Marc Ravalomanana, qui s'exprimait à Johannesburg, en Afrique du Sud, a ajouté qu'il était prêt à partager le pouvoir avec son rival qui l'a contraint à partir, mais seulement si Andry Rajoelina "s'engageait à suivre l'autorité de la loi".
Andry Rajoelina a pris le pouvoir au mois de mars, avec le soutien de l'armée, après des mois de manifestations de rue. Les pays africains et occidentaux ont qualifié cette prise de pouvoir de coup d'Etat.
"Je n'ai pas démissionné en tant que président de Madagascar", a-t-il dit. "J'ai été contraint de passer le relais sous la menace d'une arme (...) Je suis toujours président de Madagascar", a-t-il déclaré, en accusant un groupe de soldats de l'avoir menacé pour qu'il quitte le pouvoir.
Source: Yahoo News
Andry Rajoelina a pris le pouvoir au mois de mars, avec le soutien de l'armée, après des mois de manifestations de rue. Les pays africains et occidentaux ont qualifié cette prise de pouvoir de coup d'Etat.
"Je n'ai pas démissionné en tant que président de Madagascar", a-t-il dit. "J'ai été contraint de passer le relais sous la menace d'une arme (...) Je suis toujours président de Madagascar", a-t-il déclaré, en accusant un groupe de soldats de l'avoir menacé pour qu'il quitte le pouvoir.
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