Des avions de chasse et des hélicoptères pour les FAMa
C'est le général de brigade Aliou Boi Diarra en personne qui a reçu des mains de Assimi Goïta les clés de ces engins en sa qualité de chef d’état-major de l’armée de l’Air. La présence de certaines personnes et l’origine de ces moyens témoigne une fois encore la vitalité de la nouvelle coopération militaire entre la Russie et le Mali après le divorce avec la France. De toutes les présences, celle de Igor Gromyko : Ambassadeur de la fédération de Russie au Mali en est une preuve concrète. Il faut signaler aussi que les avions de chasse de même que les hélicoptères sont de conception russe.
Il s’agit entre autres d’appui-feu de type sukhoi 25 d’une part, et d’avions d’attaques et d'entraînement de type Albatros L-39 d’autre part, sans oublier les hélicoptères de manœuvres de type Mi-8. Mieux équipés désormais, l’armée malienne mènera au mieux différentes opérations aériennes comme terrestres : les missions de bombardement et de reconnaissance, des attaques air et sol. On reconnaît spécifiquement pour les Sukhois 25, la chasse et la lutte anti-char.
Il s’agit entre autres d’appui-feu de type sukhoi 25 d’une part, et d’avions d’attaques et d'entraînement de type Albatros L-39 d’autre part, sans oublier les hélicoptères de manœuvres de type Mi-8. Mieux équipés désormais, l’armée malienne mènera au mieux différentes opérations aériennes comme terrestres : les missions de bombardement et de reconnaissance, des attaques air et sol. On reconnaît spécifiquement pour les Sukhois 25, la chasse et la lutte anti-char.
Une Mali véritablement indépendante !
La souveraineté a toujours été l’aspiration des militaires au pouvoir qui pensent qu’il n’est plus question de se laisser contrôler par une autre puissance étrangère même s’il faut reconnaître que la Russie en est une aussi. Le ministre de la défense et des anciens combattants revient d’ailleurs sur cette noble ambition en montrant que la souveraineté n’est pas une célébration à date mais une responsabilité qu’il faut assumer à travers tout un processus dans lequel figure bien la capacité de l’état à assurer les besoins de son peuple de façon autonome. Il fait remarquer que l’un de ces besoins fondamentaux est la sécurité.
L’Etat malien fait donc bien de mettre à jour son système de défense pour garantir à chaque citoyen malien la sécurité qui est depuis quelques années menacée par des groupes terroristes. Le moment est en tout cas bien choisi par Assimi Goïta pour marquer des points chez la population malienne dont le plus grand souci actuellement est le retour de la paix quel que soit le prix et quel que soit le type de partenariat.
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