"Nous ne sommes pas intéressés par ce référendum", a déclaré l'opposant à son arrivée au siège de la radio-télé malgache.
Dimanche, M. Ravalomanana avait affirmé qu'il était prêt à organiser "un référendum si c'est nécessaire" pour régler la crise ouverte avec l'opposition.
"Je reste au pouvoir. Je n'ai pas peur d'un référendum si c'est nécessaire", avait lancé le chef de l'Etat à 5.000 de ses partisans rassemblés devant le palais présidentiel, à une douzaine de kilomètres du centre de la capitale.
"La population n'acceptera pas du tout un référendum. Le référendum n'est pas le souhait de la population", a affirmé M. Rajoelina, surnommé "TGV" par ses partisans pour son caractère fonceur.
"Il n'y aura pas de référendum et nous allons mettre en place le gouvernement de transition", a-t-il réaffirmé, ajoutant: "c'est le peuple qui donne le pouvoir et c'est le peuple qui le reprend. Le président Ravalomanana n'est plus capable de présider le pays".
M. Rajoelina, mobilisait une nouvelle fois ses partisans lundi à Antananarivo pour contraindre à la démission le chef de l'Etat qui, retranché dans son palais, refuse cette éventualité.
Source: Yahoo News
Dimanche, M. Ravalomanana avait affirmé qu'il était prêt à organiser "un référendum si c'est nécessaire" pour régler la crise ouverte avec l'opposition.
"Je reste au pouvoir. Je n'ai pas peur d'un référendum si c'est nécessaire", avait lancé le chef de l'Etat à 5.000 de ses partisans rassemblés devant le palais présidentiel, à une douzaine de kilomètres du centre de la capitale.
"La population n'acceptera pas du tout un référendum. Le référendum n'est pas le souhait de la population", a affirmé M. Rajoelina, surnommé "TGV" par ses partisans pour son caractère fonceur.
"Il n'y aura pas de référendum et nous allons mettre en place le gouvernement de transition", a-t-il réaffirmé, ajoutant: "c'est le peuple qui donne le pouvoir et c'est le peuple qui le reprend. Le président Ravalomanana n'est plus capable de présider le pays".
M. Rajoelina, mobilisait une nouvelle fois ses partisans lundi à Antananarivo pour contraindre à la démission le chef de l'Etat qui, retranché dans son palais, refuse cette éventualité.
Source: Yahoo News
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