Ecrans noirs, câbles blancs pour une communication parasitée...
le réflexe du chien Pavlov
Ecrans noirs de cassettes VHS, émettrices de sons et d’images, mais aussi outil de propagande, de menaces terroristes. Câbles blancs déconnectés qui défilent enroulés dans les pièces d’un étage à l’autre…Projections poétiques.
Effacer, tisser, écrire…tel est le leitmotiv de cet artiste multimédia présent sur la scène internationale et plus précisément à Istres au Centre d’Art Contemporain Intercommunal. Histoires prégnantes du lien, de sa rupture, de la difficulté de communiquer dans un monde de la communication saturée.
De Dakar à Zürich en passant par le Centre Georges Pompidou et au Mori art du muséum de Tokyo, ce jeune artiste décline à l’infini les trop pleins et les manques qui aliène notre liberté.
Ces installations « in situ » de cassettes vidéo servent ainsi de briques pour représenter le sanctuaire sacré de la Mecque ou « Save Manhattan 2 ».
Mounir Fatni, toujours dans l’entre deux, ni d’ici, ni d’ailleurs, tel un poète rimbaldien sur le fil du rasoir crée sans cesse pour lever l’énigme de l’héritage.
Une exposition solaire d’où se dégage avec une puissante énergie les questions universelles de tous les « égarés » du monde.
Comment oublier ce "maître des ombres" aux boîtes noires ?
Visible et audible au Centre d'Art Contemporain Intercommunal d'Istres du 27 octobre au 20 décembre 2005.
Effacer, tisser, écrire…tel est le leitmotiv de cet artiste multimédia présent sur la scène internationale et plus précisément à Istres au Centre d’Art Contemporain Intercommunal. Histoires prégnantes du lien, de sa rupture, de la difficulté de communiquer dans un monde de la communication saturée.
De Dakar à Zürich en passant par le Centre Georges Pompidou et au Mori art du muséum de Tokyo, ce jeune artiste décline à l’infini les trop pleins et les manques qui aliène notre liberté.
Ces installations « in situ » de cassettes vidéo servent ainsi de briques pour représenter le sanctuaire sacré de la Mecque ou « Save Manhattan 2 ».
Mounir Fatni, toujours dans l’entre deux, ni d’ici, ni d’ailleurs, tel un poète rimbaldien sur le fil du rasoir crée sans cesse pour lever l’énigme de l’héritage.
Une exposition solaire d’où se dégage avec une puissante énergie les questions universelles de tous les « égarés » du monde.
Comment oublier ce "maître des ombres" aux boîtes noires ?
Visible et audible au Centre d'Art Contemporain Intercommunal d'Istres du 27 octobre au 20 décembre 2005.