Le premier ministre, François Fillon, s'est déclaré prêt, mardi 17 février devant les députés UMP, à engager la responsabilité de son gouvernement (article 49-1 de la Constitution) si le probable débat parlementaire sur le retour de la France au sein du commandement intégré de l'OTAN était suivi d'un vote. Lire la suite l'article
Le retour de la France dans la structure militaire alliée devrait être officialisé lors des cérémonies du 60e anniversaire de l'OTAN les 3 et 4 avril à Strasbourg et Kehl. A l'approche de l'échéance, le ton monte pour contester l'annulation de la décision prise par le général de Gaulle en 1966 pour protester contre l''hégémonie' américaine sur l'OTAN, que beaucoup voient comme un danger pour l'indépendance du pays.
Le Parti socialiste a demandé au président de la République de revenir sur sa décision. Dans un communiqué publié le 10 février à l'issue de son bureau national, le PS réclamait un débat parlementaire, suivi d'un vote, sur le sujet. 'Rien ne justifie à nos yeux une telle décision du président de la République, prise sans débat, alors qu'elle ébranle les fondements de la politique étrangère française', écrit le PS, qui demande au chef de l'Etat de 'revenir sur sa décision unilatérale'. '
En tout état de cause, un débat parlementaire sur ces questions suivi d'un vote s'impose avant le début du mois d'avril', ajoute le parti dirigé par Martine Aubry. Au sein même de l'UMP, certains expriment leurs réticences. La France 'va se trouver rétrécie sur le plan diplomatique' et sera plus vulnérable au terrorisme, a estimé la semaine dernière
Source: Yahoo News
Le retour de la France dans la structure militaire alliée devrait être officialisé lors des cérémonies du 60e anniversaire de l'OTAN les 3 et 4 avril à Strasbourg et Kehl. A l'approche de l'échéance, le ton monte pour contester l'annulation de la décision prise par le général de Gaulle en 1966 pour protester contre l''hégémonie' américaine sur l'OTAN, que beaucoup voient comme un danger pour l'indépendance du pays.
Le Parti socialiste a demandé au président de la République de revenir sur sa décision. Dans un communiqué publié le 10 février à l'issue de son bureau national, le PS réclamait un débat parlementaire, suivi d'un vote, sur le sujet. 'Rien ne justifie à nos yeux une telle décision du président de la République, prise sans débat, alors qu'elle ébranle les fondements de la politique étrangère française', écrit le PS, qui demande au chef de l'Etat de 'revenir sur sa décision unilatérale'. '
En tout état de cause, un débat parlementaire sur ces questions suivi d'un vote s'impose avant le début du mois d'avril', ajoute le parti dirigé par Martine Aubry. Au sein même de l'UMP, certains expriment leurs réticences. La France 'va se trouver rétrécie sur le plan diplomatique' et sera plus vulnérable au terrorisme, a estimé la semaine dernière
Source: Yahoo News
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