James Bond en mission à Dubaï
effery Deaver, l'auteur du prochain "James Bond", a révélé lundi que l'agent 007 effectuait cette nouvelle mission à Dubaï. Le roman "Carte Blanche" doit sortir en librairies en mai prochain et Jeffery Deaver n'a rien dévoilé de l'intrigue. Il s'est contenté de planter le décor pour l'espion de sa Gracieuse Majesté: ce sera Dubaï. La cité-émirat offre, à ses yeux, un mélange "exotique" de gratte-ciel rutilants et de paysages désertiques. Jeffery Deaver a été chargé par les ayants droit d'Ian Fleming d'écrire la suite des aventures de James Bond. (AP)
Le gouvernement britannique prépare une réforme du système de santé
Le Premier ministre David Cameron a dévoilé lundi les grandes lignes d'une réforme en profondeur du système de santé britannique jugée, selon lui, nécessaire pour éviter une grave crise d'ici "deux ou trois ans". La coalition conservateurs-libéraux démocrates détaillera mercredi son projet de réforme. Mais, sur la BBC, David Cameron en a d'ores et déjà dévoilé les grandes lignes: le gouvernement entend notamment renforcer le rôle des médecins de famille par rapport à l'administration, et autoriser les sociétés privées à concourir pour des contrats au sein du National Health System (NHS), le système public de santé britannique. Le Premier ministre a estimé que cette réforme était nécessaire pour combler le retard pris par la Grande-Bretagne vis-à-vis d'autres pays européens. "Je ne pense pas que nous devrions accepter d'être deuxièmes", a-t-il déclaré. "Nous devons essayer d'être les meilleurs". Si le NHS n'est pas réformé, a-t-il poursuivi, "nous serons confrontés à une grave vraiment grave dans deux ou trois ans. "Je ne pense que rester à ne rien faire et injecter beaucoup d'argent dans le NHS soit une option", a-t-il dit. "Je pense que nous devons effectivement faire des changements fondamentaux". Le NHS est le plus gros employeur britannique et coûte chaque année plus de 100 milliards de livres (près de 120 milliards d'euros) au contribuable britannique. (AP)
Pakistan: dix-neuf morts dans l'explosion d'un bus
L'explosion d'un minibus a fait 19 morts lundi dans le nord-ouest du Pakistan, selon la police. L'explosion s'est produite sur une route entre Hangu et Kohat, près de la région tribale du Pakistan. La déflagration a tué les 17 occupants du minibus et fait deux morts dans un autre véhicule touché par l'explosion, selon la police. Dix personnes ont également été blessées. Les militants islamistes sont à l'origine de nombreux attentats et attaques dans la région tribale à cheval sur le nord-ouest du Pakistan et l'est de l'Afghanistan. (AP)
L'UE offre son aide à la Tunisie
L'Union européenne a offert lundi son aide à la Tunisie, notamment dans l'organisation du processus électoral après la fuite de l'ancien président Zine El Abidine Ben Ali. La porte-parole Maja Kocijancic a déclaré que l'UE était prête "à préparer et organiser le processus électoral". L'Union a également dit réfléchir à d'autres mesures d'accompagnement démocratique et économique de la Tunisie. Le Premier ministre tunisien Mohamed Ghannouchi doit annoncer lundi après-midi la composition du gouvernement d'union nationale chargé d'assurer l'intérim avant l'organisation d'une élection présidentielle prévue, selon la Constitution, dans les deux mois. (AP)
Un mort dans un attentat contre un gouverneur irakien
Un attentat suicide qui visait le gouverneur de la province irakienne d'Anbar a coûté la vie à l'un de ses gardes du corps et fait plusieurs blessés lundi, rapportent les forces de l'ordre. "Un attentat suicide à la voiture piégée a visé le convoi du gouverneur Kassim Mohammed dans le centre de Ramadi alors qu'il se rendait à son bureau. Le gouverneur s'en est tiré indemne mais son véhicule a été endommagé et il a dû en prendre un autre", a déclaré un membre de son service de presse. De sources policières, on fait état de cinq à neuf blessés. Ramadi se trouve à une centaine de kilomètres à l'ouest de Bagdad. Le gouverneur de la province d'Anbar, épicentre de la guérilla sunnite, a souvent été pris pour cible. Le mois dernier, 17 personnes ont trouvé la mort dans un double attentat à la voiture piégée contre le siège de son administration. En décembre 2009, il a été grièvement blessé dans les mêmes circonstances. (Reuters)
Haïti: Jean-Claude "Bébé Doc" Duvalier de retour
L'ancien dictateur Jean-Claude "Bébé Doc" Duvalier a fait dimanche soir un retour surprise en Haïti, 25 ans après avoir été renversé par la population d'un pays aujourd'hui confronté à une profonde crise politique, une épidémie de choléra et une reconstruction quasi-inexistante un an après le séisme de janvier 2010. En exil en France depuis son renversement en 1986, Jean-Claude Duvalier, 59 ans, a atterri à l'aéroport de Port-au-Prince à bord d'un vol Air France. Son retour n'était pas annoncé, mais il a été accueilli par environ 200 de ses partisans, avant de filer à bord d'un 4X4 vers un hôtel. Sa compagne Véronique Roy a indiqué aux journalistes qu'il comptait rester trois jours en Haïti. Il devait tenir une conférence de presse lundi. Le président René Préval avait déclaré en 2007 que "Bébé Doc" pourrait rentrer dans son pays, mais seulement pour y être jugé pour la mort de dizaines de milliers de personnes et le détournement de millions de dollars. Il n'a fait aucun commentaire pour l'heure, mais son Premier ministre Jean-Max Bellerive ne s'est pour sa part pas opposé à ce retour inattendu. "C'est un Haïtien et, en tant que tel, il est libre de rentrer chez lui", a-t-il déclaré. Quant à la possibilité que le retour de Duvalier conduise à déstabiliser un pays déjà au bord du gouffre, il a répondu: "jusqu'à maintenant, il n'y a aucune raison de le croire". Jean-Claude Duvalier avait pris le pouvoir en 1971 à seulement 19 ans, assurant la succession de son père François "Papa Doc" Duvalier, qui avait mis la main sur Haïti en 1957. (AP)
Liban: le début des consultations reporté d'une semaine
Le président libanais Michel Souleimane a reporté d'une semaine les consultations en vue de la formation du prochain gouvernement, qui auraient dû débuter lundi. Le chef de l'Etat les a reportées "après avoir sondé les différentes positions des partis politiques libanais", dit la présidence libanaise dans un communiqué. Plusieurs responsables politiques avaient évoqué ce report, du fait d'une rencontre prévue dans la journée à Damas entre les dirigeants syrien, turc et qatari au sujet de la crise politique libanaise. Les ministres issus du Hezbollah ont quitté le gouvernement d'union nationale de Saad Hariri mercredi dernier pour exprimer leur désaccord avec l'enquête sur l'assassinat de l'ancien Premier ministre Rafic Hariri, père du chef du gouvernement sortant. Dimanche, le Hezbollah, organisation chiite alliée de la Syrie, a souligné qu'elle ne soutiendrait pas Saad Hariri dans ses efforts pour former un nouveau gouvernement. Le Tribunal spécial pour le Liban (TSL), soutenu par l'Onu, devrait rendre public dans la semaine son acte d'accusation concernant l'assassinat de Rafic Hariri et inculper certains membres du Hezbollah pour leur rôle présumé dans l'attentat, commis en février 2005 à Beyrouth. Le Hezbollah, qui dément tout rôle dans cet attentat, a demandé à Saad Hariri de rompre avec le TSL, de retirer les juges libanais qui y siègent et de geler les financements que Beyrouth lui accorde. (Reuters)
Brésil: le bilan des inondations dépasse 600 morts
Les inondations et glissements de terrain dus aux pluies torrentielles qui se sont abattues cette semaine sur les montagnes au nord de Rio de Janeiro ont fait au moins 611 morts, rapporte dimanche la Protection civile brésilienne. Les prévisions météorologiques sont mauvaises et le bilan risque de s'alourdir tandis que les sauveteurs recherchent encore d'autres victimes noyées dans les rivières en crue ou enfouies sous les coulées de boue de cette région reculée, à une centaine de kilomètres de Rio. La nouvelle présidente brésilienne, Dilma Rousseff, s'est rendue jeudi sur les lieux de la catastrophe naturelle, l'une des pires qu'ait jamais connues le pays, où l'on craint désormais des épidémies de tétanos ou de diphtérie. (Reuters)
La facture des inondations sans précédent craint l'Australie
Les inondations qui dévastent une grande partie de l'est de l'Australie risquent de devenir la catastrophe naturelle la plus coûteuse de l'histoire du pays, a déclaré lundi le vice-Premier ministre, Wayne Swan. La facture de la reconstruction dans le seul Etat du Queensland, le plus durement touché depuis le début de ces inondations en décembre, pourrait s'élever à 10 milliards de dollars australiens (7,4 milliards d'euros), a rapporté lundi le journal The Australian. L'estimation du coût des dégâts ne cesse de s'alourdir à mesure que les crues se déplacent vers le Sud et touchent de nouvelles zones dans le nord et l'ouest de l'Etat de Victoria. "On dirait que cela va probablement être, en termes économiques, la plus importante catastrophe naturelle de notre histoire", a dit Wayne Swan à l'antenne de la télévision australienne. Les inondations ont touché quatre Etats australiens depuis décembre. Le bilan dans le Queensland s'élève à 22 morts et devrait encore s'alourdir. L'ampleur de la catastrophe a dépassé celle du cyclone qui avait frappé Darwin en 1974, faisant 43.000 sans-abri.
Des feux de broussailles en 2009 dans l'Etat de Victoria avaient fait 131 morts mais des dégâts moins importants. Les opérations de nettoyage se poursuivaient lundi à Brisbane, la capitale du Queensland, dont de nombreux secteurs étaient encore recouverts par les eaux il y a quelques jours. (Reuters)
Source : Yahoo Actualités
effery Deaver, l'auteur du prochain "James Bond", a révélé lundi que l'agent 007 effectuait cette nouvelle mission à Dubaï. Le roman "Carte Blanche" doit sortir en librairies en mai prochain et Jeffery Deaver n'a rien dévoilé de l'intrigue. Il s'est contenté de planter le décor pour l'espion de sa Gracieuse Majesté: ce sera Dubaï. La cité-émirat offre, à ses yeux, un mélange "exotique" de gratte-ciel rutilants et de paysages désertiques. Jeffery Deaver a été chargé par les ayants droit d'Ian Fleming d'écrire la suite des aventures de James Bond. (AP)
Le gouvernement britannique prépare une réforme du système de santé
Le Premier ministre David Cameron a dévoilé lundi les grandes lignes d'une réforme en profondeur du système de santé britannique jugée, selon lui, nécessaire pour éviter une grave crise d'ici "deux ou trois ans". La coalition conservateurs-libéraux démocrates détaillera mercredi son projet de réforme. Mais, sur la BBC, David Cameron en a d'ores et déjà dévoilé les grandes lignes: le gouvernement entend notamment renforcer le rôle des médecins de famille par rapport à l'administration, et autoriser les sociétés privées à concourir pour des contrats au sein du National Health System (NHS), le système public de santé britannique. Le Premier ministre a estimé que cette réforme était nécessaire pour combler le retard pris par la Grande-Bretagne vis-à-vis d'autres pays européens. "Je ne pense pas que nous devrions accepter d'être deuxièmes", a-t-il déclaré. "Nous devons essayer d'être les meilleurs". Si le NHS n'est pas réformé, a-t-il poursuivi, "nous serons confrontés à une grave vraiment grave dans deux ou trois ans. "Je ne pense que rester à ne rien faire et injecter beaucoup d'argent dans le NHS soit une option", a-t-il dit. "Je pense que nous devons effectivement faire des changements fondamentaux". Le NHS est le plus gros employeur britannique et coûte chaque année plus de 100 milliards de livres (près de 120 milliards d'euros) au contribuable britannique. (AP)
Pakistan: dix-neuf morts dans l'explosion d'un bus
L'explosion d'un minibus a fait 19 morts lundi dans le nord-ouest du Pakistan, selon la police. L'explosion s'est produite sur une route entre Hangu et Kohat, près de la région tribale du Pakistan. La déflagration a tué les 17 occupants du minibus et fait deux morts dans un autre véhicule touché par l'explosion, selon la police. Dix personnes ont également été blessées. Les militants islamistes sont à l'origine de nombreux attentats et attaques dans la région tribale à cheval sur le nord-ouest du Pakistan et l'est de l'Afghanistan. (AP)
L'UE offre son aide à la Tunisie
L'Union européenne a offert lundi son aide à la Tunisie, notamment dans l'organisation du processus électoral après la fuite de l'ancien président Zine El Abidine Ben Ali. La porte-parole Maja Kocijancic a déclaré que l'UE était prête "à préparer et organiser le processus électoral". L'Union a également dit réfléchir à d'autres mesures d'accompagnement démocratique et économique de la Tunisie. Le Premier ministre tunisien Mohamed Ghannouchi doit annoncer lundi après-midi la composition du gouvernement d'union nationale chargé d'assurer l'intérim avant l'organisation d'une élection présidentielle prévue, selon la Constitution, dans les deux mois. (AP)
Un mort dans un attentat contre un gouverneur irakien
Un attentat suicide qui visait le gouverneur de la province irakienne d'Anbar a coûté la vie à l'un de ses gardes du corps et fait plusieurs blessés lundi, rapportent les forces de l'ordre. "Un attentat suicide à la voiture piégée a visé le convoi du gouverneur Kassim Mohammed dans le centre de Ramadi alors qu'il se rendait à son bureau. Le gouverneur s'en est tiré indemne mais son véhicule a été endommagé et il a dû en prendre un autre", a déclaré un membre de son service de presse. De sources policières, on fait état de cinq à neuf blessés. Ramadi se trouve à une centaine de kilomètres à l'ouest de Bagdad. Le gouverneur de la province d'Anbar, épicentre de la guérilla sunnite, a souvent été pris pour cible. Le mois dernier, 17 personnes ont trouvé la mort dans un double attentat à la voiture piégée contre le siège de son administration. En décembre 2009, il a été grièvement blessé dans les mêmes circonstances. (Reuters)
Haïti: Jean-Claude "Bébé Doc" Duvalier de retour
L'ancien dictateur Jean-Claude "Bébé Doc" Duvalier a fait dimanche soir un retour surprise en Haïti, 25 ans après avoir été renversé par la population d'un pays aujourd'hui confronté à une profonde crise politique, une épidémie de choléra et une reconstruction quasi-inexistante un an après le séisme de janvier 2010. En exil en France depuis son renversement en 1986, Jean-Claude Duvalier, 59 ans, a atterri à l'aéroport de Port-au-Prince à bord d'un vol Air France. Son retour n'était pas annoncé, mais il a été accueilli par environ 200 de ses partisans, avant de filer à bord d'un 4X4 vers un hôtel. Sa compagne Véronique Roy a indiqué aux journalistes qu'il comptait rester trois jours en Haïti. Il devait tenir une conférence de presse lundi. Le président René Préval avait déclaré en 2007 que "Bébé Doc" pourrait rentrer dans son pays, mais seulement pour y être jugé pour la mort de dizaines de milliers de personnes et le détournement de millions de dollars. Il n'a fait aucun commentaire pour l'heure, mais son Premier ministre Jean-Max Bellerive ne s'est pour sa part pas opposé à ce retour inattendu. "C'est un Haïtien et, en tant que tel, il est libre de rentrer chez lui", a-t-il déclaré. Quant à la possibilité que le retour de Duvalier conduise à déstabiliser un pays déjà au bord du gouffre, il a répondu: "jusqu'à maintenant, il n'y a aucune raison de le croire". Jean-Claude Duvalier avait pris le pouvoir en 1971 à seulement 19 ans, assurant la succession de son père François "Papa Doc" Duvalier, qui avait mis la main sur Haïti en 1957. (AP)
Liban: le début des consultations reporté d'une semaine
Le président libanais Michel Souleimane a reporté d'une semaine les consultations en vue de la formation du prochain gouvernement, qui auraient dû débuter lundi. Le chef de l'Etat les a reportées "après avoir sondé les différentes positions des partis politiques libanais", dit la présidence libanaise dans un communiqué. Plusieurs responsables politiques avaient évoqué ce report, du fait d'une rencontre prévue dans la journée à Damas entre les dirigeants syrien, turc et qatari au sujet de la crise politique libanaise. Les ministres issus du Hezbollah ont quitté le gouvernement d'union nationale de Saad Hariri mercredi dernier pour exprimer leur désaccord avec l'enquête sur l'assassinat de l'ancien Premier ministre Rafic Hariri, père du chef du gouvernement sortant. Dimanche, le Hezbollah, organisation chiite alliée de la Syrie, a souligné qu'elle ne soutiendrait pas Saad Hariri dans ses efforts pour former un nouveau gouvernement. Le Tribunal spécial pour le Liban (TSL), soutenu par l'Onu, devrait rendre public dans la semaine son acte d'accusation concernant l'assassinat de Rafic Hariri et inculper certains membres du Hezbollah pour leur rôle présumé dans l'attentat, commis en février 2005 à Beyrouth. Le Hezbollah, qui dément tout rôle dans cet attentat, a demandé à Saad Hariri de rompre avec le TSL, de retirer les juges libanais qui y siègent et de geler les financements que Beyrouth lui accorde. (Reuters)
Brésil: le bilan des inondations dépasse 600 morts
Les inondations et glissements de terrain dus aux pluies torrentielles qui se sont abattues cette semaine sur les montagnes au nord de Rio de Janeiro ont fait au moins 611 morts, rapporte dimanche la Protection civile brésilienne. Les prévisions météorologiques sont mauvaises et le bilan risque de s'alourdir tandis que les sauveteurs recherchent encore d'autres victimes noyées dans les rivières en crue ou enfouies sous les coulées de boue de cette région reculée, à une centaine de kilomètres de Rio. La nouvelle présidente brésilienne, Dilma Rousseff, s'est rendue jeudi sur les lieux de la catastrophe naturelle, l'une des pires qu'ait jamais connues le pays, où l'on craint désormais des épidémies de tétanos ou de diphtérie. (Reuters)
La facture des inondations sans précédent craint l'Australie
Les inondations qui dévastent une grande partie de l'est de l'Australie risquent de devenir la catastrophe naturelle la plus coûteuse de l'histoire du pays, a déclaré lundi le vice-Premier ministre, Wayne Swan. La facture de la reconstruction dans le seul Etat du Queensland, le plus durement touché depuis le début de ces inondations en décembre, pourrait s'élever à 10 milliards de dollars australiens (7,4 milliards d'euros), a rapporté lundi le journal The Australian. L'estimation du coût des dégâts ne cesse de s'alourdir à mesure que les crues se déplacent vers le Sud et touchent de nouvelles zones dans le nord et l'ouest de l'Etat de Victoria. "On dirait que cela va probablement être, en termes économiques, la plus importante catastrophe naturelle de notre histoire", a dit Wayne Swan à l'antenne de la télévision australienne. Les inondations ont touché quatre Etats australiens depuis décembre. Le bilan dans le Queensland s'élève à 22 morts et devrait encore s'alourdir. L'ampleur de la catastrophe a dépassé celle du cyclone qui avait frappé Darwin en 1974, faisant 43.000 sans-abri.
Des feux de broussailles en 2009 dans l'Etat de Victoria avaient fait 131 morts mais des dégâts moins importants. Les opérations de nettoyage se poursuivaient lundi à Brisbane, la capitale du Queensland, dont de nombreux secteurs étaient encore recouverts par les eaux il y a quelques jours. (Reuters)
Source : Yahoo Actualités
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