]Ces commentaires interviennent à la suite d'une nouvelle visite au Proche-Orient de l'émissaire américain dans la région, George Mitchell, chargé par le président Barack Obama de conduire les deux parties à reprendre langue.
"Nous espérons, dans les mois et les années à venir, sceller la paix avec les Palestiniens et l'élargir à une paix régionale plus large", a-t-il dit lors d'une réception près de Tel Aviv marquant la fête nationale de l'Egypte.
Il n'a cependant donné aucune précision sur la manière dont il compterait relancer des discussions de paix actuellement au point mort.
Benjamin Netanyahu n'a pas davantage mentionné la question de la colonisation juive en Cisjordanie, point de discorde majeur et objet de pressions américaines sur son gouvernement.
Nabil Abou Rdainah, conseiller du président de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas, a dit à Reuters que les Palestiniens étaient prêts à reprendre "immédiatement" les discussions, sous réserve qu'Israël gèle la colonisation.
Malgré les appels en ce sens des Etats-Unis, le gouvernement Netanyahu refuse de mettre un terme à ce qu'il nomme la "croissance naturelle" des implantations juives en territoire occupé. Quelque 500.000 colons vivent en Cisjordanie et à Jérusalem-Est, où résident trois millions de Palestiniens.
Le Premier ministre israélien a en outre posé des conditions strictes à l'éventuelle création d'un Etat palestinien, dont sa démilitarisation.
Au cours de son discours, jeudi, il a dit accorder une grande valeur aux avis formulés la semaine dernière par le prince héritier du sultanat de Bahrein, Cheikh Salman ben Hamad al-Khalifa, dans le Washington Post, sous le titre: "Les Arabes doivent parler aux Israéliens".
"Je voudrais dire que j'apprécie", a dit Netanyahu, citant ensuite un passage de cette tribune où le prince bahreini appelait "toutes les parties à agir de bonne foi pour que la paix ait une chance".
Benjamin Netanyahu a également fait référence à une proposition arabe qui suggérait un retrait israélien des territoires conquis en 1967, durant la Guerre des Six jours - une condition rejetée par Israël.
"S'il ne s'agit pas d'offres finales, alors je crois que cet esprit peut contribuer à créer une atmosphère dans laquelle une paix globale est possible", a-t-il dit.
Source: Reuters via Yhaoo News
"Nous espérons, dans les mois et les années à venir, sceller la paix avec les Palestiniens et l'élargir à une paix régionale plus large", a-t-il dit lors d'une réception près de Tel Aviv marquant la fête nationale de l'Egypte.
Il n'a cependant donné aucune précision sur la manière dont il compterait relancer des discussions de paix actuellement au point mort.
Benjamin Netanyahu n'a pas davantage mentionné la question de la colonisation juive en Cisjordanie, point de discorde majeur et objet de pressions américaines sur son gouvernement.
Nabil Abou Rdainah, conseiller du président de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas, a dit à Reuters que les Palestiniens étaient prêts à reprendre "immédiatement" les discussions, sous réserve qu'Israël gèle la colonisation.
Malgré les appels en ce sens des Etats-Unis, le gouvernement Netanyahu refuse de mettre un terme à ce qu'il nomme la "croissance naturelle" des implantations juives en territoire occupé. Quelque 500.000 colons vivent en Cisjordanie et à Jérusalem-Est, où résident trois millions de Palestiniens.
Le Premier ministre israélien a en outre posé des conditions strictes à l'éventuelle création d'un Etat palestinien, dont sa démilitarisation.
Au cours de son discours, jeudi, il a dit accorder une grande valeur aux avis formulés la semaine dernière par le prince héritier du sultanat de Bahrein, Cheikh Salman ben Hamad al-Khalifa, dans le Washington Post, sous le titre: "Les Arabes doivent parler aux Israéliens".
"Je voudrais dire que j'apprécie", a dit Netanyahu, citant ensuite un passage de cette tribune où le prince bahreini appelait "toutes les parties à agir de bonne foi pour que la paix ait une chance".
Benjamin Netanyahu a également fait référence à une proposition arabe qui suggérait un retrait israélien des territoires conquis en 1967, durant la Guerre des Six jours - une condition rejetée par Israël.
"S'il ne s'agit pas d'offres finales, alors je crois que cet esprit peut contribuer à créer une atmosphère dans laquelle une paix globale est possible", a-t-il dit.
Source: Reuters via Yhaoo News
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