Munies d'une banderole où l'on pouvait lire "Non à la privatisation", quelques dizaines de personnes ont manifesté devant le ministère de l'Economie contre une réforme qu'ils considèrent comme une menace pour l'entreprise publique.
Le Parti socialiste a souligné de son côté que ce dossier constituerait l'une de ses priorités de la rentrée.
"L'avenir de La Poste concerne la nation et le débat ne saurait être confisqué; le Parti socialiste réitère sa demande de référendum", écrit dans un communiqué le secrétaire national aux services publics, Razzy Hammadi.
Dans l'éventualité où Nicolas Sarkozy refuserait ce référendum, certains membres du PS, dont Laurent Fabius, souhaiteraient la tenue d'un référendum d'initiative populaire.
La révision constitutionnelle de 2008 a ouvert la voie à cette possibilité mais la loi organique l'instituant n'a pas encore été votée.
A défaut, "une consultation nationale citoyenne" organisée par les opposants devrait avoir lieu le 3 octobre.
L'opposition considère que le débat sur la transformation de La Poste en société anonyme n'a pas eu lieu. Pour Razzy Hammadi, ni le financement de la modernisation de l'entreprise, ni les directives européennes n'imposent le changement de statut.
Depuis un an, l'opposition des Français au projet s'est affirmée, estime le PS, conforté par les sondages. Un Comité national contre la privatisation de La Poste, qui demande un débat public et un référendum, revendique 38 comités locaux.
Le texte est présenté par le gouvernement comme un passage obligé en vue de l'ouverture totale du marché postal européen à la concurrence en janvier 2011. Il est soutenu par la direction de l'entreprise publique.
Le projet, présenté lors du dernier conseil des ministres avant les vacances gouvernementales, devrait reprendre les missions de service public de la société.
Parmi celles-ci, l'obligation de lever et distribuer le courrier sur tout le territoire au même tarif six jours sur sept, la couverture homogène du pays en agences ou la possibilité pour les particuliers d'ouvrir un compte bancaire sans discrimination.
Les syndicats, tous opposés au texte actuel, demandent que le financement des nombreuses missions de service public soit assuré et que les statuts des employés, qu'ils soient fonctionnaires ou contractuels, soient maintenus.
Source: Reuters via Yahoo News
Le Parti socialiste a souligné de son côté que ce dossier constituerait l'une de ses priorités de la rentrée.
"L'avenir de La Poste concerne la nation et le débat ne saurait être confisqué; le Parti socialiste réitère sa demande de référendum", écrit dans un communiqué le secrétaire national aux services publics, Razzy Hammadi.
Dans l'éventualité où Nicolas Sarkozy refuserait ce référendum, certains membres du PS, dont Laurent Fabius, souhaiteraient la tenue d'un référendum d'initiative populaire.
La révision constitutionnelle de 2008 a ouvert la voie à cette possibilité mais la loi organique l'instituant n'a pas encore été votée.
A défaut, "une consultation nationale citoyenne" organisée par les opposants devrait avoir lieu le 3 octobre.
L'opposition considère que le débat sur la transformation de La Poste en société anonyme n'a pas eu lieu. Pour Razzy Hammadi, ni le financement de la modernisation de l'entreprise, ni les directives européennes n'imposent le changement de statut.
Depuis un an, l'opposition des Français au projet s'est affirmée, estime le PS, conforté par les sondages. Un Comité national contre la privatisation de La Poste, qui demande un débat public et un référendum, revendique 38 comités locaux.
Le texte est présenté par le gouvernement comme un passage obligé en vue de l'ouverture totale du marché postal européen à la concurrence en janvier 2011. Il est soutenu par la direction de l'entreprise publique.
Le projet, présenté lors du dernier conseil des ministres avant les vacances gouvernementales, devrait reprendre les missions de service public de la société.
Parmi celles-ci, l'obligation de lever et distribuer le courrier sur tout le territoire au même tarif six jours sur sept, la couverture homogène du pays en agences ou la possibilité pour les particuliers d'ouvrir un compte bancaire sans discrimination.
Les syndicats, tous opposés au texte actuel, demandent que le financement des nombreuses missions de service public soit assuré et que les statuts des employés, qu'ils soient fonctionnaires ou contractuels, soient maintenus.
Source: Reuters via Yahoo News
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