Il a regretté que le pays continue à dépendre d'une industrie vieillissante et à tirer la plupart de ses revenus des exportations d'énergie. "Le prestige et l'intérêt de la nation ne peuvent pas continuer à dépendre des réussites du passé", a-t-il observé.
Selon le président russe, la dépendance du pays à l'égard des matières premières a entravé son développement économique.
"Nous ne pouvons pas attendre plus longtemps", a souligné Dimitri Medvedev. "Nous devons lancer une modernisation de l'intégralité de nos fondements industriels. La survie de notre nation dans le monde moderne en dépend".
Le maître du Kremlin a constaté que la Russie avait été plus sévèrement touchée par la crise économique que d'autres pays, mais a refusé d'en imputer la faute aux Etats-Unis, comme l'a fait son prédécesseur et actuel Premier ministre Vladimir Poutine. "Nous n'en avons pas fait assez", a-t-il reconnu.
La Russie a dépensé 1.000 milliards de roubles (34,8 milliards de dollars) pour aider une dizaine d'entreprises depuis le début de la crise l'an dernier. Pour Dimitri Medvedev, le gouvernement ne doit aider que les compagnies prêtes à présenter des plans pour améliorer leur efficacité.
Source: Associated Presse via Yahoo News
Selon le président russe, la dépendance du pays à l'égard des matières premières a entravé son développement économique.
"Nous ne pouvons pas attendre plus longtemps", a souligné Dimitri Medvedev. "Nous devons lancer une modernisation de l'intégralité de nos fondements industriels. La survie de notre nation dans le monde moderne en dépend".
Le maître du Kremlin a constaté que la Russie avait été plus sévèrement touchée par la crise économique que d'autres pays, mais a refusé d'en imputer la faute aux Etats-Unis, comme l'a fait son prédécesseur et actuel Premier ministre Vladimir Poutine. "Nous n'en avons pas fait assez", a-t-il reconnu.
La Russie a dépensé 1.000 milliards de roubles (34,8 milliards de dollars) pour aider une dizaine d'entreprises depuis le début de la crise l'an dernier. Pour Dimitri Medvedev, le gouvernement ne doit aider que les compagnies prêtes à présenter des plans pour améliorer leur efficacité.
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