Heurts entre supporters polonais et russes à l'Euro
Des affrontements se sont produits mardi entre des groupes de supporters polonais et russes quelques heures avant le début du match qui devait opposer la Pologne à la Russie dans le Groupe A de l'Euro à Varsovie. Les unités de la police polonaise anti-émeutes ont tiré des grenades de gaz lacrymogène et des balles en caoutchouc et ont fait usage de canons à eau après avoir essuyé des jets de pierres, de bouteilles et d'autres objets. La télévision locale a montré le corps d'un homme gisant sans connaissance tandis que des groupes de jeunes gens, dont certains avaient le visage masqué, s'en prenaient aux forces de l'ordre. Une centaine de personnes ont été interpellées et dix autres, principalement des Polonais, ont été soignées pour des blessures diverses. La vie d'aucun blessé n'est en danger. Les autorités polonaises, qui avaient lancé un appel au calme lundi, s'étaient préparées à des violences alors que les relations entre les deux pays restent marquées par d'anciens conflits militaires et par le souvenir de la domination soviétique après la Seconde guerre mondiale.(fr.reuters.com) Comme d'habitude on ne sait toujours pas pourquoi tant de haine.
Les rebelles syriens se retirent de Haffeh
Les rebelles de l'armée syrienne libre (ASL) se retiraient mardi soir de la ville sunnite de Haffeh, dans l'ouest de la Syrie, assiégée par les forces gouvernementales depuis une semaine, annonce un porte-parole des insurgés. "Les intenses bombardements d'artillerie ont forcé les 200 rebelles encore présents à Haffeh à partir. Il y a plusieurs milliers de civils qui se retrouvent sans protection face aux milices alaouites qui encerclent la ville", a déclaré Selim al Omar joint par téléphone à Lattaquié, à une trentaine de km à l'ouest de Haffeh. Les rebelles encerclés depuis une semaine par l'armée syrienne dans Haffeh ont déclaré un peu plus tôt mardi avoir de plus en plus de difficultés à évacuer les civils pris sous les bombardements.(fr.reuters.com) Pourquoi cette retraite soudaine?
Tunisie: couvre-feu après les violences impliquant des salafistes
Les ministères de la Défense et de l'Intérieur ont annoncé un couvre-feu nocturne dans huit régions tunisiennes. A Tunis et dans plusieurs autre villes, des postes de police, des sièges syndicaux et des partis politiques ont été attaqués par des groupes mêlant membres de la mouvance salafiste et casseurs. Un couvre-feu nocturne de 21h00 à 05h00 du matin a été décrété mardi dans huit régions tunisiennes, dont la capitale Tunis, après des violences impliquant des salafistes et des casseurs lundi et mardi dans plusieurs endroits du pays. Le couvre-feu est décrété pour le "Grand Tunis" (qui comporte quatre gouvernorats) et les gouvernorats de Sousse (est), Monastir (est), Jendouba (nord-ouest), et Medenine (sud), selon un communiqué des ministères de la Défense et de l'Intérieur. Plusieurs localités, outre la capitale, ont été le théâtre lundi et mardi d'attaques de postes de police, de sièges syndicaux et de partis politiques, et d'un tribunal par des groupes mêlant membres de la mouvance salafiste et casseurs. Les violences sont apparemment liées à une exposition à La Marsa (banlieue nord de Tunis) qui s'est tenue du 2 au 10 juin, et dont des oeuvres ont été jugées offensantes pour l'islam.(l'express.fr) Guerre civile ?
Source: Yahoo actualités
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Des affrontements se sont produits mardi entre des groupes de supporters polonais et russes quelques heures avant le début du match qui devait opposer la Pologne à la Russie dans le Groupe A de l'Euro à Varsovie. Les unités de la police polonaise anti-émeutes ont tiré des grenades de gaz lacrymogène et des balles en caoutchouc et ont fait usage de canons à eau après avoir essuyé des jets de pierres, de bouteilles et d'autres objets. La télévision locale a montré le corps d'un homme gisant sans connaissance tandis que des groupes de jeunes gens, dont certains avaient le visage masqué, s'en prenaient aux forces de l'ordre. Une centaine de personnes ont été interpellées et dix autres, principalement des Polonais, ont été soignées pour des blessures diverses. La vie d'aucun blessé n'est en danger. Les autorités polonaises, qui avaient lancé un appel au calme lundi, s'étaient préparées à des violences alors que les relations entre les deux pays restent marquées par d'anciens conflits militaires et par le souvenir de la domination soviétique après la Seconde guerre mondiale.(fr.reuters.com) Comme d'habitude on ne sait toujours pas pourquoi tant de haine.
Les rebelles syriens se retirent de Haffeh
Les rebelles de l'armée syrienne libre (ASL) se retiraient mardi soir de la ville sunnite de Haffeh, dans l'ouest de la Syrie, assiégée par les forces gouvernementales depuis une semaine, annonce un porte-parole des insurgés. "Les intenses bombardements d'artillerie ont forcé les 200 rebelles encore présents à Haffeh à partir. Il y a plusieurs milliers de civils qui se retrouvent sans protection face aux milices alaouites qui encerclent la ville", a déclaré Selim al Omar joint par téléphone à Lattaquié, à une trentaine de km à l'ouest de Haffeh. Les rebelles encerclés depuis une semaine par l'armée syrienne dans Haffeh ont déclaré un peu plus tôt mardi avoir de plus en plus de difficultés à évacuer les civils pris sous les bombardements.(fr.reuters.com) Pourquoi cette retraite soudaine?
Tunisie: couvre-feu après les violences impliquant des salafistes
Les ministères de la Défense et de l'Intérieur ont annoncé un couvre-feu nocturne dans huit régions tunisiennes. A Tunis et dans plusieurs autre villes, des postes de police, des sièges syndicaux et des partis politiques ont été attaqués par des groupes mêlant membres de la mouvance salafiste et casseurs. Un couvre-feu nocturne de 21h00 à 05h00 du matin a été décrété mardi dans huit régions tunisiennes, dont la capitale Tunis, après des violences impliquant des salafistes et des casseurs lundi et mardi dans plusieurs endroits du pays. Le couvre-feu est décrété pour le "Grand Tunis" (qui comporte quatre gouvernorats) et les gouvernorats de Sousse (est), Monastir (est), Jendouba (nord-ouest), et Medenine (sud), selon un communiqué des ministères de la Défense et de l'Intérieur. Plusieurs localités, outre la capitale, ont été le théâtre lundi et mardi d'attaques de postes de police, de sièges syndicaux et de partis politiques, et d'un tribunal par des groupes mêlant membres de la mouvance salafiste et casseurs. Les violences sont apparemment liées à une exposition à La Marsa (banlieue nord de Tunis) qui s'est tenue du 2 au 10 juin, et dont des oeuvres ont été jugées offensantes pour l'islam.(l'express.fr) Guerre civile ?
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