Faisant écho à cet optimisme au terme de leur rencontre de deux heures, le Premier ministre israélien s'est dit confiant que les efforts de l'administration de Barack Obama et de l'Etat juif pour promouvoir la paix "finiraient pas être couronnés de succès".
"Nous attendons avec impatience de poursuivre nos discussions pour en arriver à un point où nous pourrons tous avancer vers la conception qu'a le président Barack Obama d'une paix globale, qui, je le sais, est aussi partagée par le Premier ministre et tous les autres dans la région", a dit Mitchell.
Le chef de la Maison blanche exige d'Israël qu'il gèle toutes les activités de colonisation à Jérusalem-Est et en Cisjordanie occupée, conformément à la "feuille de route" internationale pour la paix qu'ont acceptée en 2003 Israéliens et Palestiniens.
Benjamin Netanyahu a promis à Barack Obama de ne pas créer de nouvelles colonies mais il revendique fermement le droit d'Israël de développer les implantations existantes pour tenir compte, selon lui, de la croissance démographique "naturelle" de leur population.
Le président palestinien Mahmoud Abbas a réaffirmé lundi à l'émissaire américain que l'Autorité autonome qu'il dirige ne reprendrait pas les négociations de paix avec Israël, suspendues l'an dernier, sans un gel total des activités de colonisation.
George Mitchell a confié au dirigeant palestinien qu'il continuait ses tractations avec Israël pour aboutir à un accord à ce sujet, tout en ajoutant : "Il y a toujours un fossé entre nous et les Israéliens sur la question des implantations."
George avait préalablement soulevé la question dimanche avec le ministre israélien de la Défense, le travailliste Ehud Barak, qui a évoqué la possibilité de s'en tenir au simple parachèvement des travaux en cours dans les colonies en échange de gestes de pays arabes envers Israël.
L'émissaire américain a dit travailler en ce sens, mais, jusqu'à présent, rien ne laisse penser que les pays visés, comme la Syrie ou l'Arabie saoudite, soient prêts à avancer vers une normalisation de leurs rapports avec l'Etat juif sans un gel total de la colonisation.
A Ramallah, George Mitchell a confié que Washington faisait "tout son possible pour parvenir à une paix globale entre Israéliens et Palestiniens, entre la Syrie et les Israéliens, entre Israël et le Liban, ainsi qu'à la normalisation des relations entre Israël et tous les pays de la région".
Barack Obama veut "une reprise rapide des négociations de fond qui puissent aboutir rapidement, ce qui signifie que chacun doit prendre des initiatives, certaines difficiles, certaines controversées, afin de créer le contexte indispensable" au succès, a souligné l'ancien sénateur démocrate.
Mitchell et Netanyahu sont convenus de se revoir à une date non précisée. Le Premier ministre israélien doit recevoir mercredi Jim Jones, conseiller à la sécurité nationale d'Obama, et plusieurs autres hauts collaborateurs de la Maison blanche.
Source: Reuters via Yahoo News
"Nous attendons avec impatience de poursuivre nos discussions pour en arriver à un point où nous pourrons tous avancer vers la conception qu'a le président Barack Obama d'une paix globale, qui, je le sais, est aussi partagée par le Premier ministre et tous les autres dans la région", a dit Mitchell.
Le chef de la Maison blanche exige d'Israël qu'il gèle toutes les activités de colonisation à Jérusalem-Est et en Cisjordanie occupée, conformément à la "feuille de route" internationale pour la paix qu'ont acceptée en 2003 Israéliens et Palestiniens.
Benjamin Netanyahu a promis à Barack Obama de ne pas créer de nouvelles colonies mais il revendique fermement le droit d'Israël de développer les implantations existantes pour tenir compte, selon lui, de la croissance démographique "naturelle" de leur population.
Le président palestinien Mahmoud Abbas a réaffirmé lundi à l'émissaire américain que l'Autorité autonome qu'il dirige ne reprendrait pas les négociations de paix avec Israël, suspendues l'an dernier, sans un gel total des activités de colonisation.
George Mitchell a confié au dirigeant palestinien qu'il continuait ses tractations avec Israël pour aboutir à un accord à ce sujet, tout en ajoutant : "Il y a toujours un fossé entre nous et les Israéliens sur la question des implantations."
George avait préalablement soulevé la question dimanche avec le ministre israélien de la Défense, le travailliste Ehud Barak, qui a évoqué la possibilité de s'en tenir au simple parachèvement des travaux en cours dans les colonies en échange de gestes de pays arabes envers Israël.
L'émissaire américain a dit travailler en ce sens, mais, jusqu'à présent, rien ne laisse penser que les pays visés, comme la Syrie ou l'Arabie saoudite, soient prêts à avancer vers une normalisation de leurs rapports avec l'Etat juif sans un gel total de la colonisation.
A Ramallah, George Mitchell a confié que Washington faisait "tout son possible pour parvenir à une paix globale entre Israéliens et Palestiniens, entre la Syrie et les Israéliens, entre Israël et le Liban, ainsi qu'à la normalisation des relations entre Israël et tous les pays de la région".
Barack Obama veut "une reprise rapide des négociations de fond qui puissent aboutir rapidement, ce qui signifie que chacun doit prendre des initiatives, certaines difficiles, certaines controversées, afin de créer le contexte indispensable" au succès, a souligné l'ancien sénateur démocrate.
Mitchell et Netanyahu sont convenus de se revoir à une date non précisée. Le Premier ministre israélien doit recevoir mercredi Jim Jones, conseiller à la sécurité nationale d'Obama, et plusieurs autres hauts collaborateurs de la Maison blanche.
Source: Reuters via Yahoo News
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