L'enquête sur les menaces de mort adressées au chef de l'Etat et à différentes personnalités politiques de droite ces dernières semaines marque le pas.
M. Blanc, ancien président de la Région Languedoc-Roussillon, en avait déjà reçu une le 27 février mais contenant une balle de calibre de 9mm. Ce second courrier a été expédié à la mairie de La Canourgue, dont M. Blanc est le premier magistrat.
Un homme de 47 ans interpellé mercredi à Montpellier a été remis en liberté dans la soirée de jeudi, "aucune charge ne pouvant lui être imputé", selon une source judiciaire. Ce militaire de réserve a formellement contesté être l'auteur de ces lettres de menaces. Il avait été dénoncé par son ex-compagne qui pensait trouver des similitudes entre les propos des courriers et ceux de son ex-compagnon. Les expertises ADN effectués par les enquêteurs n'ont rien donné.
Nicolas Sarkozy ainsi que plusieurs élus et ministres UMP, dont Rachida Dati et Michèle Alliot-Marie, ont reçu au cours des dernières semaines un courrier anonyme les menaçant de mort, accompagné d'une balle de calibre 38 (9mm). Celui adressé le 9 février au président de la République, qui en a reçu deux, contenait une balle de calibre 44.
Au moins dix noms de personnalités politiques -qualifiées de "morts en sursis"- sont destinataires ou cités dans ces courriers, dont huit au moins l'ont reçu: le sénateur-maire UMP de Béziers (Hérault) Raymond Couderc, M. Sarkozy, M. Blanc, les ministres Michèle Alliot-Marie (Intérieur), Rachida Dati (Justice) et Christine Albanel (Culture), le maire de Bordeaux Alain Juppé et le député UMP du Nord, Christian Vanneste, ainsi que Nonce Paolini. Le texte est signé "Les 1000 combattants" et "Cellule 34". Tous les courriers ont été postés dans l'Hérault. A ce jour, plus d'une dizaine de lettres ont été adressées.
Source: Yahoo News
M. Blanc, ancien président de la Région Languedoc-Roussillon, en avait déjà reçu une le 27 février mais contenant une balle de calibre de 9mm. Ce second courrier a été expédié à la mairie de La Canourgue, dont M. Blanc est le premier magistrat.
Un homme de 47 ans interpellé mercredi à Montpellier a été remis en liberté dans la soirée de jeudi, "aucune charge ne pouvant lui être imputé", selon une source judiciaire. Ce militaire de réserve a formellement contesté être l'auteur de ces lettres de menaces. Il avait été dénoncé par son ex-compagne qui pensait trouver des similitudes entre les propos des courriers et ceux de son ex-compagnon. Les expertises ADN effectués par les enquêteurs n'ont rien donné.
Nicolas Sarkozy ainsi que plusieurs élus et ministres UMP, dont Rachida Dati et Michèle Alliot-Marie, ont reçu au cours des dernières semaines un courrier anonyme les menaçant de mort, accompagné d'une balle de calibre 38 (9mm). Celui adressé le 9 février au président de la République, qui en a reçu deux, contenait une balle de calibre 44.
Au moins dix noms de personnalités politiques -qualifiées de "morts en sursis"- sont destinataires ou cités dans ces courriers, dont huit au moins l'ont reçu: le sénateur-maire UMP de Béziers (Hérault) Raymond Couderc, M. Sarkozy, M. Blanc, les ministres Michèle Alliot-Marie (Intérieur), Rachida Dati (Justice) et Christine Albanel (Culture), le maire de Bordeaux Alain Juppé et le député UMP du Nord, Christian Vanneste, ainsi que Nonce Paolini. Le texte est signé "Les 1000 combattants" et "Cellule 34". Tous les courriers ont été postés dans l'Hérault. A ce jour, plus d'une dizaine de lettres ont été adressées.
Source: Yahoo News
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