L'initiative a été annoncée lundi quelques heures avant le départ du ministre de la Défense, Ehud Barak, pour Washington, où il sera reçu par le président Barack Obama et l'émissaire américain au Proche-Orient, George Mitchell.
Elle s'inscrit dans le cadre d'un projet de construction de 1.450 logements que conteste le groupe pacifiste israélien La Paix maintenant.
Il s'agit de reloger à Adam des colons qui s'étaient installés à Migron, une implantation illégale de Cisjordanie.
Le ministère de la Défense n'a donné son feu vert que pour 50 logements et souligne qu'aucune autre construction n'aura lieu sans son aval.
Environ 500.000 Israéliens vivent en Cisjordanie et à Jérusalem-Est, la partie arabe de la ville sainte prise par Tsahal en juin 1967. Selon La Paix maintenant, 2.500 logements sont en construction dans les colonies de Cisjordanie, que la Cour internationale de justice juge illégales.
Mahmoud Abbas, président de l'Autorité palestinienne, a fait du gel de la colonisation une condition de la reprise des négociations de paix.
"Nous n'accepterons pas la poursuite de la colonisation", a-t-il rappelé lundi, exhortant en outre le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, à renoncer aux conditions qu'il a posées à la création d'un État palestinien.
Le chef du gouvernement, qui a prononcé le 14 juin son premier grand discours de politique étrangère, réclame notamment des garanties internationales en matière de sécurité et exige de l'Autorité palestinienne qu'elle reconnaisse Israël en tant qu'Etat juif.
"Israël doit accepter la solution à deux Etats sans fixer de conditions qui la priveraient de son sens", a ajouté Mahmoud Abbas.
Benjamin Netanyahu a exclu la construction de nouvelles colonies, mais s'oppose toujours au gel de leur développement, invoquant le droit de répondre à leur "croissance naturelle".
Interrogé par la presse à la veille de son départ pour Washington, Ehud Barak s'est quant à lui abstenu dimanche de démentir les informations du journal israélien Yedioth Ahronoth qui lui prête l'intention de proposer un gel de trois mois des mises en chantier dans les colonies tout en autorisant la poursuite des constructions en cours.
Source: Reuters via Yahoo News
Elle s'inscrit dans le cadre d'un projet de construction de 1.450 logements que conteste le groupe pacifiste israélien La Paix maintenant.
Il s'agit de reloger à Adam des colons qui s'étaient installés à Migron, une implantation illégale de Cisjordanie.
Le ministère de la Défense n'a donné son feu vert que pour 50 logements et souligne qu'aucune autre construction n'aura lieu sans son aval.
Environ 500.000 Israéliens vivent en Cisjordanie et à Jérusalem-Est, la partie arabe de la ville sainte prise par Tsahal en juin 1967. Selon La Paix maintenant, 2.500 logements sont en construction dans les colonies de Cisjordanie, que la Cour internationale de justice juge illégales.
Mahmoud Abbas, président de l'Autorité palestinienne, a fait du gel de la colonisation une condition de la reprise des négociations de paix.
"Nous n'accepterons pas la poursuite de la colonisation", a-t-il rappelé lundi, exhortant en outre le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, à renoncer aux conditions qu'il a posées à la création d'un État palestinien.
Le chef du gouvernement, qui a prononcé le 14 juin son premier grand discours de politique étrangère, réclame notamment des garanties internationales en matière de sécurité et exige de l'Autorité palestinienne qu'elle reconnaisse Israël en tant qu'Etat juif.
"Israël doit accepter la solution à deux Etats sans fixer de conditions qui la priveraient de son sens", a ajouté Mahmoud Abbas.
Benjamin Netanyahu a exclu la construction de nouvelles colonies, mais s'oppose toujours au gel de leur développement, invoquant le droit de répondre à leur "croissance naturelle".
Interrogé par la presse à la veille de son départ pour Washington, Ehud Barak s'est quant à lui abstenu dimanche de démentir les informations du journal israélien Yedioth Ahronoth qui lui prête l'intention de proposer un gel de trois mois des mises en chantier dans les colonies tout en autorisant la poursuite des constructions en cours.
Source: Reuters via Yahoo News
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