Un cheminot a cassé les vitres d'un poste de relais.
"Cette affaire a été montée en épingle. C'était la fin de la journée qu'il avait passée sur un piquet de grève. Il a vu des collègues au boulot, il s'est énervé et il a balancé deux cailloux", a précisé Jean-Marc Léon, secrétaire fédéral de la CGT de Lorraine.
Le procureur a déclaré qu’''il ne s’agissait pas de juger les modalités d’un conflit social mais un acte isolé et inacceptable commis en marge de celui-ci''.
Des faits ''totalement inadmissibles'' selon la partie civile, que ni la grève ni l’alcool ne pourraient justifier.
Pour sa part, la défense a indiqué qu’en raison de son ivresse, le prévenu n’était pas dans son état normal au moment des faits (un taux d’alcoolémie d’un gramme relevé lors de la garde à vue).
Un autre cheminot et un conducteur poids-lourds auraient purgé les freins d'un train.
Les deux hommes sont soupçonnés d'avoir purgé les freins d'un train arrêté par un piquet de grève, empêchant le redémarrage du convoi.
Le procureur de Nancy a déclaré qu''Il n'y a pas eu d'acte de sabotage. Il n'y avait aucun danger, car le train ne pouvait redémarrer tant que les freins n'étaient pas remis en pression". Remis en liberté, les deux hommes, comparaîtraient le 17 décembre en audience collégiale au tribunal correctionnel de Nancy.
"Cette affaire a été montée en épingle. C'était la fin de la journée qu'il avait passée sur un piquet de grève. Il a vu des collègues au boulot, il s'est énervé et il a balancé deux cailloux", a précisé Jean-Marc Léon, secrétaire fédéral de la CGT de Lorraine.
Le procureur a déclaré qu’''il ne s’agissait pas de juger les modalités d’un conflit social mais un acte isolé et inacceptable commis en marge de celui-ci''.
Des faits ''totalement inadmissibles'' selon la partie civile, que ni la grève ni l’alcool ne pourraient justifier.
Pour sa part, la défense a indiqué qu’en raison de son ivresse, le prévenu n’était pas dans son état normal au moment des faits (un taux d’alcoolémie d’un gramme relevé lors de la garde à vue).
Un autre cheminot et un conducteur poids-lourds auraient purgé les freins d'un train.
Les deux hommes sont soupçonnés d'avoir purgé les freins d'un train arrêté par un piquet de grève, empêchant le redémarrage du convoi.
Le procureur de Nancy a déclaré qu''Il n'y a pas eu d'acte de sabotage. Il n'y avait aucun danger, car le train ne pouvait redémarrer tant que les freins n'étaient pas remis en pression". Remis en liberté, les deux hommes, comparaîtraient le 17 décembre en audience collégiale au tribunal correctionnel de Nancy.
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