Japon: le maire qui veut sauver sa ville après Fukushima
Son appel à l'aide sur le Net lui a valu une renommée mondiale: maire d'une commune sinistrée proche de la centrale de Fukushima, Katsunobu Sakurai veut toujours croire en sa ville. C'est l'histoire d'un espoir un peu fou. Maire de Minami-Soma, une ville côtière nipponne de la préfecture de Fukushima, Katsunobu Sakurai s'est promis de redonner vie à sa cité meurtrie par la triple catastrophe qui a frappé le Japon le 11 mars - un séisme de magnitude 9, un tsunami de plusieurs mètres de hauteur et le plus grave accident nucléaire depuis Tchernobyl. Malgré les destins brisés, les rêves envolés et ses 700 administrés à jamais disparus, ce petit homme au visage rond et à la voix douce n'a jamais voulu renoncer. La vidéo qui a tout changé. Une vidéo postée quelques jours après le drame sur YouTube et sous-titrée en anglais lui vaut d'emblée une notoriété planétaire. Il y apparaît assis dans un décor dépouillé, vêtu du blouson beige de travailleur qu'il ne quitte plus depuis le drame, tendu vers la caméra comme s'il implorait le spectateur. Il évoque les malheurs de sa ville, décrit le profond sentiment d'isolement d'une communauté meurtrie, inquiète du devenir de la centrale nucléaire de Fukushima, bâtie par la Compagnie d'électricité de Tokyo (Tepco) à une vingtaine de kilomètres plus au sud.(l'express.fr) Il est normale que tout maire veuille souver sa commune.
Civils américains sur le front afghan
Brian Binko a un rire si puissant qu'il couvre parfois le grondement de la guerre. Un rire qu'il va chercher au tréfonds de sa gorge et qu'il libère en saccades rocailleuses, petite tornade soufflant le poil de sa barbe. Il est là, assis sur le lit de sa chambrée de Honaker-Miracle, poste avancé américain au pied des montagnes de l'Est afghan, et il se moque de tout. Il n'a rien d'autre à faire que railler l'univers entier dans cette échancrure de schiste trouant le massif de l'Abas Ghar au coeur de la province de Kunar, non loin de la frontière avec le Pakistan. Qu'il s'agisse de l'éclatement du feu - canon de 155 mm contre PKM (kalachnikov modernisée) - ou du long ennui qui précède et qui s'ensuit, tout est prétexte à ses sarcasmes. Et quand il ne rit pas, il dort ou lit un roman sur son iPad tandis que dehors, au flanc de la cuvette encerclant Honaker-Miracle, les talibans tapis sous la roche ourdissent la prochaine escarmouche.(lemonde.fr) En attendons la prochaine escarmouche, lissons.
Nucléaire nord-coréen : les deux Corées pour une reprise rapide des pourparlers
La Corée du Nord et la Corée du Sud ont fait part, vendredi 22 juillet, de leur volonté de reprendre aussi rapidement que possible les pourparlers à Six sur le programme nucléaire nord-coréen, a déclaré un responsable de Pyongyang, cité par l'agence Yonhap. 'Nous sommes d'accord sur le fait de faire des efforts pour reprendre les pourparlers à Six aussi rapidement que possible', a indiqué Ri Yong-ho , vice-ministre des affaires étrangères nord-coréen. Les pourparlers, qui reunissent les deux Corées, le Japon, la Chine, les Etats-Unis et la Russie, sont dans l'impasse depuis le départ de Pyongyang de la table des négociations, en 2009. L'entretien entre le Sud-Coréen Wi Sung-lac et le Nord-Coréen Ri Yong-ho, en marge d'une réunion de l'Asean à Bali, constitue le premier contact à ce niveau entre les deux pays depuis les tensions militaires survenues fin 2010.(lemonde.fr avec fr.reuters.com) Mieux vaut parler que se battre.
Source: Yahoo Actualités
Son appel à l'aide sur le Net lui a valu une renommée mondiale: maire d'une commune sinistrée proche de la centrale de Fukushima, Katsunobu Sakurai veut toujours croire en sa ville. C'est l'histoire d'un espoir un peu fou. Maire de Minami-Soma, une ville côtière nipponne de la préfecture de Fukushima, Katsunobu Sakurai s'est promis de redonner vie à sa cité meurtrie par la triple catastrophe qui a frappé le Japon le 11 mars - un séisme de magnitude 9, un tsunami de plusieurs mètres de hauteur et le plus grave accident nucléaire depuis Tchernobyl. Malgré les destins brisés, les rêves envolés et ses 700 administrés à jamais disparus, ce petit homme au visage rond et à la voix douce n'a jamais voulu renoncer. La vidéo qui a tout changé. Une vidéo postée quelques jours après le drame sur YouTube et sous-titrée en anglais lui vaut d'emblée une notoriété planétaire. Il y apparaît assis dans un décor dépouillé, vêtu du blouson beige de travailleur qu'il ne quitte plus depuis le drame, tendu vers la caméra comme s'il implorait le spectateur. Il évoque les malheurs de sa ville, décrit le profond sentiment d'isolement d'une communauté meurtrie, inquiète du devenir de la centrale nucléaire de Fukushima, bâtie par la Compagnie d'électricité de Tokyo (Tepco) à une vingtaine de kilomètres plus au sud.(l'express.fr) Il est normale que tout maire veuille souver sa commune.
Civils américains sur le front afghan
Brian Binko a un rire si puissant qu'il couvre parfois le grondement de la guerre. Un rire qu'il va chercher au tréfonds de sa gorge et qu'il libère en saccades rocailleuses, petite tornade soufflant le poil de sa barbe. Il est là, assis sur le lit de sa chambrée de Honaker-Miracle, poste avancé américain au pied des montagnes de l'Est afghan, et il se moque de tout. Il n'a rien d'autre à faire que railler l'univers entier dans cette échancrure de schiste trouant le massif de l'Abas Ghar au coeur de la province de Kunar, non loin de la frontière avec le Pakistan. Qu'il s'agisse de l'éclatement du feu - canon de 155 mm contre PKM (kalachnikov modernisée) - ou du long ennui qui précède et qui s'ensuit, tout est prétexte à ses sarcasmes. Et quand il ne rit pas, il dort ou lit un roman sur son iPad tandis que dehors, au flanc de la cuvette encerclant Honaker-Miracle, les talibans tapis sous la roche ourdissent la prochaine escarmouche.(lemonde.fr) En attendons la prochaine escarmouche, lissons.
Nucléaire nord-coréen : les deux Corées pour une reprise rapide des pourparlers
La Corée du Nord et la Corée du Sud ont fait part, vendredi 22 juillet, de leur volonté de reprendre aussi rapidement que possible les pourparlers à Six sur le programme nucléaire nord-coréen, a déclaré un responsable de Pyongyang, cité par l'agence Yonhap. 'Nous sommes d'accord sur le fait de faire des efforts pour reprendre les pourparlers à Six aussi rapidement que possible', a indiqué Ri Yong-ho , vice-ministre des affaires étrangères nord-coréen. Les pourparlers, qui reunissent les deux Corées, le Japon, la Chine, les Etats-Unis et la Russie, sont dans l'impasse depuis le départ de Pyongyang de la table des négociations, en 2009. L'entretien entre le Sud-Coréen Wi Sung-lac et le Nord-Coréen Ri Yong-ho, en marge d'une réunion de l'Asean à Bali, constitue le premier contact à ce niveau entre les deux pays depuis les tensions militaires survenues fin 2010.(lemonde.fr avec fr.reuters.com) Mieux vaut parler que se battre.
Source: Yahoo Actualités
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