Le club anglais n'a pas tremblé une seule seconde de la partie, et a fait honneur à son statut de grand d'Europe, lui qui avait débuté l'épreuve par un nul et deux défaites. Dont celle, historique pour un club français, le 3 octobre sur sa pelouse d'Anfield (1-0). Sacrée revanche...
Face à cette machine britannique d'une redoutable efficacité dans ses transmissions de balles, l'OM, qui a pourtant retrouvé son niveau en championnat, n'a pu respirer. Cette claque fait incontestablement mal au moral d'une équipe qui avait démarré la compétition sur des bases excellentes, et qui pouvait logiquement prétendre à l'étape suivante. Ce sera donc l'UEFA...
"Passons l'hiver cool", exhortait pourtant une banderole du virage sud au coup d'envoi... Trois minutes plus tard, l'injonction n'était plus qu'un terrible voeu pieu. Steven Gerrard, sur penalty, venait en effet de mettre à terre tous ces espoirs marseillais de grande Europe, portés par un stade initialement chauffé comme jamais cette saison. Une fauchaison de Givet sur le capitaine des Reds valait sanction immédiate. Et si Mandanda repoussait la première frappe, il ne put rien sur la seconde (1-0, 3e).
Ce n'était là que le début du supplice marseillais... Car Torres, bouillant dès ses premiers ballons, doubla illico le score, après avoir mystifié côté droit Cana, puis s'être infiltré entre Rodriguez et Bonnart (2-0, 11).
Comment résister à une tel ouragan? Impossible, tout simplement. Avec des lignes extrêmement resserrées, une évidente supériorité athlétique et sa doublette d'attaquant Kuyt-Torres agissant en premiers défenseurs, Liverpool étouffait l'OM et gagnait tous les seconds ballons.
Nécessité faisant loi, Gerets lançait Nasri à la place de Cheyrou, mais Marseille ne s'en procurait pas pour autant la moindre occasion de la mi-temps malgré un regain en fin de période. Au contraire: la vista de Gerrard, son coup-franc menaçant (41) et les incursions de Torres prouvaient que le danger le plus net était bel et bien anglais.
La leçon fut totale dès la reprise. Laissant passer judicieusement une passe de Kewell, Torres surprenait la défense marseillaise qui laissait Kuyt seul face à Mandanda. Du gâteau pour le Néerlandais, et la fin des haricots pour l'OM (3-0, 48) et son public, que la rentrée de Cissé avait pourtant titillée. Mais même à 3-0, Marseille ne se procurait aucun contre digne de ce nom, pris dans la tenaille du milieu. Le constat d'échec était patent. Le public désertait les tribunes, laissant résonner l'hymne d'Anfield, "You'll never walk alone", au moment où Babel, lancé par Riise, prenait de vitesse Faty pour ridiculiser un peu plus le club français (4-0, 90+1).
Face à cette machine britannique d'une redoutable efficacité dans ses transmissions de balles, l'OM, qui a pourtant retrouvé son niveau en championnat, n'a pu respirer. Cette claque fait incontestablement mal au moral d'une équipe qui avait démarré la compétition sur des bases excellentes, et qui pouvait logiquement prétendre à l'étape suivante. Ce sera donc l'UEFA...
"Passons l'hiver cool", exhortait pourtant une banderole du virage sud au coup d'envoi... Trois minutes plus tard, l'injonction n'était plus qu'un terrible voeu pieu. Steven Gerrard, sur penalty, venait en effet de mettre à terre tous ces espoirs marseillais de grande Europe, portés par un stade initialement chauffé comme jamais cette saison. Une fauchaison de Givet sur le capitaine des Reds valait sanction immédiate. Et si Mandanda repoussait la première frappe, il ne put rien sur la seconde (1-0, 3e).
Ce n'était là que le début du supplice marseillais... Car Torres, bouillant dès ses premiers ballons, doubla illico le score, après avoir mystifié côté droit Cana, puis s'être infiltré entre Rodriguez et Bonnart (2-0, 11).
Comment résister à une tel ouragan? Impossible, tout simplement. Avec des lignes extrêmement resserrées, une évidente supériorité athlétique et sa doublette d'attaquant Kuyt-Torres agissant en premiers défenseurs, Liverpool étouffait l'OM et gagnait tous les seconds ballons.
Nécessité faisant loi, Gerets lançait Nasri à la place de Cheyrou, mais Marseille ne s'en procurait pas pour autant la moindre occasion de la mi-temps malgré un regain en fin de période. Au contraire: la vista de Gerrard, son coup-franc menaçant (41) et les incursions de Torres prouvaient que le danger le plus net était bel et bien anglais.
La leçon fut totale dès la reprise. Laissant passer judicieusement une passe de Kewell, Torres surprenait la défense marseillaise qui laissait Kuyt seul face à Mandanda. Du gâteau pour le Néerlandais, et la fin des haricots pour l'OM (3-0, 48) et son public, que la rentrée de Cissé avait pourtant titillée. Mais même à 3-0, Marseille ne se procurait aucun contre digne de ce nom, pris dans la tenaille du milieu. Le constat d'échec était patent. Le public désertait les tribunes, laissant résonner l'hymne d'Anfield, "You'll never walk alone", au moment où Babel, lancé par Riise, prenait de vitesse Faty pour ridiculiser un peu plus le club français (4-0, 90+1).
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