Pourquoi utiliser la liposuccion ?
La liposuccion n'est pas une alternative à l'amélioration du mode de vie, mais plutôt un moyen de traiter les zones du corps qui résistent au régime alimentaire et à l'exercice, où les cellules graisseuses (riches en graisse) sont accumulées en quantités excessives.La quantité de graisse enlevée dépend de l'apparence de la zone et du volume des cellules graisseuses et peut ainsi améliorer :
- cuisses ;
- fesses ;
- hanches ;
- poitrine ;
- abdomen ;
- le haut du bras ;
- le cou ;
Les modifications apportées sont de longue durée, à condition que le poids reste stable.
Dans certains cas, la chirurgie peut être utilisée pour améliorer la fonction sexuelle en réduisant les dépôts de graisse anormaux à l'intérieur des cuisses et ainsi faciliter l'accès au vagin (source : MedLinePlus).
Notez plutôt que la liposuccion :
- n'améliore pas les imperfections de la cellulite ou d'autres irrégularités de la surface de la peau,
- n'enlève pas les vergetures,
- ne remplace pas un mode de vie adéquat (alimentation et exercice physique),
- n'élimine pas l'excès de peau (il est donc nécessaire d'utiliser une abdominoplastie).
- antécédents médicaux,
- les compléments alimentaires (même s'ils sont naturels),
- toute pathologie passée ou actuelle,
- Tabagisme
La préparation et l'approche de l'intervention doivent toujours inclure aussi une évaluation psychologique ; à cet égard, il est bon de rappeler que, si la liposuccion permet d'améliorer l'apparence du corps, elle ne permet généralement pas d'obtenir un résultat parfaitement superposable à son idéal. Anesthésie
Pour certaines interventions, l'anesthésie locale ou régionale seule peut être suffisante, c'est-à-dire limitée à une zone spécifique du corps.
Dans le cas d'une anesthésie locale, le chirurgien effectuera des injections d'anesthésique à différents endroits afin de préparer la zone à traiter, suivies de médicaments qui seront injectés même pendant la chirurgie proprement dite. Les sédatifs et les anxiolytiques sont souvent administrés par voie systémique (par voie orale ou intraveineuse) afin de réduire davantage l'inconfort pour le patient.
L'anesthésie régionale, quant à elle, consiste en une injection péridurale, par laquelle une partie beaucoup plus importante du corps est anesthésiée (par exemple, à partir de la taille) ; lorsque cela est possible, elle est préférée à l'anesthésie générale, car elle est associée à des risques moindres pour le patient.
D'autres interventions peuvent nécessiter une anesthésie générale, qui induit un état d'inconscience temporaire ; dans ce cas, pendant l'intervention, les principaux paramètres vitaux (fréquence cardiaque, tension artérielle et oxygène) seront surveillés en permanence pour vérifier l'état de santé du patient.
À notre époque, nous sommes de plus en plus enclins à retoucher toutes sortes de choses et la plupart du temps, nous n'en aurions même pas besoin. Mais qu'est-ce qui nous pousse vers une obsession de la "perfection" ?
Il faut d'abord faire une distinction. Il y a des gens qui ont effectivement (pour diverses raisons) des défauts esthétiques, et dans ce cas nous parlons de chirurgie esthétique "reconstructive". Lorsque, en revanche, on parle d'interventions esthétiques au sens strict du terme, il n'y a pas de défaut évident, et ce qui compte, c'est l'expérience de la personne, qui est celle de ne pas aimer, de ne pas être belle, et puis il y a la recherche de la modification de la partie qui est considérée comme "défectueuse", afin de revenir à l'être et au sentiment de beauté.
La fonction psychologique est donc de compenser une anxiété de ne pas se voir beau, qui peut alors aller jusqu'à refaire les lèvres, ou les seins. Souvent, ces interventions sont également nécessaires pour arrêter le temps : beaucoup de gens ont du mal à accepter la vieillesse, alors ils essaient par tous les moyens de rester jeunes, avec des effets, parfois, plus grotesques.
Source : https://www.aesthetics-ge.ch/fr/traitements/chirurgie-de-la-silhouette/lipoaspiration/