Une "nouvelle page" s'ouvre pour l'Iran avec la levée des sanctions
"Quelques heures après l'entrée en vigueur de l'accord, plus de 1.000 lignes de crédits ont été ouvertes par différentes banques (étrangères), ce qui montre que les sceptiques avaient tous tort", a dit ensuite M. Rohani lors d'une conférence de presse, ajoutant que son pays était prêt à accepter "tout investissement des sociétés américaines". Les sanctions de l'ONU, des Etats-Unis et de l'Union européenne ont asphyxié l'économie de cette puissance régionale membre de l'Opep, qui dispose des quatrièmes réserves de brut au monde et des deuxièmes de gaz. (challenges.fr)
L'Iran salue une "page en or" avec la levée des sanctions
Quelques heures avant l'annonce officielle de la levée de sanctions, Téhéran avait annoncé samedi la libération de cinq Américains dans le cadre d'un échange de prisonniers avec les Etats-Unis. Trois des Américains libérés ont quitté dimanche Téhéran à bord d'un avion suisse. Il s'agit du journaliste Jason Rezaian, chef du bureau du Washington Post à Téhéran, du pasteur Saeed Abedini et de l'ancien "marine" Amir Hekmati. Un quatrième prisonnier libéré, Nosratollah Khosravi-Roodsari, n'était pas dans l'avion. On ignore s'il a décidé de rester en Iran ou de partir séparément. "Tous ceux qui désiraient partir l'ont fait", a déclaré le département d'Etat américain dans un communiqué. En échange, Washington a annoncé la libération de sept Iraniens, dont six ont aussi la nationalité américaine, arrêtés aux Etats-Unis pour avoir violé les sanctions qui frappaient la République islamique. (Reuters)
Iran : sanctions levées et entrée en vigueur de l'accord sur le nucléaire
«C’est une étape majeure qui reflète l’effort accompli de bonne foi par toutes les parties afin de remplir les engagements sur lesquels elles se sont entendues» a salué le secrétaire général des Nations Unies Ban Ki-moon. Une «importante étape» qui rend «le monde plus sûr» s'est félicité Philip Hammond le ministre britannique des affaires étrangères. «Aujourd'hui nous pouvons parler d'un succès historique de la diplomatie», a renchérit son homologue Allemand Frank-Walter Steinmeier. (liberation.fr)
"Quelques heures après l'entrée en vigueur de l'accord, plus de 1.000 lignes de crédits ont été ouvertes par différentes banques (étrangères), ce qui montre que les sceptiques avaient tous tort", a dit ensuite M. Rohani lors d'une conférence de presse, ajoutant que son pays était prêt à accepter "tout investissement des sociétés américaines". Les sanctions de l'ONU, des Etats-Unis et de l'Union européenne ont asphyxié l'économie de cette puissance régionale membre de l'Opep, qui dispose des quatrièmes réserves de brut au monde et des deuxièmes de gaz. (challenges.fr)
L'Iran salue une "page en or" avec la levée des sanctions
Quelques heures avant l'annonce officielle de la levée de sanctions, Téhéran avait annoncé samedi la libération de cinq Américains dans le cadre d'un échange de prisonniers avec les Etats-Unis. Trois des Américains libérés ont quitté dimanche Téhéran à bord d'un avion suisse. Il s'agit du journaliste Jason Rezaian, chef du bureau du Washington Post à Téhéran, du pasteur Saeed Abedini et de l'ancien "marine" Amir Hekmati. Un quatrième prisonnier libéré, Nosratollah Khosravi-Roodsari, n'était pas dans l'avion. On ignore s'il a décidé de rester en Iran ou de partir séparément. "Tous ceux qui désiraient partir l'ont fait", a déclaré le département d'Etat américain dans un communiqué. En échange, Washington a annoncé la libération de sept Iraniens, dont six ont aussi la nationalité américaine, arrêtés aux Etats-Unis pour avoir violé les sanctions qui frappaient la République islamique. (Reuters)
Iran : sanctions levées et entrée en vigueur de l'accord sur le nucléaire
«C’est une étape majeure qui reflète l’effort accompli de bonne foi par toutes les parties afin de remplir les engagements sur lesquels elles se sont entendues» a salué le secrétaire général des Nations Unies Ban Ki-moon. Une «importante étape» qui rend «le monde plus sûr» s'est félicité Philip Hammond le ministre britannique des affaires étrangères. «Aujourd'hui nous pouvons parler d'un succès historique de la diplomatie», a renchérit son homologue Allemand Frank-Walter Steinmeier. (liberation.fr)
A lire également: