Il s'agit de la deuxième roquette tirée vers Israël depuis l'entrée en vigueur d'un cessez-le-feu ayant mis fin à l'offensive israélienne qui a fait plus de 1.330 morts palestiniens et dévasté la bande de Gaza entre le 27 décembre et le 18 janvier.
Mercredi soir, une roquette avait été tirée en direction de la localité d'Ofakim (sud). Ce tir a été revendiqué dans un communiqué par les Brigades Al-Aqsa, la branche armée du Fatah, le parti du président de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas.
L'aviation israélienne avait réagi en lançant une attaque nocturne dans la zone des tunnels de contrebande reliant le sud de la bande de Gaza à l'Egypte.
D'autres accrocs au cessez-le-feu sont survenus depuis mardi, après la mort d'un soldat israélienne dans une attaque à l'explosif qui n'a pas été revendiquée, à la lisière de la bande de Gaza.
Le vice-ministre de la Défense Matan Vilnaï a prévenu qu'Israël réagirait à la reprise des tirs de roquettes. "Il est clair que nous allons réagir, mais il faut faire preuve de patience et nous n'avons aucune intention de dévoiler nos intentions à l'ennemi", a-t-il affirmé à la radio militaire.
A propos des chefs du mouvement islamiste palestinien Hamas, au pouvoir à Gaza, M. Vilnaï a prévenu qu'il n'y avait "pas lieu de s'inquiéter, le tour de chacun d'entre eux viendra".
Le ministre des Infrastructures et membre du cabinet du sécurité, Binyamin Ben Eliezer, a pour sa part affirmé à la radio publique que "le prix" avait "changé" pour les tirs de roquettes depuis l'opération menée dans la bande de Gaza. Il n'a pas donné de précision sur la nature de ce "prix".
Il a souligné que si les tirs se poursuivaient, les Palestiniens ne pouvaient espérer l'ouverture des points de passage vers Gaza et le début des travaux de réhabilitation de cette région ravagée par l'armée israélienne durant les 22 jours de combats.
"Pour se lancer dans de tels travaux, il faut faire passer du ciment, des tuyaux, toutes sortes de matériaux de construction. Si les dirigeants du Hamas veulent laisser cette région dans l'état où elle est, c'est à eux que les habitants demanderont des comptes", a poursuivi M. Ben Eliezer.
Le Hamas contrôle la bande de Gaza depuis juin 2007 à la suite d'un coup de force contre le Fatah.
Israël avait justifié le lancement de son opération surnommée "Plomb durci" en invoquant huit années de tirs de roquettes palestiniennes vers le sud de son territoire.
Source: Yahoo News
Mercredi soir, une roquette avait été tirée en direction de la localité d'Ofakim (sud). Ce tir a été revendiqué dans un communiqué par les Brigades Al-Aqsa, la branche armée du Fatah, le parti du président de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas.
L'aviation israélienne avait réagi en lançant une attaque nocturne dans la zone des tunnels de contrebande reliant le sud de la bande de Gaza à l'Egypte.
D'autres accrocs au cessez-le-feu sont survenus depuis mardi, après la mort d'un soldat israélienne dans une attaque à l'explosif qui n'a pas été revendiquée, à la lisière de la bande de Gaza.
Le vice-ministre de la Défense Matan Vilnaï a prévenu qu'Israël réagirait à la reprise des tirs de roquettes. "Il est clair que nous allons réagir, mais il faut faire preuve de patience et nous n'avons aucune intention de dévoiler nos intentions à l'ennemi", a-t-il affirmé à la radio militaire.
A propos des chefs du mouvement islamiste palestinien Hamas, au pouvoir à Gaza, M. Vilnaï a prévenu qu'il n'y avait "pas lieu de s'inquiéter, le tour de chacun d'entre eux viendra".
Le ministre des Infrastructures et membre du cabinet du sécurité, Binyamin Ben Eliezer, a pour sa part affirmé à la radio publique que "le prix" avait "changé" pour les tirs de roquettes depuis l'opération menée dans la bande de Gaza. Il n'a pas donné de précision sur la nature de ce "prix".
Il a souligné que si les tirs se poursuivaient, les Palestiniens ne pouvaient espérer l'ouverture des points de passage vers Gaza et le début des travaux de réhabilitation de cette région ravagée par l'armée israélienne durant les 22 jours de combats.
"Pour se lancer dans de tels travaux, il faut faire passer du ciment, des tuyaux, toutes sortes de matériaux de construction. Si les dirigeants du Hamas veulent laisser cette région dans l'état où elle est, c'est à eux que les habitants demanderont des comptes", a poursuivi M. Ben Eliezer.
Le Hamas contrôle la bande de Gaza depuis juin 2007 à la suite d'un coup de force contre le Fatah.
Israël avait justifié le lancement de son opération surnommée "Plomb durci" en invoquant huit années de tirs de roquettes palestiniennes vers le sud de son territoire.
Source: Yahoo News
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