Les libéraux de Djibril confirment leur avance en Libye
La victoire de la coalition libérale de l'ancien Premier ministre Mahmoud Djibril aux élections législatives libyennes de samedi se confirme mais les islamistes tentent de renforcer leur présence dans la future assemblée en s'appuyant sur les candidats indépendants. Selon des résultats partiels, l'Alliance des forces nationale (AFN) de Djibril se dirige vers une victoire écrasante à Benghazi, la deuxième ville du pays et foyer de la révolution contre Mouammar Kadhafi. Elle y obtiendrait 95.733 voix contre 16.143 au Parti de la Justice et de la Reconstruction (PJR), la branche politique des Frères musulmans. Elle l'emporterait aussi dans les régions de Tobrouk et de Derna, également dans l'est du pays et qui étaient pourtant considérées comme des bastions des mouvements islamistes. L'AFN devrait également s'imposer à Sebha, la capitale du Fezzan, dans le Sud désertique. Le PJR est en tête à Chati, dans le centre du pays, l'une des rares villes où l'AFN ne se présentait pas. Les observateurs internationaux ont présenté comme un succès ce scrutin, les premières élections libres depuis soixante ans en Libye, même s'ils n'ont pu se rendre dans le Sud en proie à des rivalités tribales.(fr.reuters.com) Voilà au moins un pays magrébin ou il n'y aura pas d'islamiste.
Grèce : deux privatisations réalisées en 2012
Compte tenu des mois de retard pris dans son programme de privatisations, la Grèce ne pourra céder cette année que deux biens : sa loterie et l'ex-centre international de presse olympique, a indiqué le responsable des privatisations. Ces ventes ont pour visée d'alléger la dette. L'Etat grec restera ainsi loin de l'objectif de trois milliards d'euros de recettes qu'il s'était fixé pour cette année avec notamment la cession de ses parts dans la société de paris sportifs OPAP et dans le pétrolier Hellenic Petroleum, troisième et quatrième sociétés cotées en Grèce en termes de capitalisation boursière. Ces privatisations sont remises à l'année prochaine, a dit le directeur de l'agence grecque chargée des privatisations, Costas Mitropoulos.(lemonde.fr) Selon la politique actuel du gouvernement, ce n'est pas trop mal. Mais privatisation reste privatisation.
Roumanie : derrière la destitution du président, la crainte d'une dérive du pouvoir
Coup d'Etat déguisé, dérive démocratique ou simple jeu de l'alternance ? La Roumanie dont le président de la république est menacé de destitution après une procédure lancée par ses opposants au pouvoir , suscite l'inquiétude de l'Union européenne, qui scrute d'un oeil vigilant la crise politique qui s'y déroule depuis quelques mois. Car derrière la procédure légale de destitution, les soupçons se portent sur les intentions du nouveau gouvernement quant à l'indépendance de la justice, dans un pays où les vieux démons de la corruption ne se sont pas encore évanouis. UN PRÉSIDENT DESTITUÉ. La coalition de centre-gauche, l'Union sociale-libérale (USL), a attaqué fin-avril le parti de centre-droit du président Traian Basescu par une mention de censure. Le leader du Parti social-démocrate (PSD), Victor Ponta, a alors pris les rênes du gouvernement, ouvrant la voie à une épineuse cohabitation.Le Parlement, dominé par la même coalition, a ensuite voté, le 6 juillet, pour la destitution du président Basescu, au pouvoir depuis 2004 et qui devait achever son second mandat en 2014. En Roumanie, le président peut être destitué 's'il commet des faits graves violant les dispositions de la Constitution', selon l'article 95 de la Loi fondamentale.(lemonde.fr) Et l'Union Européenne avec sa grande fédération, que fait-elle?
Source: Yahoo actualités
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La victoire de la coalition libérale de l'ancien Premier ministre Mahmoud Djibril aux élections législatives libyennes de samedi se confirme mais les islamistes tentent de renforcer leur présence dans la future assemblée en s'appuyant sur les candidats indépendants. Selon des résultats partiels, l'Alliance des forces nationale (AFN) de Djibril se dirige vers une victoire écrasante à Benghazi, la deuxième ville du pays et foyer de la révolution contre Mouammar Kadhafi. Elle y obtiendrait 95.733 voix contre 16.143 au Parti de la Justice et de la Reconstruction (PJR), la branche politique des Frères musulmans. Elle l'emporterait aussi dans les régions de Tobrouk et de Derna, également dans l'est du pays et qui étaient pourtant considérées comme des bastions des mouvements islamistes. L'AFN devrait également s'imposer à Sebha, la capitale du Fezzan, dans le Sud désertique. Le PJR est en tête à Chati, dans le centre du pays, l'une des rares villes où l'AFN ne se présentait pas. Les observateurs internationaux ont présenté comme un succès ce scrutin, les premières élections libres depuis soixante ans en Libye, même s'ils n'ont pu se rendre dans le Sud en proie à des rivalités tribales.(fr.reuters.com) Voilà au moins un pays magrébin ou il n'y aura pas d'islamiste.
Grèce : deux privatisations réalisées en 2012
Compte tenu des mois de retard pris dans son programme de privatisations, la Grèce ne pourra céder cette année que deux biens : sa loterie et l'ex-centre international de presse olympique, a indiqué le responsable des privatisations. Ces ventes ont pour visée d'alléger la dette. L'Etat grec restera ainsi loin de l'objectif de trois milliards d'euros de recettes qu'il s'était fixé pour cette année avec notamment la cession de ses parts dans la société de paris sportifs OPAP et dans le pétrolier Hellenic Petroleum, troisième et quatrième sociétés cotées en Grèce en termes de capitalisation boursière. Ces privatisations sont remises à l'année prochaine, a dit le directeur de l'agence grecque chargée des privatisations, Costas Mitropoulos.(lemonde.fr) Selon la politique actuel du gouvernement, ce n'est pas trop mal. Mais privatisation reste privatisation.
Roumanie : derrière la destitution du président, la crainte d'une dérive du pouvoir
Coup d'Etat déguisé, dérive démocratique ou simple jeu de l'alternance ? La Roumanie dont le président de la république est menacé de destitution après une procédure lancée par ses opposants au pouvoir , suscite l'inquiétude de l'Union européenne, qui scrute d'un oeil vigilant la crise politique qui s'y déroule depuis quelques mois. Car derrière la procédure légale de destitution, les soupçons se portent sur les intentions du nouveau gouvernement quant à l'indépendance de la justice, dans un pays où les vieux démons de la corruption ne se sont pas encore évanouis. UN PRÉSIDENT DESTITUÉ. La coalition de centre-gauche, l'Union sociale-libérale (USL), a attaqué fin-avril le parti de centre-droit du président Traian Basescu par une mention de censure. Le leader du Parti social-démocrate (PSD), Victor Ponta, a alors pris les rênes du gouvernement, ouvrant la voie à une épineuse cohabitation.Le Parlement, dominé par la même coalition, a ensuite voté, le 6 juillet, pour la destitution du président Basescu, au pouvoir depuis 2004 et qui devait achever son second mandat en 2014. En Roumanie, le président peut être destitué 's'il commet des faits graves violant les dispositions de la Constitution', selon l'article 95 de la Loi fondamentale.(lemonde.fr) Et l'Union Européenne avec sa grande fédération, que fait-elle?
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