La Croix-Rouge a fait savoir qu'un de ses employés, Mayuran Sivagurunathan, avait été tué dans le bombardement. L'homme, décédé au côté de sa mère, est le troisième employé de la Croix-Rouge à mourir dans les combats depuis le mois de mars, a déclaré un porte-parole du CICR à Genève. "Un obus est tombé près d'eux", a précisé Marcel Izard. "Nous ne savons pas qui a tiré l'obus".
Le Dr. Thurairaja Varatharajah, principal responsable des services de santé gouvernementaux dans la zone de conflit, a expliqué que l'attaque avait été commise dans l'après-midi. D'après lui, deux obus sont tombés sur l'hôpital.
Le gouvernement a démenti les informations selon lesquelles ses troupes bombarderaient la zone.
Selon le Dr. V. Shanmugarajah, le secteur de l'hôpital s'est retrouvé sous des tirs d'artillerie lourde, pour la troisième fois ces derniers temps et au lendemain d'un précédent bombardement, qui a fait 49 morts la veille.
Mercredi, un projectile est tombé sur un bâtiment administratif, un autre sur une aile abritant des personnes blessées dans le bombardement d'hier.
Plus d'un millier de civils, dont nombre de blessés graves, attendaient d'être soignés au moment de l'attaque. Selon un autre responsable de l'hôpital s'exprimant sous le couvert de l'anonymat, les médecins, débordés, en sont réduits à ne fournir que de la gaze et des pansements aux blessés les plus graves. Il y a plus de 100 cadavres en attente d'inhumation, personne ne se risquant à sortir de l'enceinte de l'établissement pris sous un feu constant, a-t-il expliqué.
Source: Reuters via Yahoo News
Le Dr. Thurairaja Varatharajah, principal responsable des services de santé gouvernementaux dans la zone de conflit, a expliqué que l'attaque avait été commise dans l'après-midi. D'après lui, deux obus sont tombés sur l'hôpital.
Le gouvernement a démenti les informations selon lesquelles ses troupes bombarderaient la zone.
Selon le Dr. V. Shanmugarajah, le secteur de l'hôpital s'est retrouvé sous des tirs d'artillerie lourde, pour la troisième fois ces derniers temps et au lendemain d'un précédent bombardement, qui a fait 49 morts la veille.
Mercredi, un projectile est tombé sur un bâtiment administratif, un autre sur une aile abritant des personnes blessées dans le bombardement d'hier.
Plus d'un millier de civils, dont nombre de blessés graves, attendaient d'être soignés au moment de l'attaque. Selon un autre responsable de l'hôpital s'exprimant sous le couvert de l'anonymat, les médecins, débordés, en sont réduits à ne fournir que de la gaze et des pansements aux blessés les plus graves. Il y a plus de 100 cadavres en attente d'inhumation, personne ne se risquant à sortir de l'enceinte de l'établissement pris sous un feu constant, a-t-il expliqué.
Source: Reuters via Yahoo News
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