Le premier ministre israélien avait fait part lundi, lors de la conférence annuelle de l'Aipac (Comité américain pour les affaires publiques israéliennes), de son désaccord avec l'administration Obama pour ce qui concerne la question du nucléaire iranien. Une partie des démocrates ayant annoncé vouloir boycotter son discours, il lui était promis un accueil mitigé au Congrès. Avant d'y exposer son opinion à propos de l'Iran, sensé représenter une menace pour Israël tout comme pour le monde, B. Netanyahu a rappelé l'excellence des relations entre son pays et les Etats-Unis. Ce rappel lui a valu une standing ovation.
Benjamin Netanyahu a été invité au Sénat par l'opposition républicaine. Comme le rappelle le Parisien, "après ses deux interventions au Congrès en 1996 et en 2011, il sera le seul dirigeant étranger, avec Winston Churchill, à s'être exprimé à trois reprises dans le temple de la démocratie américaine. Les Etats-Unis abritent la deuxième diaspora juive au monde, après Israël."
De son côté, l'Iran refuse de geler ses activités atomiques pendant au moins une décennie pour faciliter la conclusion d'un accord avec les grandes puissances sur son programme nucléaire. "L'Iran n'acceptera pas de demande excessive et illogique. Téhéran continuera à négocier avec les six grandes puissances", a ajouté le ministre iranien des Affaires étrangères Mohammad Javad Zarif, qui a entamé mardi à Montreux, en Suisse, une deuxième journée de discussions avec le secrétaire d'Etat américain John Kerry. (Reuters)
Pour rassurer son allié au Moyen Orient, l'Arabie Saoudite, John Kerry doit se rendre mardi ou mercredi à Ryiad. L'énergie atomique ferait de l'Iran une puissance régionale. Le ballet nucléaire continue.
Benjamin Netanyahu a été invité au Sénat par l'opposition républicaine. Comme le rappelle le Parisien, "après ses deux interventions au Congrès en 1996 et en 2011, il sera le seul dirigeant étranger, avec Winston Churchill, à s'être exprimé à trois reprises dans le temple de la démocratie américaine. Les Etats-Unis abritent la deuxième diaspora juive au monde, après Israël."
De son côté, l'Iran refuse de geler ses activités atomiques pendant au moins une décennie pour faciliter la conclusion d'un accord avec les grandes puissances sur son programme nucléaire. "L'Iran n'acceptera pas de demande excessive et illogique. Téhéran continuera à négocier avec les six grandes puissances", a ajouté le ministre iranien des Affaires étrangères Mohammad Javad Zarif, qui a entamé mardi à Montreux, en Suisse, une deuxième journée de discussions avec le secrétaire d'Etat américain John Kerry. (Reuters)
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