dimanche une vague d'inquiétudes et de critiques en déclarant que le monde devait se "préparer au pire", c'est-à-dire à la guerre avec l'Iran.
M. Bugat a réaffirmé la mise en garde de la France selon laquelle le calendrier pour de nouvelles inspections mis en place par l'AIEA en accord avec Téhéran ne levait pas les craintes de voir l'Iran poursuivre ses activités d'enrichissement d'uranium.
Le Conseil de sécurité de l'ONU a adopté en décembre et en mars deux résolutions imposant des sanctions commerciales à l'Iran, sans obtenir de Téhéran l'arrêt de ses activités d'enrichissement d'uranium. Lire la suite en ouvrant la pièce jointe ci dessous:
Ces déclarations interviennent après que le ministre français des Affaires étrangères Bernard Kouchner eut déclenché dimanche une vague d'inquiétudes et de critiques en déclarant que le monde devait se "préparer au pire", c'est-à-dire à la guerre avec l'Iran.
M. Bugat a réaffirmé la mise en garde de la France selon laquelle le calendrier pour de nouvelles inspections mis en place par l'AIEA en accord avec Téhéran ne levait pas les craintes de voir l'Iran poursuivre ses activités d'enrichissement d'uranium.
Le Conseil de sécurité de l'ONU a adopté en décembre et en mars deux résolutions imposant des sanctions commerciales à l'Iran, sans obtenir de Téhéran l'arrêt de ses activités d'enrichissement d'uranium. Lire la suite en ouvrant la pièce jointe ci dessous: