Le président allemand Wulff refuse de démissionner
Le président allemand Christian Wulf, un allié de la chancelière Angela Merkel, assure vouloir rester à son poste bien qu'il soit accusé d'avoir tenté d'etouffer une affaire de crédit privé. "J'assume la plénitude de mes fonctions, pour les cinq années de mon mandat", a déclaré le président au cours d'une interview sur les deux chaînes de télévision publiques allemandes, alors que les appels à démissionner se font pressants depuis 48 heures. De son côté, Angela Merkel a renouvelé son soutien au président qu'elle a péniblement fait élire il y a un an et demi. "La chancelière apprécie particulièrement le travail de Christian Wulff (...) Je peux aussi dire qu'elle fait entièrement confiance au président pour répondre à toutes les questions en suspens", a déclaré un porte-parole du gouvernement allemand, Georg Streiter. Le président allemand dont la fonction est essentiellement honorifique est dans la tourmente depuis mi-décembre après des révélations de la presse sur un prêt très avantageux obtenu auprès d'un couple de riches entrepreneurs.(liberation.fr) Tout cela n'est qu'un buzz, surtout si la fonction du Président de la république est plus honorifique dqu'autre chose. Bien sûr, si les Allemands n'ont pas accès à des prêts aussi avantageux, ils grincent des dents.
Santorum, le candidat du coeur des républicains
En arrivant à égalité avec Mitt Romney au caucus de l'Iowa, l'ultraconservateur Rick Santorum est le grand vainqueur de cette première primaire. Reste à savoir si ce succès se répétera. La primaire républicaine de l'Iowa a été à la fois un match nul et une victoire. Les scores étaient si serrés que les étudiants en statistiques de l'université Iowa State vont probablement voir le sujet tomber à leur examen final. Mitt Romney et Rick Santorum ont terminé ex-æquo avec 25% chacun, talonnés par Ron Paul qui marque 21%. En revanche, lorsqu'on mesure les réponses à la question fondamentale de la campagne républicaine: allez-vous voter pour Romney, qui a toutes les chances d'être élu, ou pour le candidat qui parle à votre coeur -soit Santorum ou Paul- le résultat est écrasant: 46-25 en faveur du coeur au détriment de la raison.(slate.fr) Apparemment l'âme fasciste et impérialiste et sans détour des américains s'est réveillée.
Tunisie: le pain avant l'islam et la démocratie
Le 23 octobre, les Tunisiens se sont rendus aux urnes pour participer aux premières élections depuis le printemps arabe. De l'avis général, ces élections ont été libres et justes, ce qui est une victoire pleine de sens dans une région longtemps soumise à la dictature. Avec une participation d'un peu plus de 50%, la majorité des Tunisiens-environ 40%-ont glissé dans l'urne un bulletin pour Ennadha, le parti de la renaissance, représentant des islamistes modérés. Malgré la victoire très nette de ce parti sur ceux qui le talonnaient, un certain nombre de formations à l'esprit plus laïque ont remporté un pourcentage équivalent des suffrages, ce qui signifie qu'il ne s'agit pas là d'une victoire absolue pour le camp islamiste. Au vu de la répression subie par les partis politiques et de la période relativement courte entre la révolution et les élections, ce résultat ne reflète pas vraiment clairement les préférences des citoyens ordinaires. L'opinion tunisienne très divisée. Peu de temps avant les élections, entre le 30 septembre et le 11 octobre, le deuxième volet d'un sondage d'opinion conduit dans onze pays, le Baromètre arabe a été organisé en Tunisie. Les conclusions de cette enquête ont révélé que la victoire d'Ennahda ne traduisait pas une franche aspiration à un système politique plus religieux.(slate.fr) La Tunisie est un pays sage qui à compris qu'un régime politique religieux n'amène pas forcément de solution aux problèmes économiques.
Source: Yahoo actualités
Le président allemand Christian Wulf, un allié de la chancelière Angela Merkel, assure vouloir rester à son poste bien qu'il soit accusé d'avoir tenté d'etouffer une affaire de crédit privé. "J'assume la plénitude de mes fonctions, pour les cinq années de mon mandat", a déclaré le président au cours d'une interview sur les deux chaînes de télévision publiques allemandes, alors que les appels à démissionner se font pressants depuis 48 heures. De son côté, Angela Merkel a renouvelé son soutien au président qu'elle a péniblement fait élire il y a un an et demi. "La chancelière apprécie particulièrement le travail de Christian Wulff (...) Je peux aussi dire qu'elle fait entièrement confiance au président pour répondre à toutes les questions en suspens", a déclaré un porte-parole du gouvernement allemand, Georg Streiter. Le président allemand dont la fonction est essentiellement honorifique est dans la tourmente depuis mi-décembre après des révélations de la presse sur un prêt très avantageux obtenu auprès d'un couple de riches entrepreneurs.(liberation.fr) Tout cela n'est qu'un buzz, surtout si la fonction du Président de la république est plus honorifique dqu'autre chose. Bien sûr, si les Allemands n'ont pas accès à des prêts aussi avantageux, ils grincent des dents.
Santorum, le candidat du coeur des républicains
En arrivant à égalité avec Mitt Romney au caucus de l'Iowa, l'ultraconservateur Rick Santorum est le grand vainqueur de cette première primaire. Reste à savoir si ce succès se répétera. La primaire républicaine de l'Iowa a été à la fois un match nul et une victoire. Les scores étaient si serrés que les étudiants en statistiques de l'université Iowa State vont probablement voir le sujet tomber à leur examen final. Mitt Romney et Rick Santorum ont terminé ex-æquo avec 25% chacun, talonnés par Ron Paul qui marque 21%. En revanche, lorsqu'on mesure les réponses à la question fondamentale de la campagne républicaine: allez-vous voter pour Romney, qui a toutes les chances d'être élu, ou pour le candidat qui parle à votre coeur -soit Santorum ou Paul- le résultat est écrasant: 46-25 en faveur du coeur au détriment de la raison.(slate.fr) Apparemment l'âme fasciste et impérialiste et sans détour des américains s'est réveillée.
Tunisie: le pain avant l'islam et la démocratie
Le 23 octobre, les Tunisiens se sont rendus aux urnes pour participer aux premières élections depuis le printemps arabe. De l'avis général, ces élections ont été libres et justes, ce qui est une victoire pleine de sens dans une région longtemps soumise à la dictature. Avec une participation d'un peu plus de 50%, la majorité des Tunisiens-environ 40%-ont glissé dans l'urne un bulletin pour Ennadha, le parti de la renaissance, représentant des islamistes modérés. Malgré la victoire très nette de ce parti sur ceux qui le talonnaient, un certain nombre de formations à l'esprit plus laïque ont remporté un pourcentage équivalent des suffrages, ce qui signifie qu'il ne s'agit pas là d'une victoire absolue pour le camp islamiste. Au vu de la répression subie par les partis politiques et de la période relativement courte entre la révolution et les élections, ce résultat ne reflète pas vraiment clairement les préférences des citoyens ordinaires. L'opinion tunisienne très divisée. Peu de temps avant les élections, entre le 30 septembre et le 11 octobre, le deuxième volet d'un sondage d'opinion conduit dans onze pays, le Baromètre arabe a été organisé en Tunisie. Les conclusions de cette enquête ont révélé que la victoire d'Ennahda ne traduisait pas une franche aspiration à un système politique plus religieux.(slate.fr) La Tunisie est un pays sage qui à compris qu'un régime politique religieux n'amène pas forcément de solution aux problèmes économiques.
Source: Yahoo actualités
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