Les participants, qui ont défilé de la Canebière jusqu'à la mairie de Marseille, répondaient à l'appel de familles de détenus, dans l'attente d'une autre manifestation dimanche après-midi à Paris.
"Notre message est très neutre, il est simplement humain et non politique. Il s'agit d'une marche de soutien, d'une marche du coeur. Nous ne sommes pas ici pour soutenir 'L'arche de Zoé', mais des Français emprisonnés", explique Souad, soeur d'une infirmière de 'L'Arche de Zoé' actuellement incarcérée.
Réunis derrière la banderole "Soutien aux ressortissants européens détenus au Tchad", des familles d'accueil venues du sud de la France et des sympathisants portant des fleurs ont défilé en silence.
Des manifestants ont évoqué une "machination" des autorités tchadiennes.
"Nos compatriotes sont devenus une monnaie d'échange pour le président tchadien", a déclaré Michel Deydier, coorganisateur de la marche et candidat à l'accueil d'un orphelin du Darfour.
"Nous pensons qu'il y a quelque chose qui ne va pas dans cette histoire. Beaucoup d'enfants qui ont été présentés à la télévision portaient des cheveux longs, alors que ceux qui avaient été pris en charge par l'association avaient été rasés pour des raisons sanitaires. Il est tellement facile de remplacer des enfants sur place", a-t-il dit.
Un avis partagé par Laurence Gudet, candidate à l'accueil d'un orphelin à Marseille.
"Ces gens doivent bénéficier de la présomption d'innocence et doivent être jugés en France pour que la vérité éclate", estime-t-elle.
Michel Deydier a également évoqué la plainte d'une famille d'accueil à l'encontre de "L'Arche de Zoé."
"Ces personnes sont les seules sur 258 familles à engager une telle démarche. Elles ont des difficultés personnelles et sont plus à plaindre qu'à blâmer. Les pratiques sectaires dont ils parlent ne correspondent pas à la réalité", a-t-il estimé.
"Notre message est très neutre, il est simplement humain et non politique. Il s'agit d'une marche de soutien, d'une marche du coeur. Nous ne sommes pas ici pour soutenir 'L'arche de Zoé', mais des Français emprisonnés", explique Souad, soeur d'une infirmière de 'L'Arche de Zoé' actuellement incarcérée.
Réunis derrière la banderole "Soutien aux ressortissants européens détenus au Tchad", des familles d'accueil venues du sud de la France et des sympathisants portant des fleurs ont défilé en silence.
Des manifestants ont évoqué une "machination" des autorités tchadiennes.
"Nos compatriotes sont devenus une monnaie d'échange pour le président tchadien", a déclaré Michel Deydier, coorganisateur de la marche et candidat à l'accueil d'un orphelin du Darfour.
"Nous pensons qu'il y a quelque chose qui ne va pas dans cette histoire. Beaucoup d'enfants qui ont été présentés à la télévision portaient des cheveux longs, alors que ceux qui avaient été pris en charge par l'association avaient été rasés pour des raisons sanitaires. Il est tellement facile de remplacer des enfants sur place", a-t-il dit.
Un avis partagé par Laurence Gudet, candidate à l'accueil d'un orphelin à Marseille.
"Ces gens doivent bénéficier de la présomption d'innocence et doivent être jugés en France pour que la vérité éclate", estime-t-elle.
Michel Deydier a également évoqué la plainte d'une famille d'accueil à l'encontre de "L'Arche de Zoé."
"Ces personnes sont les seules sur 258 familles à engager une telle démarche. Elles ont des difficultés personnelles et sont plus à plaindre qu'à blâmer. Les pratiques sectaires dont ils parlent ne correspondent pas à la réalité", a-t-il estimé.