Chats et souris sur le parvis de la Gare du nord: Pendant plus d'un heure et demie va se tenir une manif sauvage dont le seul parcours est de sillonner l'esplanade de la gare de long en large, en fonction des mouvements des forces de l'ordre, qui l'encercle. "Expression, liberté", "Nous sommes tous des Palestiniens" : sous la chaleur orageuse, la foule de la jeunesse pro-palestinienne s'égosille pendant que les visages des policiers, harnachés façon Robocop, rougissent sous les casques. Seuls quelques incidents émaillent le face-à-face manifestants-force de l'ordre. Notamment lorsque les policiers pris à partie verbalement lâchent, un peu vite, une bouffée de gaz lacrymogène dans un fast-food Quick. Le gérant, qui a noté le matricule de la commissaire-stagiaire à l'origine de l'incident, assure qu'il portera plainte. Et ferme boutique. Vers 16h30, finalement les manifestants sauvages de la Gare du nord se dispersent dans le calme. (Tempsreel.nouvelobs.com)
Manifestation pro-palestinienne: heurts entre policiers et manifestants: Des violences ont émaillé la fin de la manifestation interdite en soutien aux Palestiniens, samedi à Paris. 38 personnes ont été interpellées pour jets de projectiles, violences contre les forces de l'ordre et outrage, selon la police. Caillassage, verre brisé, lacrymos... Plusieurs milliers de sympathisants pro-palestiniens ont bravé l'interdiction de manifester samedi à Paris et le rassemblement a rapidement dégénéré en affrontements avec les forces de l'ordre. Des dizaines de manifestants s'en sont pris aux CRS et gendarmes mobiles, sans relâche pendant plusieurs heures, dans le nord de la capitale, autour du carrefour Barbès. A leurs jets de pierres et de bouteilles, ils ont répliqué avec des grenades lacrymogènes. L'air est rapidement devenu irrespirable. Dans une grande confusion, les manifestants, parmi lesquels beaucoup de jeunes hommes, se sont dispersés dans les rues du quartier, croisant des familles parties faire leurs courses ou des touristes ébahis non loin du Sacré Coeur. (Lexpress.fr)
38 interpellations au milieu des jets de projectiles: Mais des petits groupes de jeunes continuent à affronter les policiers. En début de soirée, un jeu du chat et de la souris s'est instauré près du boulevard Barbès, tapissé de pierre, de verre brisé et de cartouches de gaz lacrymogène. Des manifestants ont fait brûler des cagettes en bois sous le métro aérien de la station, provoquant une colonne de fumée noirâtre. Une cabine téléphonique et des supports publicitaires de la mairie brisés. Selon la police qui a fait face à des mouvements de foule disparates dans les petites rues, au moins une personne a été blessée pendant ces échauffourées. Il s'agirait d'un homme ensanglanté au niveau du bassin. Contactées par Le Monde, les forces de police affirmaient avoir circonscrit les violences alors qu'elles craignaient une contagion à d'autres endroits de la capitale. (Lemonde.fr)
Manifestation pro-palestinienne: heurts entre policiers et manifestants: Des violences ont émaillé la fin de la manifestation interdite en soutien aux Palestiniens, samedi à Paris. 38 personnes ont été interpellées pour jets de projectiles, violences contre les forces de l'ordre et outrage, selon la police. Caillassage, verre brisé, lacrymos... Plusieurs milliers de sympathisants pro-palestiniens ont bravé l'interdiction de manifester samedi à Paris et le rassemblement a rapidement dégénéré en affrontements avec les forces de l'ordre. Des dizaines de manifestants s'en sont pris aux CRS et gendarmes mobiles, sans relâche pendant plusieurs heures, dans le nord de la capitale, autour du carrefour Barbès. A leurs jets de pierres et de bouteilles, ils ont répliqué avec des grenades lacrymogènes. L'air est rapidement devenu irrespirable. Dans une grande confusion, les manifestants, parmi lesquels beaucoup de jeunes hommes, se sont dispersés dans les rues du quartier, croisant des familles parties faire leurs courses ou des touristes ébahis non loin du Sacré Coeur. (Lexpress.fr)
38 interpellations au milieu des jets de projectiles: Mais des petits groupes de jeunes continuent à affronter les policiers. En début de soirée, un jeu du chat et de la souris s'est instauré près du boulevard Barbès, tapissé de pierre, de verre brisé et de cartouches de gaz lacrymogène. Des manifestants ont fait brûler des cagettes en bois sous le métro aérien de la station, provoquant une colonne de fumée noirâtre. Une cabine téléphonique et des supports publicitaires de la mairie brisés. Selon la police qui a fait face à des mouvements de foule disparates dans les petites rues, au moins une personne a été blessée pendant ces échauffourées. Il s'agirait d'un homme ensanglanté au niveau du bassin. Contactées par Le Monde, les forces de police affirmaient avoir circonscrit les violences alors qu'elles craignaient une contagion à d'autres endroits de la capitale. (Lemonde.fr)
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