"La date précise de cette visite, prévue dans les prochaines semaines, est en train d'être définie en concertation entre les deux pays, en fonction notamment des contraintes d'agendas", a déclaré le porte-parole adjoint du Quai d'Orsay, Frédéric Desagneaux, lors du point de presse électronique régulier.
"Nous n'avons aucune indication de difficulté qui serait liée aux positions exprimées par la France", a-t-il affirmé, faisant allusion à des divergences avec le gouvernement israélien actuel au sujet de la résolution du conflit au Proche-Orient.
Le bureau de M. Nétanyahou a seulement déclaré mercredi que le Premier ministre israélien ne se rendrait pas à Paris la semaine prochaine.
"Mais nous le verrons, M. Nétanyahou", a lancé le chef de la diplomatie française, Bernard Kouchner, "et puis, je peux peut-être aller là-bas".
Lors d'un entretien à Paris au début du mois avec son homologue israélien le dirigeant d'extrême droite Avigdor Lieberman, le ministre des Affaires étrangères a réitéré le soutien de la France à la création d'"un Etat palestinien viable, coexistant dans la paix et la sécurité avec Israël". Il a exhorté à la reprise des négociations et demandé "l'arrêt complet" des activités de colonisation juive dans les Territoires palestiniens.
Avidgor Lieberman s'est engagé à œuvrer en faveur de la paix au Proche-Orient mais sans soutenir l'idée d'un Etat palestinien, comme le souhaitent les Etats-Unis et l'Union européenne.
Benyamin Nétanyahou a pour sa part appelé ce mercredi les pays arabes à normaliser leurs relations avec l'Etat hébreu, affirmant que ce dernier était prêt à faire de pas "concrets" vers la paix.
Mais le Premier ministre israélien, s'il s'affirme disposé à reprendre immédiatement les pourparlers de paix avec les Palestiniens, n'a pas exprimé son soutien à la création d'un Etat palestinien et a déclaré que les colonies existantes poursuivraient leur "croissance naturelle" liée à leur démographie. Il a aussi exclu de céder Jérusalem-Est aux Palestiniens qui veulent y installer la capitale de leur futur Etat indépendant.
Source: Associated Presse via Yahoo News
"Nous n'avons aucune indication de difficulté qui serait liée aux positions exprimées par la France", a-t-il affirmé, faisant allusion à des divergences avec le gouvernement israélien actuel au sujet de la résolution du conflit au Proche-Orient.
Le bureau de M. Nétanyahou a seulement déclaré mercredi que le Premier ministre israélien ne se rendrait pas à Paris la semaine prochaine.
"Mais nous le verrons, M. Nétanyahou", a lancé le chef de la diplomatie française, Bernard Kouchner, "et puis, je peux peut-être aller là-bas".
Lors d'un entretien à Paris au début du mois avec son homologue israélien le dirigeant d'extrême droite Avigdor Lieberman, le ministre des Affaires étrangères a réitéré le soutien de la France à la création d'"un Etat palestinien viable, coexistant dans la paix et la sécurité avec Israël". Il a exhorté à la reprise des négociations et demandé "l'arrêt complet" des activités de colonisation juive dans les Territoires palestiniens.
Avidgor Lieberman s'est engagé à œuvrer en faveur de la paix au Proche-Orient mais sans soutenir l'idée d'un Etat palestinien, comme le souhaitent les Etats-Unis et l'Union européenne.
Benyamin Nétanyahou a pour sa part appelé ce mercredi les pays arabes à normaliser leurs relations avec l'Etat hébreu, affirmant que ce dernier était prêt à faire de pas "concrets" vers la paix.
Mais le Premier ministre israélien, s'il s'affirme disposé à reprendre immédiatement les pourparlers de paix avec les Palestiniens, n'a pas exprimé son soutien à la création d'un Etat palestinien et a déclaré que les colonies existantes poursuivraient leur "croissance naturelle" liée à leur démographie. Il a aussi exclu de céder Jérusalem-Est aux Palestiniens qui veulent y installer la capitale de leur futur Etat indépendant.
Source: Associated Presse via Yahoo News
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