La séance parlementaire prévue samedi pour élire un nouveau président libanais a été reportée, pour la dixième fois, malgré les fortes pressions internationales sur la Syrie, accusée de bloquer cette élection.
Le président du Parlement, Nabih Berri, un des ténors de l'opposition soutenue par Damas et Téhéran, "a décidé de reporter la séance au 29 décembre", selon un communiqué publié vendredi soir par son bureau de presse.
Il s'agit du dixième report en moins de trois mois de l'élection présidentielle au Liban, du fait de divergences persistantes entre la majorité antisyrienne et l'opposition.
Ce report n'est pas une surprise, et l'hypothèse d'une issue au blocage d'ici la fin de l'année laisse sceptique.
"Il est improbable que l'élection se tienne avant la fin de l'année", avait estimé dans la journée auprès de l'AFP un député de la majorité antisyrienne, Elias Atallah.
Le président du Parlement, Nabih Berri, un des ténors de l'opposition soutenue par Damas et Téhéran, "a décidé de reporter la séance au 29 décembre", selon un communiqué publié vendredi soir par son bureau de presse.
Il s'agit du dixième report en moins de trois mois de l'élection présidentielle au Liban, du fait de divergences persistantes entre la majorité antisyrienne et l'opposition.
Ce report n'est pas une surprise, et l'hypothèse d'une issue au blocage d'ici la fin de l'année laisse sceptique.
"Il est improbable que l'élection se tienne avant la fin de l'année", avait estimé dans la journée auprès de l'AFP un député de la majorité antisyrienne, Elias Atallah.