Selon le chef de la Commission d'enquête indépendante sur l'assassinat de l'ancien Premier ministre libanais, Rafic Hariri, le 14 février dernier à Beyrouth, trois anciens chefs des services de renseignements et de sécurité du Liban ont été identifiés comme suspects et arrêtés.
« Trois anciens chefs des services de renseignements et de sécurité du Liban, le général de brigade Raymond Azar, le général-major Jameel al-Sayeed et Ali al-Hajj et un ancien parlementaire, Nasser Kandil figurent parmi les suspects » dans l'enquête sur l'assassinat de Rafic Hariri, menée par Detlev Mehlis, a indiqué aujourd'hui la porte-parole du Secrétaire général, lors d'un point avec la presse au siège de l'ONU.
« Ce matin, sur ordre du commissaire Mehlis et avec la pleine coopération des forces de police libanaises, les domiciles et les bureaux des trois suspects ont été perquisitionnés », a ajouté la porte-parole.
« À l'exception de Nasser Kandil qui se trouve en Syrie, les suspects subissent un interrogatoire. Le général Mustafa Hamdan qui, auparavant, avait été identifié comme suspect, a reçu l'ordre de subir un deuxième interrogatoire », a-t-elle précisé.
« Les membres du Conseil se félicitent de tout progrès dans le travail de la commission d'enquête et espèrent que son rapport final établira solidement les faits », a déclaré aujourd'hui à la presse l'ambassadeur du Japon Kenzo Oshima et président du Conseil de sécurité pour le mois d'août, à l'issue de consultations à huis clos.
« Le Conseil réitère son appel à la communauté internationale à coopérer pleinement avec la Commission », a ajouté son président.
Le magistrat allemand Detlev Mehlis donnera une conférence de presse jeudi à Beyrouth, a-t-il par ailleurs annoncé.
Le Conseil a entendu aujourd'hui en séance privée un rapport du Secrétaire général adjoint aux affaires politiques, Ibrahim Gambari, sur les derniers développements de l'enquête.
Le 25 août dernier, dans une déclaration à la presse, les membres du Conseil avaient réitéré leur appel à tous les Etats, de coopérer pleinement avec la Commission d'enquête internationale, sans toutefois nommer la Syrie.
Le même jour, lors de déclarations à la presse, les Etats-Unis et la France avaient demandé explicitement à la Syrie de coopérer « activement » et « de toute urgence » avec la Commission .
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« Trois anciens chefs des services de renseignements et de sécurité du Liban, le général de brigade Raymond Azar, le général-major Jameel al-Sayeed et Ali al-Hajj et un ancien parlementaire, Nasser Kandil figurent parmi les suspects » dans l'enquête sur l'assassinat de Rafic Hariri, menée par Detlev Mehlis, a indiqué aujourd'hui la porte-parole du Secrétaire général, lors d'un point avec la presse au siège de l'ONU.
« Ce matin, sur ordre du commissaire Mehlis et avec la pleine coopération des forces de police libanaises, les domiciles et les bureaux des trois suspects ont été perquisitionnés », a ajouté la porte-parole.
« À l'exception de Nasser Kandil qui se trouve en Syrie, les suspects subissent un interrogatoire. Le général Mustafa Hamdan qui, auparavant, avait été identifié comme suspect, a reçu l'ordre de subir un deuxième interrogatoire », a-t-elle précisé.
« Les membres du Conseil se félicitent de tout progrès dans le travail de la commission d'enquête et espèrent que son rapport final établira solidement les faits », a déclaré aujourd'hui à la presse l'ambassadeur du Japon Kenzo Oshima et président du Conseil de sécurité pour le mois d'août, à l'issue de consultations à huis clos.
« Le Conseil réitère son appel à la communauté internationale à coopérer pleinement avec la Commission », a ajouté son président.
Le magistrat allemand Detlev Mehlis donnera une conférence de presse jeudi à Beyrouth, a-t-il par ailleurs annoncé.
Le Conseil a entendu aujourd'hui en séance privée un rapport du Secrétaire général adjoint aux affaires politiques, Ibrahim Gambari, sur les derniers développements de l'enquête.
Le 25 août dernier, dans une déclaration à la presse, les membres du Conseil avaient réitéré leur appel à tous les Etats, de coopérer pleinement avec la Commission d'enquête internationale, sans toutefois nommer la Syrie.
Le même jour, lors de déclarations à la presse, les Etats-Unis et la France avaient demandé explicitement à la Syrie de coopérer « activement » et « de toute urgence » avec la Commission .
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