A l'Assemblée nationale, une Marseillaise chantée à l'unisson, une première depuis la victoire contre l'Allemagne en 1918, a inauguré la cérémonie. Manuel Vals a pointé du doigt le risque majeur de dérive islamiste: "Quand de vrais ghettos urbains se forment, où l'on n'est plus qu'entre soi, où l'on ne prône que le repli, que la mise en congé de la société, où l'Etat n'est plus présent, comment aller vers la République, saisir cette main fraternelle qu'elle tend ?"
"Oui, la France est en guerre contre le terrorisme, le djihadisme et l'islamisme radical", a-t-il encore dit devant un hémicycle qui, à droite comme à gauche, l'a applaudi.
Au terrorisme des fanatiques, il oppose la laïcité: "la réponse aux urgences de notre société doit être forte, sans hésitation : La République et ses valeurs. Et en premier lieu la laïcité, qui est gage d'unité et de tolérance"
Si chère que nous soit la liberté, nous ne devons pas oublier les deux autres termes de la devise nationale: l'égalité et la fraternité. "L'islam est la deuxième religion de France, elle a toute sa place en France, et notre défi, pas en France, mais dans le monde, c'est de faire cette démonstration : la République, la laïcité, l'égalité hommes-femmes sont compatibles avec toutes les religions sur le sol national qui acceptent les principes et les valeurs de la République" a dit Manuel Valls. Selon Yves Jego, député UDI, cité par Reuters, "Il faut remercier le Premier ministre, il a eu le courage d'incarner les valeurs républicaines, universelles et partagées par l'ensemble des groupes politiques." La laïcité, probablement, se comprendrait mieux dans une fraternité plus vivace.
A l'occasion de l'hommage rendu aux trois policiers "morts pour que nous puissions vivre libres" qui ont été décorés à titre posthume des insignes de la Légion d'honneur, François Hollande a déclaré: "Face à la barbarie, c'est le peuple de France qui s'est levé" ... "Notre belle France, qui ne rompt jamais (...), elle reste debout."
En même temps avaient lieu à Jérusalem les funérailles des quatre victimes juives de la prise d'otages de vendredi dans un supermarché casher de Paris. "L'antisémitisme n'a pas sa place en France", a déclaré la ministre de l’Écologie, Ségolène Royal, qui représentait François Hollande à cette cérémonie, répétant les mots du Premier ministre, Manuel Valls : "la France sans les juifs de France n'est pas la France"..
"Oui, la France est en guerre contre le terrorisme, le djihadisme et l'islamisme radical", a-t-il encore dit devant un hémicycle qui, à droite comme à gauche, l'a applaudi.
Au terrorisme des fanatiques, il oppose la laïcité: "la réponse aux urgences de notre société doit être forte, sans hésitation : La République et ses valeurs. Et en premier lieu la laïcité, qui est gage d'unité et de tolérance"
Si chère que nous soit la liberté, nous ne devons pas oublier les deux autres termes de la devise nationale: l'égalité et la fraternité. "L'islam est la deuxième religion de France, elle a toute sa place en France, et notre défi, pas en France, mais dans le monde, c'est de faire cette démonstration : la République, la laïcité, l'égalité hommes-femmes sont compatibles avec toutes les religions sur le sol national qui acceptent les principes et les valeurs de la République" a dit Manuel Valls. Selon Yves Jego, député UDI, cité par Reuters, "Il faut remercier le Premier ministre, il a eu le courage d'incarner les valeurs républicaines, universelles et partagées par l'ensemble des groupes politiques." La laïcité, probablement, se comprendrait mieux dans une fraternité plus vivace.
A l'occasion de l'hommage rendu aux trois policiers "morts pour que nous puissions vivre libres" qui ont été décorés à titre posthume des insignes de la Légion d'honneur, François Hollande a déclaré: "Face à la barbarie, c'est le peuple de France qui s'est levé" ... "Notre belle France, qui ne rompt jamais (...), elle reste debout."
En même temps avaient lieu à Jérusalem les funérailles des quatre victimes juives de la prise d'otages de vendredi dans un supermarché casher de Paris. "L'antisémitisme n'a pas sa place en France", a déclaré la ministre de l’Écologie, Ségolène Royal, qui représentait François Hollande à cette cérémonie, répétant les mots du Premier ministre, Manuel Valls : "la France sans les juifs de France n'est pas la France"..
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