L'UA a souligné que Nouakchott prenait désormais des mesures destinées à rétablir la démocratie. La décision de lever les sanctions à l'encontre du pays a été prise hier mardi.
En dépit de son renversement en août dernier, le président déchu Sidi Cheikh Ould Abdallahi maintenait qu'il était légalement le chef de l'Etat. Il a démissionné fin juin dans le cadre d'un accord de sortie de crise prévoyant la désignation d'un gouvernement d'union nationale. Et un nouveau scrutin est désormais fixé au 18 juillet pour désigner un nouveau dirigeant.
A la suite du coup d'Etat, l'UA avait décidé de suspendre de ses instances la Mauritanie, forte de quelque trois millions d'habitants, et d'imposer des interdictions en matière de déplacements.
Source: Associated Presse via Yahoo News
En dépit de son renversement en août dernier, le président déchu Sidi Cheikh Ould Abdallahi maintenait qu'il était légalement le chef de l'Etat. Il a démissionné fin juin dans le cadre d'un accord de sortie de crise prévoyant la désignation d'un gouvernement d'union nationale. Et un nouveau scrutin est désormais fixé au 18 juillet pour désigner un nouveau dirigeant.
A la suite du coup d'Etat, l'UA avait décidé de suspendre de ses instances la Mauritanie, forte de quelque trois millions d'habitants, et d'imposer des interdictions en matière de déplacements.
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