M. Kouchner dînait avec des amis dans un restaurant de poissons de la capitale libanaise quand il a décidé de se joindre à une fête de mariage qui se déroulait tout près et où il est resté près de vingt minutes, a rapporté un de ses proches.
Un grand sourire aux lèvres, M. Kouchner est apparu sur une photo publiée dans le quotidien local as-Safir, applaudissant la mariée qui dansait devant près de 500 invités ravis.
"C'est un bon vivant. Il était très content de passer un bon moment au mariage", a confié à l'AFP Kamel Mohanna, un ami intime de M. Kouchner avec qui il dînait et qui connaissait les mariés.
M. Kouchner a également suscité l'étonnement samedi au cours d'une conférence de presse tenue avec ses homologues espagnol et italien, Miguel Angel Moratinos et Massimo D'Alema, au siège du commandement de la Force intérimaire des Nations unies au Liban (Finul) à Naqoura (sud).
Il a débuté son allocution en parlant d'oiseaux : avec M. Moratinos, "nous étions en train de parler des oiseaux là-bas, des oiseaux qui cherchent un refuge. Nous ne savions pas s'il s'agissait de cigognes ou de pélicans, mais cela est un très bon signe, un signe très symbolique", a-t-il déclaré en anglais.
Les trois ministres sont en visite au Liban pour tenter de mettre fin à la crise politique qui bloque la tenue de l'élection présidentielle dans le pays.
Un grand sourire aux lèvres, M. Kouchner est apparu sur une photo publiée dans le quotidien local as-Safir, applaudissant la mariée qui dansait devant près de 500 invités ravis.
"C'est un bon vivant. Il était très content de passer un bon moment au mariage", a confié à l'AFP Kamel Mohanna, un ami intime de M. Kouchner avec qui il dînait et qui connaissait les mariés.
M. Kouchner a également suscité l'étonnement samedi au cours d'une conférence de presse tenue avec ses homologues espagnol et italien, Miguel Angel Moratinos et Massimo D'Alema, au siège du commandement de la Force intérimaire des Nations unies au Liban (Finul) à Naqoura (sud).
Il a débuté son allocution en parlant d'oiseaux : avec M. Moratinos, "nous étions en train de parler des oiseaux là-bas, des oiseaux qui cherchent un refuge. Nous ne savions pas s'il s'agissait de cigognes ou de pélicans, mais cela est un très bon signe, un signe très symbolique", a-t-il déclaré en anglais.
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