Dans une communication rendue publique mercredi, le ministère du Travail leur demande de mettre au point un Plan de continuité d'activité (PCA).
Il envisage le recours à des mesures extrêmes sur le plan du droit du travail, comme le rappel des retraités ou la "modification des plages d'ouverture".
Une circulaire de la Direction générale du travail diffusée le 3 juillet préconisait déjà une série de mesures. "Il en va de la survie de l'économie nationale", lit-on dans ce document publié par plusieurs médias.
Cette circulaire décrivait les possibles modifications profondes et exceptionnelles des conditions de travail des salariés, nouveaux horaires, aménagements de postes et des lieux de travail, polyvalence pour remplacer les absents.
La France, où le niveau d'alerte est actuellement fixé à 5A, comptabilisait le 28 juillet 1.022 cas confirmés et probables de grippe A(H1N1), selon l'Institut national de veille sanitaire.
Quatre personnes sont hospitalisées dans des états décrits comme "graves" par l'institut. Il n'y pas eu de décès à ce jour.
"La pandémie grippale peut toucher une personne sur trois, entraîner un taux d'absentéisme très important qui désorganise la vie économique", écrit le ministère.
Il demande aux entreprises de constituer des stocks de masques et d'instaurer des mesures d'hygiène renforcées.
Il faut, dit-il, "envisager la modification des plages d'ouverture ou d'activités", "recourir si nécessaire à du personnel extérieur (intérimaires, prêt de main-d'oeuvre entre entreprises, retraités...), envisager le télétravail".
Mardi, la ministre de la Santé Roselyne Bachelot avait déclaré que le niveau 6 d'alerte à la grippe A (H1N1) pourrait être décrété en France à la rentrée de septembre.
Le syndicat patronal CGPME recommande à ses adhérents, dans une communication publiée mercredi, de constituer des stocks supplémentaires pour faire face aux éventuelles pénuries d'approvisionnement. Il leur demande de refuser la participation à des congrès ou séminaires et d'acquérir les équipements nécessaires au télétravail.
Source: Reuters via Yahoo News
Il envisage le recours à des mesures extrêmes sur le plan du droit du travail, comme le rappel des retraités ou la "modification des plages d'ouverture".
Une circulaire de la Direction générale du travail diffusée le 3 juillet préconisait déjà une série de mesures. "Il en va de la survie de l'économie nationale", lit-on dans ce document publié par plusieurs médias.
Cette circulaire décrivait les possibles modifications profondes et exceptionnelles des conditions de travail des salariés, nouveaux horaires, aménagements de postes et des lieux de travail, polyvalence pour remplacer les absents.
La France, où le niveau d'alerte est actuellement fixé à 5A, comptabilisait le 28 juillet 1.022 cas confirmés et probables de grippe A(H1N1), selon l'Institut national de veille sanitaire.
Quatre personnes sont hospitalisées dans des états décrits comme "graves" par l'institut. Il n'y pas eu de décès à ce jour.
"La pandémie grippale peut toucher une personne sur trois, entraîner un taux d'absentéisme très important qui désorganise la vie économique", écrit le ministère.
Il demande aux entreprises de constituer des stocks de masques et d'instaurer des mesures d'hygiène renforcées.
Il faut, dit-il, "envisager la modification des plages d'ouverture ou d'activités", "recourir si nécessaire à du personnel extérieur (intérimaires, prêt de main-d'oeuvre entre entreprises, retraités...), envisager le télétravail".
Mardi, la ministre de la Santé Roselyne Bachelot avait déclaré que le niveau 6 d'alerte à la grippe A (H1N1) pourrait être décrété en France à la rentrée de septembre.
Le syndicat patronal CGPME recommande à ses adhérents, dans une communication publiée mercredi, de constituer des stocks supplémentaires pour faire face aux éventuelles pénuries d'approvisionnement. Il leur demande de refuser la participation à des congrès ou séminaires et d'acquérir les équipements nécessaires au télétravail.
Source: Reuters via Yahoo News