Le FNAR, jusqu’alors inconnu, réclame des milliers d’euros à l’Etat pour cesser de détruire des radars. L’antiterrorisme enquête.
Ces personnes seraient à l’origine de la destruction par explosif de six radars automatiques. Un septième a été visé mardi sur la Francilienne, à la hauteur de Baillet-en-France. La première tentative de destruction signalée remonte au mois d’avril : une charge explosive avait été découverte sur un radar près de Senlis, dans l’Oise. Le même appareil avait finalement été éventré le 6 juin par une autre charge. D’autres actions ont eu lieu dans les Yvelines. Le FNAR a revendiqué ces attaques, photos à l’appui, dans un courrier adressé en octobre au ministère de l’Intérieur, selon RTL.
Dans cette lettre, le FNAR réclame des milliers d’euros à l’Etat pour cesser sa campagne de destruction et reprend des thèses anarchistes contestant le pouvoir de « l’Etat propriétaire ». Ils demandent aussi un «abaissement de la fiscalité» et «moins de répression».L’antiterrorisme français s’est saisi du dossier depuis plusieurs mois, et explore une piste politique selon RTL.
Le courrier a en effet rappelé les mauvais souvenirs du groupe AZF, qui menaçait en 2004 le réseau ferroviaire français. Même si les ambitions destructrices du FNAR semblent moindre, la menace est donc prise au sérieux.
Source: http://www.lefigaro.fr
Ces personnes seraient à l’origine de la destruction par explosif de six radars automatiques. Un septième a été visé mardi sur la Francilienne, à la hauteur de Baillet-en-France. La première tentative de destruction signalée remonte au mois d’avril : une charge explosive avait été découverte sur un radar près de Senlis, dans l’Oise. Le même appareil avait finalement été éventré le 6 juin par une autre charge. D’autres actions ont eu lieu dans les Yvelines. Le FNAR a revendiqué ces attaques, photos à l’appui, dans un courrier adressé en octobre au ministère de l’Intérieur, selon RTL.
Dans cette lettre, le FNAR réclame des milliers d’euros à l’Etat pour cesser sa campagne de destruction et reprend des thèses anarchistes contestant le pouvoir de « l’Etat propriétaire ». Ils demandent aussi un «abaissement de la fiscalité» et «moins de répression».L’antiterrorisme français s’est saisi du dossier depuis plusieurs mois, et explore une piste politique selon RTL.
Le courrier a en effet rappelé les mauvais souvenirs du groupe AZF, qui menaçait en 2004 le réseau ferroviaire français. Même si les ambitions destructrices du FNAR semblent moindre, la menace est donc prise au sérieux.
Source: http://www.lefigaro.fr
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