"Aujourd'hui, le record du monde appartient à l'Australien Eamon Sullivan (47.05 aux Jeux Olympiques de Pékin)", a rappelé le champion olympique de la distance reine.
"Mais comme sur 50m nage libre, un nageur a été plus rapide que la référence mondiale. Pour l'instant, la situation est floue. On ne sait plus trop ce que valent tous les records du monde. Mais je compte bien montrer que je peux battre la référence mondiale sans une combinaison en polyuréthane."
Le 23 avril dernier, lors des championnats de France de Montpellier, l’Antibois de 26 ans était entré dans la légende de sa discipline en devenant le premier sprinter à franchir la barre mythique des 47 secondes (46.94). Un chrono qu'il avait réalisé en demi-finale vêtu de la X-Glide d'Arena en cours d'homologation.
Depuis, la polémique des combinaisons a sérieusement déstabilisé la natation internationale. Le 19 mai, après de longs mois de silence et d'hésitation, la Fédération Internationale de Natation (FINA) a publié une liste de 202 combinaisons autorisées, renvoyant les matériels recalés (les équipements 100% polyuréthane) à un nouvel examen le 19 juin.
Finalement, à la demande de plusieurs fédérations nationales, la FINA a reculé, cette semaine, l'ultime examen au lundi 22 juin. Une aubaine pour l'Open EDF de natation qui évite ainsi une nouvelle vague de controverse. Une aubaine qu'Alain Bernard espère décisive afin de clore le chapitre des combinaisons et d'aborder sereinement les championnats du monde de Rome qui pointent à l'horizon (17 juillet-2 août).
"J'attends avec impatience la décision de la FINA", a reconnu Alain Bernard. "J'envisage toutes les possibilités, mais j'espère surtout que l'on y verra plus clair. La FINA a tardé à changer les choses. Elle a manqué d'autorité pour imposer une décision."
"L'avenir de notre sport se joue ce week-end à Lausanne (siège de la FINA)", a ajouté le champion olympique, qui prend position clairement contre les équipements en tout polyuréthane.
"Avec le tout néoprène, nous sommes allés trop loin. Il faut faire machine arrière et fixer des règles. Lors des championnats de France de Montpellier, j'ai nagé avec la X-Glide d'Arena pour pointer cette dérive."
Une dérive qui prendra fin, et cela peu importe la décision de la FINA du 22 juin prochain, le 1er janvier 2010. A cette date, selon la Charte de Dubaï établie en mars 2009, les combinaisons ne devront plus comporter plus de 50% de néoprène.
Source: Associated Presse via Yahoo News
"Mais comme sur 50m nage libre, un nageur a été plus rapide que la référence mondiale. Pour l'instant, la situation est floue. On ne sait plus trop ce que valent tous les records du monde. Mais je compte bien montrer que je peux battre la référence mondiale sans une combinaison en polyuréthane."
Le 23 avril dernier, lors des championnats de France de Montpellier, l’Antibois de 26 ans était entré dans la légende de sa discipline en devenant le premier sprinter à franchir la barre mythique des 47 secondes (46.94). Un chrono qu'il avait réalisé en demi-finale vêtu de la X-Glide d'Arena en cours d'homologation.
Depuis, la polémique des combinaisons a sérieusement déstabilisé la natation internationale. Le 19 mai, après de longs mois de silence et d'hésitation, la Fédération Internationale de Natation (FINA) a publié une liste de 202 combinaisons autorisées, renvoyant les matériels recalés (les équipements 100% polyuréthane) à un nouvel examen le 19 juin.
Finalement, à la demande de plusieurs fédérations nationales, la FINA a reculé, cette semaine, l'ultime examen au lundi 22 juin. Une aubaine pour l'Open EDF de natation qui évite ainsi une nouvelle vague de controverse. Une aubaine qu'Alain Bernard espère décisive afin de clore le chapitre des combinaisons et d'aborder sereinement les championnats du monde de Rome qui pointent à l'horizon (17 juillet-2 août).
"J'attends avec impatience la décision de la FINA", a reconnu Alain Bernard. "J'envisage toutes les possibilités, mais j'espère surtout que l'on y verra plus clair. La FINA a tardé à changer les choses. Elle a manqué d'autorité pour imposer une décision."
"L'avenir de notre sport se joue ce week-end à Lausanne (siège de la FINA)", a ajouté le champion olympique, qui prend position clairement contre les équipements en tout polyuréthane.
"Avec le tout néoprène, nous sommes allés trop loin. Il faut faire machine arrière et fixer des règles. Lors des championnats de France de Montpellier, j'ai nagé avec la X-Glide d'Arena pour pointer cette dérive."
Une dérive qui prendra fin, et cela peu importe la décision de la FINA du 22 juin prochain, le 1er janvier 2010. A cette date, selon la Charte de Dubaï établie en mars 2009, les combinaisons ne devront plus comporter plus de 50% de néoprène.
Source: Associated Presse via Yahoo News
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