L'Onu appelle les donateurs à ne pas oublier Haïti
La secrétaire générale adjointe aux affaires humanitaires des Nations unies Valérie Amos a appelé jeudi les donateurs internationaux à ne pas oublier les 600.000 rescapés du séisme de janvier 2010 à Haïti qui vivent toujours dans des camps et qui dépendent de l'aide humanitaire pour survivre.Lors d'une visite dans l'Etat caribéen qui peine à se reconstruire plus d'un an après le tremblement de terre qui a fait plus de 300.000 morts, la coordinatrice des secours d'urgence de l'Onu a dit craindre que la crise économique mondiale ne fasse passer au second plan l'aide à Haïti."Mon travail est de m'assurer qu'Haïti ne soit pas oublié (...) La situation reste très critique dans les camps", a-t-elle dit à Reuters dans la capitale Port-au-Prince. Selon le bureau de la coordination des affaires humanitaires (Ocha), sur les 382 millions de dollars nécessaires cette année, seuls 199 millions ont été donnés. "Nous devons apporter notre soutien à 600.000 personnes. Nous devons améliorer l'assainissement de l'eau. En raison du manque de financement, certaines des nos ONG partenaires sont parties", a indiqué Valérie Amos. "Si nous n'assainissons pas l'eau, le choléra va faire son retour", a-t-elle ajouté.(fr.reuters.com) Là aussi quelqu'un devrait venir régler les problèmes d'une contré éloignée. Mais qui donc?
La nageuse Diana Nyad abandonne sa traversée Cuba-Floride
La nageuse américaine Diana Nyad, 62 ans, a mis fin dimanche à sa nouvelle tentative de traversée entre Cuba et la Floride, après avoir été piquée durant la nuit par des méduses. "Après plus de quarante heures de nage et souffrant de piqûres de méduse, Diana Nyad a décidé de renoncer", précisent ses proches sur son site internet. Partie vendredi soir, elle avait parcouru 124 des 166 km qui séparent Cuba de la Floride, ce qui représente 114.000 brasses. La nageuse avait déjà effectué une tentative en août, mais avait dû l'interrompre après 80 km et 29 heures d'efforts, à cause d'une crise d'asthme, de douleurs à une épaule et de la houle. C'est en 1978 qu'elle avait fait sa première tentative, alors qu'elle était à l'apogée de sa carrière de nageuse de longue distance.(fr.reuters.com) De toutes façons, personne n'as jamais put y arriver.
Un 'tsar' antidrogue
Bien que le Pérou dispute à la Colombie la place de premier fournisseur mondial de cocaïne (330 tonnes par an), la politique péruvienne antidrogue est rarement discutée dans le pays. Durant la campagne présidentielle du début d'année, le thème a été effleuré. Depuis le mois d'août, le sujet est à la 'une' des principaux médias nationaux. La raison : la nomination par le nouveau président, Ollanta Humala, de l'expert Ricardo Soberon à la tête de la Commission nationale pour le développement et une vie sans drogues (Devida), chargée de la lutte contre le narcotrafic. 'Qu'est-ce que je représente en termes de politique publique en matière de drogue ? Définitivement, un autre regard', sourit M. Soberon. Avocat de formation, il a toujours été très critique à l'égard de la lutte anti-narcotrafic menée dans le pays au cours des dernières décennies, dépendante des Etats-Unis. 'Je comprends que ma nomination ne leur plaise pas, mais c'est une décision souveraine du 'gouvernement de la grande transformation', qui veut mettre en place une nouvelle politique antidrogue au Pérou', félicite le chef de la Devida. M. Soberon fait partie des analystes péruviens spécialisés dans les thèmes liés à la coca, la feuille sacrée des Incas que beaucoup de Péruviens 'chacchent' (mastiquent) toujours aujourd'hui et dont 90 % de la culture sont destinés au narcotrafic.(lemonde.fr) Il est vrai qu'en chewing-gum ca fait moins mal au nez.
Source: Yahoo actualitées
La secrétaire générale adjointe aux affaires humanitaires des Nations unies Valérie Amos a appelé jeudi les donateurs internationaux à ne pas oublier les 600.000 rescapés du séisme de janvier 2010 à Haïti qui vivent toujours dans des camps et qui dépendent de l'aide humanitaire pour survivre.Lors d'une visite dans l'Etat caribéen qui peine à se reconstruire plus d'un an après le tremblement de terre qui a fait plus de 300.000 morts, la coordinatrice des secours d'urgence de l'Onu a dit craindre que la crise économique mondiale ne fasse passer au second plan l'aide à Haïti."Mon travail est de m'assurer qu'Haïti ne soit pas oublié (...) La situation reste très critique dans les camps", a-t-elle dit à Reuters dans la capitale Port-au-Prince. Selon le bureau de la coordination des affaires humanitaires (Ocha), sur les 382 millions de dollars nécessaires cette année, seuls 199 millions ont été donnés. "Nous devons apporter notre soutien à 600.000 personnes. Nous devons améliorer l'assainissement de l'eau. En raison du manque de financement, certaines des nos ONG partenaires sont parties", a indiqué Valérie Amos. "Si nous n'assainissons pas l'eau, le choléra va faire son retour", a-t-elle ajouté.(fr.reuters.com) Là aussi quelqu'un devrait venir régler les problèmes d'une contré éloignée. Mais qui donc?
La nageuse Diana Nyad abandonne sa traversée Cuba-Floride
La nageuse américaine Diana Nyad, 62 ans, a mis fin dimanche à sa nouvelle tentative de traversée entre Cuba et la Floride, après avoir été piquée durant la nuit par des méduses. "Après plus de quarante heures de nage et souffrant de piqûres de méduse, Diana Nyad a décidé de renoncer", précisent ses proches sur son site internet. Partie vendredi soir, elle avait parcouru 124 des 166 km qui séparent Cuba de la Floride, ce qui représente 114.000 brasses. La nageuse avait déjà effectué une tentative en août, mais avait dû l'interrompre après 80 km et 29 heures d'efforts, à cause d'une crise d'asthme, de douleurs à une épaule et de la houle. C'est en 1978 qu'elle avait fait sa première tentative, alors qu'elle était à l'apogée de sa carrière de nageuse de longue distance.(fr.reuters.com) De toutes façons, personne n'as jamais put y arriver.
Un 'tsar' antidrogue
Bien que le Pérou dispute à la Colombie la place de premier fournisseur mondial de cocaïne (330 tonnes par an), la politique péruvienne antidrogue est rarement discutée dans le pays. Durant la campagne présidentielle du début d'année, le thème a été effleuré. Depuis le mois d'août, le sujet est à la 'une' des principaux médias nationaux. La raison : la nomination par le nouveau président, Ollanta Humala, de l'expert Ricardo Soberon à la tête de la Commission nationale pour le développement et une vie sans drogues (Devida), chargée de la lutte contre le narcotrafic. 'Qu'est-ce que je représente en termes de politique publique en matière de drogue ? Définitivement, un autre regard', sourit M. Soberon. Avocat de formation, il a toujours été très critique à l'égard de la lutte anti-narcotrafic menée dans le pays au cours des dernières décennies, dépendante des Etats-Unis. 'Je comprends que ma nomination ne leur plaise pas, mais c'est une décision souveraine du 'gouvernement de la grande transformation', qui veut mettre en place une nouvelle politique antidrogue au Pérou', félicite le chef de la Devida. M. Soberon fait partie des analystes péruviens spécialisés dans les thèmes liés à la coca, la feuille sacrée des Incas que beaucoup de Péruviens 'chacchent' (mastiquent) toujours aujourd'hui et dont 90 % de la culture sont destinés au narcotrafic.(lemonde.fr) Il est vrai qu'en chewing-gum ca fait moins mal au nez.
Source: Yahoo actualitées
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