Ségolène Royal confirme l'opposition du gouvernement au gaz de schiste: Invitée du «Grand rendez-vous» i-Télé-Europe 1-Le Monde dimanche 28 septembre, Ségolène Royal a indiqué qu'il n'y aurait pas d'exploitation du gaz de schiste. «C'est une bulle spéculative, le gaz de schiste», a encore estimé Mme Royal. «Il n'est pas question à un moment où on a des ressources publiques rares d'investir dans des filières aléatoires et spéculatives, a-t-elle dit. Tous nos moyens publics et privés doivent être sur les économies d'énergie et les énergies renouvelables.» «Les experts américains en reviennent du gaz de schiste. Il y a beaucoup de dégâts environnementaux, ensuite le coût s'est révélé beaucoup plus important que prévu», a-t-elle souligné. «On commence à voir aux Etats-Unis des friches industrielles scandaleuses, avec des riverains effarés, des poches de pauvreté et des poches de chômage» sur les sites d'exploitation abandonnés, a poursuivi la ministre. (lemonde.fr)
Sarkozy favorable au gaz de schiste: cela n'aura pas d'impact positif sur l'économie: Des chiffres séduisants, surtout en période de crise, qui amènent certains à penser que l’exploitation du gaz de schiste serait la solution au chômage de masse. C’est le cas de Nicolas Sarkozy qui a affirmé: "Je ne peux pas accepter […] que la France ne puisse pas profiter de cette nouvelle énergie alors que le chômage ravage tant nos territoires…" Pourtant, tous les spécialistes des hydrocarbures savent que la production de gaz, comme toutes les industries extractives, nécessite peu de main d’œuvre, avec des besoins concentrés au début du cycle de production. Une fois un puits mis en place, la production de gaz nécessite peu d’efforts les années suivantes, tellement peu que les économistes la qualifie de "rente gazière". D’ailleurs, parmi les plus gros producteurs de gaz, ni la Russie, ni le Qatar n’ont créé des emplois via la production de gaz. Un article scientifique américain le confirme en montrant qu’une forte augmentation de la production de gaz n’entraîne qu’une augmentation modeste de l’emploi et des salaires. Selon l’article, chaque million de dollars de production de gaz crée 2,35 emplois! La production de gaz n’a donc aucune commune mesure avec les retombées en termes d’emplois. (par l'économiste Thomas Porcher, auteur du "Mirage du gaz de schiste" - leplus.nouvelobs.com)
John R. Searl était ingénieur électricien: «Une fois que la machine a dépassé un certain seuil de potentiel, l’énergie à la sortie excédait l’énergie d’entrée. A partir de ce moment là production d’énergie semblait virtuellement sans limites.» Ensuite, quelque chose de vraiment spectaculaire se produisit. Au fur et à mesure que le générateur continuait d’augmenter en potentiel, il se souleva du sol et se détacha de ses montures d’arrimage et du moteur. Il se mit à flotter en l’air en tournant de plus en plus vite. Tout autour du générateur, l’air était devenu rose fluorescent tant l’ionisation qu’il produisait était importante.
Dans les parages, des récepteurs radio se mirent à fonctionner spontanément à cause de l’induction électro-magnétique. Ensuite, l’appareil accéléra et disparut dans l’espace et ne fut jamais revu. Au cours de ses expériences suivantes, Searl monta ses turbines, qui mesuraient trente pieds de diamètre (dix mètres), plus fermement dans le sol. Mais, celles-ci s’arrachaient encore à la terre, emportant avec leurs fondations. Elles semblaient produire une puissante force d’anti-gravité et d’après le cratère de forme hémisphérique laissé dans le sol, il fut déduit que cette force opérait sur une sphère dont le générateur était le centre. Searl venait de «trébucher» sur d’extraordinaires phénomènes associés avec le mouvement du vortex. Il fut l’un des nombreux inventeurs qui découvrirent un moyen de générer de l’énergie gratuite et sans limites ainsi qu’une force d’anti-gravité, simplement en montant des systèmes rotatifs. (Recherches extraordinaires David Ash traduit de l’anglais par Alain Goomaghtigh - luigix.net)
Sarkozy favorable au gaz de schiste: cela n'aura pas d'impact positif sur l'économie: Des chiffres séduisants, surtout en période de crise, qui amènent certains à penser que l’exploitation du gaz de schiste serait la solution au chômage de masse. C’est le cas de Nicolas Sarkozy qui a affirmé: "Je ne peux pas accepter […] que la France ne puisse pas profiter de cette nouvelle énergie alors que le chômage ravage tant nos territoires…" Pourtant, tous les spécialistes des hydrocarbures savent que la production de gaz, comme toutes les industries extractives, nécessite peu de main d’œuvre, avec des besoins concentrés au début du cycle de production. Une fois un puits mis en place, la production de gaz nécessite peu d’efforts les années suivantes, tellement peu que les économistes la qualifie de "rente gazière". D’ailleurs, parmi les plus gros producteurs de gaz, ni la Russie, ni le Qatar n’ont créé des emplois via la production de gaz. Un article scientifique américain le confirme en montrant qu’une forte augmentation de la production de gaz n’entraîne qu’une augmentation modeste de l’emploi et des salaires. Selon l’article, chaque million de dollars de production de gaz crée 2,35 emplois! La production de gaz n’a donc aucune commune mesure avec les retombées en termes d’emplois. (par l'économiste Thomas Porcher, auteur du "Mirage du gaz de schiste" - leplus.nouvelobs.com)
John R. Searl était ingénieur électricien: «Une fois que la machine a dépassé un certain seuil de potentiel, l’énergie à la sortie excédait l’énergie d’entrée. A partir de ce moment là production d’énergie semblait virtuellement sans limites.» Ensuite, quelque chose de vraiment spectaculaire se produisit. Au fur et à mesure que le générateur continuait d’augmenter en potentiel, il se souleva du sol et se détacha de ses montures d’arrimage et du moteur. Il se mit à flotter en l’air en tournant de plus en plus vite. Tout autour du générateur, l’air était devenu rose fluorescent tant l’ionisation qu’il produisait était importante.
Dans les parages, des récepteurs radio se mirent à fonctionner spontanément à cause de l’induction électro-magnétique. Ensuite, l’appareil accéléra et disparut dans l’espace et ne fut jamais revu. Au cours de ses expériences suivantes, Searl monta ses turbines, qui mesuraient trente pieds de diamètre (dix mètres), plus fermement dans le sol. Mais, celles-ci s’arrachaient encore à la terre, emportant avec leurs fondations. Elles semblaient produire une puissante force d’anti-gravité et d’après le cratère de forme hémisphérique laissé dans le sol, il fut déduit que cette force opérait sur une sphère dont le générateur était le centre. Searl venait de «trébucher» sur d’extraordinaires phénomènes associés avec le mouvement du vortex. Il fut l’un des nombreux inventeurs qui découvrirent un moyen de générer de l’énergie gratuite et sans limites ainsi qu’une force d’anti-gravité, simplement en montant des systèmes rotatifs. (Recherches extraordinaires David Ash traduit de l’anglais par Alain Goomaghtigh - luigix.net)